Endoscopie

par rapport au bâtiment principale et accueille: Au rez-de chaussée les consultations néphro et l'hôpital de jour. Au 1er étage: 32 postes de dialyse et l'unité conventionnelle d'hospitalisation. Au 2nd étage: 32 postes de dialyse et les endoscopies urologiques(lieu du déroulement du stage). Au 3ème étage: mes soins intensifs néphro et l'unité de greffe rénale et le CIC (centre d'investigation clinique). Le service est géré par le professeur Y Berland, secondé par le Professeurs B. Dussol

sédation, pour un geste court, nécessite l’attention et les compétences d’une équipe d’anesthésie-réanimation. La sédation étant un acte anesthésique, pourquoi est-elle requise dans le cadre de cet examen ? La sédation n’est pas systématique pour les endoscopies. Cependant, certains patients ne tolèrent pas l’acte endoscopique parce qu’il est désagréable ou douloureux. Dans certains cas, la procédure est longue ou le patient n’est pas coopérant ou très anxieux. L’ensemble des patients subissant ce type

deux blocs. - 12 salles de radiologies (imagerie interventionnelle vasculaire, imagerie conventionnelle, scanners, échographie er IRM). - 6 laboratoires. III OBSERVATIONS Durand ce stage j’ai visité les services suivants: - Radiologie - Endoscopie digestive - Explorations fonctionnelles - HDJ (hôpital de jour), dermatologie et endocrinologie - Laboratoire d’analyses biologiques - Visite des patients en chirurgie digestive et en cardiologie - Visite des blocs - Echographie - Observation

VCI a bénéficié de développement de la radiologie interventionnelle. - échographie abdominale : diamètre, signes d’HTP… - échodoppler +++ : sens du flux sanguin, diamètre des veines. - angioscanner. - IRM : thromboses +++ - angiographie. - endoscopie digestive : varices oesophagiennes, rectales… Conclusion: L'étude anatomique permet une meilleure interprétation des examens radiologiques, et par conséquent une meilleure approche diagnostique et thérapeutique.

période post-opératoire. Il va aussi remplir les documents médico-administratifs. Le vétérinaire canin intervient en : soins dentaires, chirurgie orthopédique, analyses biologiques, kinésithérapie animale, exploration fonctionnelle (échographie, endoscopie, ...), ostéopathie animale et en ophtalmologie. Le vétérinaire canin peut avoir à donner des conseils à l'éleveur pour la sélection d'espèces, la reproduction, l'organisation des bâtiments et à s'occuper du suivi sanitaire d'un élevage. Il procède

de TCA et en cas de situations à risques (insuffisance rénale) ; - examens à réaliser selon l’importance de la chute du taux d’hémoglobine (examen neurologique, échocardiographie, échographie abdominale, scanner cérébral ou thoraco-abdominal, endoscopie digestive…), à la recherche d’un hémopéricarde, d’un hématome intracérébral, du psoas, des grands droits… 3 - Conduite à tenir Selon l’importance de l’hémorragie et sa localisation, la conduite à tenir sera différente : - arrêt du traitement

Seyne-sur-mer. D’une capacité de 496 lits, cet établissement propose la plupart des spécialités médicales et chirurgicales grâce à un plateau technique de pointe (Imagerie par résonance magnétique, scanner, gamma-caméra, caisson hyperbare, écho endoscopie…) dont bénéficie l’ensemble des patients du C.H.I.T.S. Le SAMU 83 est implanté sur ce site et traite 70 000 interventions par an : le SMUR du C.H.I.T.S. effectue quant à lui 5 000 interventions médicalisées sur la zone de Toulon - La Seyne-sur-Mer

2008 15 4 - Techniques d’observation • Dissection • Techniques anatomiques (injections, coupes, plastination…) • Utilisation des informations obtenues de la clinique: -RX (classique, TDM, angiographgie, opacifications…) -Echographie -IRM -Endoscopie -… 2008 16 8 Sections et coupes 2008 17 Plastination 2008 18 9 Plastination 2008 19 Radiographie Osseuse 2008 20 10 Uréthrographie 2008 21 Bronchographie 2008 22 11 Lavement

……………………………………………………… 25 2-1 AINS : …………………………………………………………………… 25 2-2 Helicobacter Pylori : …………………………………………………. 25 2-3 AINS + HP : …………………………………………………………… 26 2-4 Autres : ………………………………………………………………… 26 IV. Présentation clinique : ……………………………………………………… 27 V. Endoscopie : …………………………………………………………………… 28 VI. Facteurs prédictifs de gravité et de récidive : …………………………… 30 VII. Prise en charge : …………………………………………………………… 38 1- Prise en charge initiale. ………………………………………………… 38 2- Traitement spécifique des épisodes aigus

(responsable de complications) justifie une exploration. De principe un reflux cliniquement évident ne justifie pas d’exploration, sauf dans le cadre des ALTE. - Reflux non compliqué : pas d’explorations avant traitement. - Signes d’œsophagite : endoscopie digestive haute. - ALTE : Phmètrie couplée a un enregistrement cardio-respiratoire. - Pathologie respiratoire inhabituelle sans reflux clinique : Phmètrie, jamais en première intention (chercher et traiter auparavant les autres causes). Le