En Quoi Candide Est Un Apologue

grande estime » et souligne tout son mérite (« des contes en vers, qui m’ont demandé bien des heures de veille »). On remarquera que les auteurs paraissent tous deux s’excuser de l’orgueil dont ils font montre : l’un parle de vantardise (« Voilà de quoi Chrétien s’est vanté »), l’autre craint qu’on ne la juge « présomptueuse ». 4. Un public courtois On notera, chez Chrétien de Troyes, le recours à l’appellation de « vilain » (qui précise bien que son public appartient à une autre catégorie sociale)

cétacé / sétacé chair / chaire / cheire / cher chas / chat / (s)chah ou shah chasse / châsse chassie / châssis chaumer / chômer chemineau / cheminot (s)chérif / shérif choral / chorale / corral cilice / silice chœur / cœur cire / cirre / sire coi / quoi collocation / colocation colon / côlon coma / comma commande / commende contrechamp / contre-chant coolie / coulis cor / corps cote / côte / cotte / kot cour / courre / cours / court crac / crack / krach / krak chrême / crème cuisseau / cuissot

passage, la nourriture occupe le premier plan : il n’est question que d’œufs frais (l. 3, 9, 12, 14, 23, 43), de pot de confiture (l. 11), de boisson (l. 5, 16), de pain (l. 17, 18, 19), de ragoût de la veille et de volailles froides (l. 16). De quoi mettre en appétit le lecteur. Les personnages eux-mêmes trouvent leur fonction en rapport avec la nourriture : les hôtesses (les sœurs Habert), la servante cuisinière (Catherine) et celui qui est reçu (Jacob). Une ligne de partage s’instaure entre

passage, la nourriture occupe le premier plan : il n’est question que d’œufs frais (l. 3, 9, 12, 14, 23, 43), de pot de confiture (l. 11), de boisson (l. 5, 16), de pain (l. 17, 18, 19), de ragoût de la veille et de volailles froides (l. 16). De quoi mettre en appétit le lecteur. Les personnages eux-mêmes trouvent leur fonction en rapport avec la nourriture : les hôtesses (les sœurs Habert), la servante cuisinière (Catherine) et celui qui est reçu (Jacob). Une ligne de partage s’instaure entre

hommes et même 8.000 en seront aussi incapables que 10. Et de même pour les 60 ou 80.000 chevaux des grands transatlantiques de 50.000 tonnes : nous disions dans les précédentes éditions qu'ils équivalaient au travail de 1.600.000 rameurs : mais à quoi bon cette évaluation, puisque le bateau ne pourrait pas en porter la centième partie et que, quel que fût leur nombre, ils ne sauraient le faire marcher plus vite qu’un canot à rames ? Il n'y a que certains travaux pour lesquels la comparaison est

comportement (aussi bien dans ses gestes que par ses mots) « Mlle Michonneau entra doucement, salua les convives sans rien dire, et s’alla placer près des trois femmes. »81 La seule personne qu’elle domine est son compagnon Poiret : « pour ce à quoi vous [Poiret] êtes bon, vous pouvez bien vous promener, ajouta-t-elle. »82 Poiret se distingue par le vide de ses paroles. Poiret agit comme un perroquet, il parle mais pour ne rien dire et ceci tout au long du roman. Cela frôle parfois le ridicule:«

tantôt neige quelques(s) tard neuf quelque chose tas nez (le) quelquefois tel ni quelque part téléphone nid (le) quelqu'un télévision nombre qu'est-ce que? (le) temps non (oui) question tendre nos, notre qui tenir nouveau quitter terminer nouvel an quoi terrain novembre terre nuit, tête R la nôtre tien tirer raconter toi (u) O radio (le) toit ramasser objet (se)rappeler tomber tôt occasion recevoir toucher octobre reconnaître toujours œil rectangle tour œuf refaire tourner offrir regarder tout oh

Apodictique : (a-po-di-kti-k'), adj. En termes d'école, un argument apodictique est un raisonnement démonstratif, suivant la signification grecque du mot. Apographe : (a-po-gra-f'), n. m. Copie d'un écrit original, par opposition à autographe. Apologue : (a-po-lo-gh'), n. m. Exposé d'une vérité morale sous une forme allégorique, et dans lequel l'enseignement est presque toujours donné par une assimilation de l'espèce humaine aux êtres que l'on fait parler ou agir. L'apologue est un don qui vient