Encyclopédie Torture

Introduction : Phèdre est une pièce de théâtre de Racine écrite en 1677, c’est une de ses dernières pièces, 9e tragédie et dernière du cycle grec. Cette œuvre rend compte des caractéristiques du Classicisme. Phèdre, la femme de Thésée, roi d’Athènes, aime Hippolyte, le fils de Thésée. Phèdre, croyant Thésée mort, avoue ses sentiments à Hippolyte mais Thésée revient et Phèdre lui ment : elle lui dit qu’elle a été séduite par son fils. Thésée, fou de rage, implore les dieux pour qu’ils le punissent

Remarques Générales : ! 1. Date d’écriture du Prince : 1513 ! 2. Date de parution : 1532 ! 3. Destinataire de l’oeuvre : Laurent de Medicis, Duc d’Urbain. Objectif : Se faire pardonner et rentrer dans la faveur de la monarchie. 4. Organisation de l’ouvrage : L’ouvrage est divisée en 26 chapitres de thèmes différents : •Dans les chapitres II à XI, l'auteur étudie les différents moyens de conquérir et de conserver des principautés. •Dans les chapitres XII à XIV, les questions militaires sont

en plus d’une peine de prison aussi longue soit elle. ) Pour conclure, bien qu’il existe un nombre non négligeable d’erreurs judiciaire, je pense et j’estime qu’un bon nombre de présumés coupables mériteraient toutes les humiliations, tortures atrocités du monde voir la peine capitale afin de les punir de leurs actes délibérer. Bien sûr tout ceci serait applicable dans le seul et unique cas où absolument toutes les preuves et circonstances prouvent assurément et sans aucun doute la culpabilité

 Lecture analytique Phèdre, Acte 2, scène 5 Dans cette scène, Phèdre fait l’aveu de son amour à Hyppolyte. Cet aveu est contre nature puisqu’il s’adresse à son beau -fils, le propre fils du mari de Phèdre, Thésée dont on ne connaît pas le sort. Selon Aristote, un événement doit avoir lieu dans la tragédie. Et cet événement doit procurer à la fois la terreur chez le spectateur mais aussi la pitié pour le personnage victime de cet événement. Ici, ils sont deux à être victimes : Phèdre à

des pratiques telles que la torture ou autre traitements cruels, inhumains ou dégradants, et le code pénal prévoit des sanctions d'une peine d'emprisonnement maximale de trois ans pour les agresseurs. Conformément au paragraphe 3 de l’article 28 de la Constitution syrienne du 12 mars 1973 qui stipule que “nul ne peut être torturé physiquement ni mentalement, ou être traité de manière humiliante”. Néanmoins, les forces de sécurité auraient continué à utiliser la torture fréquemment. Les organisations

de la Révolution de 1789. En effet, en 1791, Le Pelletier de Saint-Fargeau, soutenu par Robespierre, dénonce son inefficacité et propose des peines de substitution afin d’y remédier. L’assemblée rejette cette proposition, mais abolit néanmoins la torture et décide que la peine capitale doive se faire par guillotine pour des raisons de bienséance. Cette situation va stagner pendant le Consulat et la Monarchie de Juillet jusqu’en 1848, lors de la IIème République. Poussée par des mouvements humanistes

l. 28 : « je pense » ● Paradoxe (l. 33) : « et qui pis est, sous prétexte de pitié et de religion » = cruauté, Montaigne donne son avis ; la religion doit apporter la paix mais ici ; guerre, massacre. ● Champ lex du massacre : « barbarie », « tortures », « suplices », « mort » afin d'accentuer le sentiment d'horreur dc registre tragique.

loger. Cette peine est réservée aux honestiores, c’est la bourgeoisie romaine. Pour finir, il y a aussi ce que l'on appelle la poire Papale, qui vous est infligé si l'on découvre que quelqu'un est homosexuelle. Mais il y a aussi toute forme de torture atroce tel que l’écartèlement, la roue, ou encore les ruée de coup, MAIS LA PIRE DE TOUTE RESTE LA CONJUGAISON ;)

Résumé Résumé de Phèdre de Racine. Notre fiche de résumé sur Phèdre de Racine a été rédigée par un professeur de français. Extrait du résumé du livre  “Phèdre” Phèdre, tragédie classique en 5 actes et en vers, est présentée par Jean Racine (1639-1699) pour la première fois le 1er janvier 1677 ; Racine avait alors appelé sa pièce Phèdre et Hippolyte, ce qui ne fut modifié que dix années plus tard. Comme dans toute réécriture d'un mythe, les sources du dramaturge sont nombreuses. On y trouve notamment

doit un châtiment dans une société civilisée. » La peine de mort est donc un signe d’atrocité et de brutalité que montre la société. L’idée de progrès social s’oppose donc à la pratique de la peine de mort : « le dix-huitième siècle a aboli la torture, le dix-neuvième abolira la peine de mort. ». On constate également l’utilisation d’un argument implicite chez Hugo : « vos successeurs l’aboliront…». En outre, on observe dans les discours de Badinter et Hugo l’utilisation de l’argument religieux :