Engrais vert

du sol. Le colza est très gourmand en azote (7 kg/q contre 3 pour le blé et 2,2 pour le tournesol). La culture absorbe énormément d'azote à cette période. La fertilisation totale du colza doit apporter entre 140 et 200 unités d'azote/ha2 avec des engrais chimiques ou organiques (lisier notamment)

| | |Balance extérieure : - 3,8 Mrds $ | | |Principales production : métaux en premier lieu, mais également engrais chimiques, | | |blé, orge et tournesol | | |

recyclables, déchets nucléaires a garder sous haute surveillance, éoliennes qui coûtent plus d’énergie qu’elle n’en produit. 3/ En général, la technologie pollue. Ex : Les moyens de transports tels que les voitures, les avions, polluent ainsi que les engrais chimiques utilisés dans l’agriculture. Introduction : L’écologie et le souci de préserver la nature sont au cœur des débats de l’actualité. Nous pouvons nous demander si le progrès technologique et scientifique est en accord avec le souci de

techniques. Ainsi les OGM, organisme vivant dont le patrimoine génétique a été modifié par l'homme, ont été créés pour améliorer les récoltes, par exemple, pour lutter contre la pauvreté des sols. Les intrants ont également étaient développés : les engrais, les produits phytosanitaires, les semences et les amendements. Parallèlement, l'irrigation des terres est une technique très utilisée en agriculture : elle permet d' apporter artificiellement de l’eau à des végétaux cultivés pour en augmenter la

La pollution agricole - La concentration des élevages donne un excédent de déjections animales ; celles-ci s'évacuent dans les cours d'eau et les nappes souterraines ; elles constituent une source de pollution bactériologique. - Les engrais chimiques (nitrates et phosphates) altèrent la qualité des nappes souterraines qu'ils atteignent par infiltration des eaux. - Les herbicides, insecticides et autres produits phytosanitaires s'accumulent dans les sols et les nappes phréatiques

commerciales, etc. 3°/ Une agriculture intégrée. Maillon de la chaîne de l’agrobusiness et pénétrée par les milieux financiers et le grand capitalisme. 4°/ Une agriculture scientifique et capitaliste tournée vers la productivité. Puissance mécanique, engrais, agriculture marquée par la recherche agronomique, concentration des exploitations. II/ La puissance des productions. 1°/ Des productions massives Blé, maïs, soja, vins, etc… 2°/ Le « Diversify » A fait éclater les anciennes belts et a modifié

ans, le CA a été multiplié par 2,57 | | | | La santé préoccupe de plus en plus les Français | | | | Nouvelles missions des produits de beauté : apaiser, éveiller et équilibrer | | | | Huiles essentielles sélection BIO : plantes sans engrais chimiques, ni pesticides de synthèse, zones naturelles, règles de transformation, d’étiquetage et de contrôle ainsi que pour les produits provenant des pays tiers. De plus, les plantes sont plus riches en composés aromatiques actifs et l’agriculture

traité, il est transporté vers les ports de Casablanca, Safi ou El Jadida, a destination des différents pays importateurs. La Vente : le phosphate est vendu, selon les demandes des clients, soit brut, soit après traitement soit transformé en engrais, acide phosphorique ou acide sulfurique aux industries chimiques. 3- Statut juridique : 6 Pôle mine Khouribga OCP L’office chérifien des phosphates est un établissement semi-publique dont la nature d'activité est à la fois commerciale

contrairement à la règlementation, brulés. Ces résidus de taille ou de tonte peuvent faire l’objet d’une revalorisation. Broyés ou séchés, ils peuvent constituer un paillage tout aussi économique qu'écologique, ou encore être compostés et donner un engrais de qualité. D'autant que depuis le 1er janvier 2012, les producteurs ou détenteurs de quantités importantes de biodéchets sont tenus de mettre en place un tri à la source et une valorisation. Article L 541-21-1 du Code de l’environnement. T6

de base (NPK). Ces engrais chimiques, en dépit de leurs effets immédiats sur la croissance, n'ont pas toujours été facilement acceptés : par exemple, en 1858, dans le nord de la France, la presse locale rapportait qu'à l’approche des semailles « les agriculteurs sont harcelés par des marchands d’engrais qui prétendent que leurs concentrés chimiques sont plus efficaces que le fumier. La Société impériale d’agriculture, qui a effectué des essais, met en garde contre ces engrais concentrés, qui ne sauraient