En chair et en os

j'étouffe un homme en mes bras redoutés, Ou lorsque j'abandonne aux morsures mon buste, Timide et libertine, et fragile et robuste, Que sur ces matelas qui se pâment d'émoi, Les anges impuissants se damneraient pour moi ! " Quand elle eut de mes os sucé toute la moelle, Et que languissamment je me tournai vers elle Pour lui rendre un baiser d'amour, je ne vis plus Qu'une outre aux flancs gluants, toute pleine de pus ! Je fermai les deux yeux, dans ma froide épouvante, Et quand je les rouvris

position étrange. Ses bras sont tordus, on dirait un pantin désarticulé se mouvant sur un fond jaune blanc . On remarque aussi la disproportion des bras par rapport au reste du corps. Le cou du personnage est crispé. La chair est pâle, le corps est nu, extrêmement maigre. Les os sont pointus. Sur certaines zones il y a une forte concentration de traits qui donne l’impression de le voir en transparence avec ses tissus et ses muscles. .

"Les os se brisent, les organes éclatent, la chair se déchire. On peut suturer les chairs déchirées, réparer les dégâts, soulager la douleur. Mais quand c'est la vie qui se brise, quand c'est nous qui nous effondrons, la science est impuissante." "Dans la vie, une seule chose est certaine... mis à part la mort et les impôts. Peu importe combien vous essaierez, peu importe combien vos intentions seront bonnes... Vous allez faire des erreurs. Vous allez blesser quelqu'un. Vous allez être blessé

savez reconnaître de la bonne chaire et celle-ci n'en ai pas. Pensez à Blanche Neige, en mangeant n'importe quoi elle est morte ! Je fais partie de ces personnes qui pensent qui pensent que tous les enfants méritent la vie. Voyons, tu es trop beau pour eux, il ne mérite pas d'être manger par un si bel ogre. Mais regarde les ils ne sont pas beaux ! Je t'aime, je tiens à toi. Ils sont mauvais : ils étaient perdu dans la forêt, sont maigre et en mauvaise santé. Ils ont des os, c'est à toi que tu fera du

qui ne tenait à rien, le bras d’un Hercule ! un bon os auquel je dus mon salut. Sans ce secours inespéré, je périssais ! Mais, avec une rage que vous devez concevoir, je me mis à travailler les cadavres qui me séparaient de la couche de terre sans doute jetée sur nous, je dis nous, comme s’il y eut eu des vivants ! J’y allais ferme, monsieur, car me voici ! Mais je ne sais pas aujourd’hui comment j’ai pu parvenir à percer la couverture de chair qui mettait une barrière entre la vie et moi. Vous me

être gracié). Mais aussi prière à Dieu, le premier prince. Une dimension réaliste et fantastique Les marques du réalisme dans le poème - champ lexical des corps en décomposition : / Décomposition de la chair qui est : « dévorée et pourrie » (v. 7) / Décomposition des os qui sont : « cendre et poudre » (v. 8) / Décomposition du visage : «  les yeux cavés (v. 23) « arraché la barbe et les sourcils » (v. 24) - comparaison avec un élément trivial « dé à coudre » (v. 28) qui rattache à

Celui-ci rend le tout plus réel, plus vivant, l’histoire plus vraie. De plus, les acteurs offrent une réalité physique plus concrète aux personnages de la pièce. Tout cela rend l’œuvre plus compréhensible pour le public, qui voit les choses en chair et en os. Par exemple, dans Don Juan, de Molière, la mort du héros à la fin de la pièce n’est pas clairement exprimée. Lors de la représentation, cette mort devient concrète, et donc visible au spectateur. La mise en scène d’une œuvre théâtrale offre

Pendus Frères humains qui après nous vivez N'ayez les coeurs contre nous endurciz, Car, se pitié de nous pauvres avez, Dieu en aura plus tost de vous merciz. Vous nous voyez cy attachez cinq, six Quant de la chair, que trop avons nourrie Elle est pieça devoree et pourrie Et nous les os, devenons cendre et pouldre. De nostre mal personne ne s'en rie : Mais priez Dieu que tous nous veuille absouldre! Se frere vous clamons pas n'en devez Avoir desdain, quoy que fusmes occiz Par justice. Toutesfois

et la résine, le polyester et de vrais vêtements, en plus de la structure de base énoncée plus haut. -Les personnages produisent un effet d’un réalisme saisissant. Pour parvenir à ce résultat, l’artiste a réalisé des moules sur des modèles en chair et en os, qu’il a remplis de matière synthétique. Certaines de ses sculptures sont également moulées en bronze. Au final, Duane Hanson a recouvert ses œuvres de peinture à l’huile et les a sprayées à l’acrylique, leur a patiemment cousu des cheveux. Il

Sommaire 1-Présentation…………………………………….….2 2- La ballade des pendus- F.Villon……………….…3 3- Fatras-G.Flamant………………………………....5 4- Je n’ai plus que les os…-P.Ronsard……………...6 5- J’ouvre mon estomac, une tombe sanglante- T.A d’Aubigné………………………………..…...7 6- Sur la mort d’une dame-G de Scudéry…..............9 7- La mort et le malheureux-J de La Fontaine…......10 8- La fontaine du cimetière- T.Gauthier………...…11 9-Les morts du 4 décembre-V.Hugo…………….......13 10-Une charogne-C.Baudelaire…………………