En pleine tempête

 - Les paysages romantiques : recherche de paysages nouveaux, du dépaysement. Immensité ; infini ; désordre ; mouvement. Montagne ; mer ; orages ; tempêtes... Paysage et état d’âme : la nature est à la fois une confidente et une consolatrice. A travers elle, le romantique exprime sa sensibilité. Il en cherche les symboles, la découvre par la contemplation (Hugo) et le rêve ou en déchiffre les «correspondances» (Baudelaire). - Attrait pour les pays étrangers : goût du pittoresque ; mode du Nouveau

du voyage : un voyage dans le temps ou l’ubiquité temporelle imaginée par Jules Verne enrichit une histoire qui sans cela risquerait d’être monotone… A – L’Ere Primaire. C’est ainsi que la descente emmène d’abord les voyageurs « en pleine époque de transition, en pleine période silurienne10 ». Jules Verne remonte volontairement le cours du temps, en partant des époques les plus anciennes pour arriver aux plus récentes. D’ailleurs Axel, quelques pages plus loin, confirme cet état de fait : « Depuis

représente la vie de tous les jours avec le décor réel du Canada. Comme il a beaucoup voyagé et qu’il est en quelque sorte un regard extérieur sur la vie en Amérique, il s’attarde surtout à peindre ce qui est typique au Canada. Amérindien chassant, tempête de neige, couleurs d’automnes sont des scènes qui intéressent particulièrement Krieghoff. Les œuvres qu’il peint, surtout vers la fin de son travail artistique au Canada, montre la nature comme une entité beaucoup plus puissante que l’homme en accordant

comme Pétrarque ou Dante. Ils se nomment La Pléiade, du nom d'un groupement d'étoiles et ils expriment surtout leur art en poésie. Ouvertures : Dans pensées en mer de Paul Claudel (1896) : le retour en bateau l’évocation d’un voyage accompli dans la tempête d’un voyageur qui semble ne se retrouver à son aise que dans la traversée peut faire penser à Ulysse (dont le nom signifie voyage) . Dans son poème du Bellay part de ce personnage dont le désir est de rentrer chez lui. Du Bellay part du personnage

ces tapages Les Fleuves m'ont laissé descendre où je voulais.Dans les clapotements furieux des marées Moi l'autre hiver plus sourd que les cerveaux d'enfants, Je courus ! Et les Péninsules démarrées N'ont pas subi tohu-bohus plus triomphants.La tempête a béni mes éveils maritimes. Plus léger qu'un bouchon j'ai dansé sur les flots Qu'on appelle rouleurs éternels de victimes, Dix nuits, sans regretter l'oeil niais des falots !Plus douce qu'aux enfants la chair des pommes sures, L'eau verte pénétra

de différence de température entre l’hiver et l’été, c’est caniculaire et sec. Le vent souffle du nord en hiver et du sud en été. Les quatre saisons sont bien distinctes, la saison des pluies ou mousson coïncide avec la saison chaude. Il y a des tempêtes de sable à la mi-avril à Pékin, elles arrivent de la Mongolie. En plus le désert de Gobi se rapproche de plus en plus de Pékin et le gouvernement parle même de déplacer Pékin. Le nord-ouest est aride : les hivers sont froids et secs, les étés

pauvreté sont : le bonheur, une vendetta, le gueux, Tombouctou. Dans le bonheur on a une description de la Corse où l’on voit dans quel environnement pauvre les deux amants ont vécu pendant 50 ans en Corse : « figurez-vous un monde encore en chaos, une tempête de montagne que sépare les ravins étroits où roulent des torrents ». Dans le gueux aussi on parle de la pauvreté dans laquelle « le gueux » vit. Ou alors la deuxième façon d’être pauvre en étant pauvre de cœur : comme dans la vendetta ou la mère du

falaise. C’est toujours la tempête là-bas ; on a l’impression que c’est toujours la nuit aussi, avec la mer qui gronde tout près. Et puis Jim Hawkins, le héros, se retrouve vite seul avec sa mère à l’Amiral Benbow. À sa place, on serait mort de terreur. Le vieux pirate réclame du rhum et se met en colère sans qu’on sache pourquoi. Mais le plus effrayant, c’est quand les autres pirates débarquent dans le pays à la recherche de leur ancien complice. C’est une nuit de pleine lune, et l’aveugle donne

repartir. Le Spirit of Southampton, il se nommait ainsi, n’eut aucun mal à repasser le blocus mais un cuirassé à vapeur nous donna la chasse. Avec ses 1500 chevaux vapeur,, il nous aurait rattrapé si je n’avais ordonné de piquer vers le nord ou une tempête faisait rage. Le navire de l’Union continua la poursuite sur environ trois miles nautiques puis il abandonna la partie et stoppa ses machines. Nous continuâmes la course dans les flots déchainés. Billy Hoop, mon barreur, un vieux loup qui naviguait

mort au monde profane avant la renaissance à la lumière.Cette lumière ne lui est pas accordée d’office puisque ses yeux sont bandés lorsqu’elle se courbe pour franchir la porte basse. En effet, d’autres épreuves l’attendent et elles produiront « leur plein effet » si son esprit est rendu parfaitement réceptif. L’acuité de ses sens est renforcée par cette cécité passagère.La récipiendaire est tout d’abord conduite au midi, soutenue comme un petit enfant sans défense par deux sœurs bienveillantes. Au terme