Engrais vert

création par la suite d’autre unités de formation /perfectionnement. 1960 : Développement de la mécanisation du souterrain à Youssoufia. Démarrage de Maroc Chimie à Safi, pour la fabrication des dérivés des phosphates : acide phosphorique et engrais (1965). 1970 : Création du Groupe OCP, structure organisationnelle intégrant l’OCP et ses entreprises filiales (1975). Intégration d’un nouveau centre minier en découverte, le centre de Boucràa (1976) Démarrage de nouvelle unités valorisation à Safi :

a- A l’aide des documents p90-91, indiquez comment cette lutte est possible ? b- Quelles autres pratiques existent ? Activité 3 : Différentes techniques de protection des cultures Conséquences sur l’environnement 1. L’utilisation intensive des engrais amène à une pollution des sols et à l’eutrophisation. a- D’après les documents 1 et 2 p88, définissez l’eutrophisation. b- Recherchez les causes et les conséquences de ce phénomène. La pyrale est un insecte ravageur des cultures de maïs. Selon les

RATTRAPAGE Iman Boukili1ère ES2 Aujourd’hui, de nombreuses nappes souterraines et cours d’eau présentent des concentrations importantes de nitrates. Cette pollution a plusieurs origines : le ruissellement et l’infiltration des nitrates contenus dans les engrais et non absorbés par les cultures ; l’épandage des déjections animales dans les zones d’élevage ; le rejet dans le milieu naturel des eaux usées domestiques, agricoles ou industrielles sans traitement préalable ou adapté. La présence de nitrates

faux Les bâtonnets présentent une intensité minimale de stimulation vers 500 nm dans le cyan entre le vert et le bleu. Ils ne permettent pas de distinguer les couleurs. d. : vrai Il existe trois types de cônes pour lesquelles l’intensité minimale de stimulation correspond à trois longueurs d’ondes différentes aux environs de 450 nm, 540 nm et 575 nm, correspondant chacune à une couleur, le bleu, le vert et le rouge. Ceci est bien visible sur le graphique où nous observons trois courbes. 3. Réponse a.

inflorescences terminales. 2.3.3-Feuilles Elles sont simples, entières, alternes, oblongues ou ovales, arrondies au sommet avec des nervures en relief et sont groupées par touffes aux extrémités des rameaux qui sont courts et rigides. De couleur vert foncé et brillantes, elles mesurent de 10 à 20 cm de long sur 6 à 12 cm de large. 2.3.4-Inflorescences Elles apparaissent à l’extrémité des rameaux de l’année et sont longues, abondamment ramifiées. Ce sont des grappes de cymes composées

feuilles : Feuilles vert bleuté, bipennées alternes avec trois à douze paires de pinnules ayant 6 à 23 paires de folioles, qui mesure 12 mm de long et jusqu’à 5 mm de large et se chevauchent en partie. Acacia albida est la seule espèce du Sahel à perdre ses feuilles pendant la saison des pluies et à être feuillé pendant la saison sèche. Le pétiole peut mesurer de 0.5 à 3.7 cm de long. Le rachis va de 3 à 7 cm de long. Les foliolules sont glabres à pubescentes de couleur vert bleu, oblongue et occasionnellement

les nappes phréatiques à Almeria afin de permettre l’irrigation des cultures. Les Andalous ont appris à dompter la météo et à cultiver avec peu d’eau notamment en bâchant les zones de culture pour retenir l’eau et l’humidité dans le sol. * Les engrais et pesticides, parfois trop utilisés ont pour but d’obtenir 3 productions par ans. Le désir espagnol de produire toujours plus, amène différentes sortes de problèmes tel que : * Un fort développement de la mécanisation, qui fait donc réduire

phosphatique marocaine, qui atteint 23 millions de tonnes de minerais est extraites du sous-sol marocain, soit 75 % des réserves du globe. Entant qu'exportateur, le groupe OCP oriente 95 % de sa production (Phosphate 38%, Acide Phosphorique 43%, Engrais 12%) vers le marché extérieur qui se compose de tous les continents, et réalise ainsi un chiffre d'affaire de 1,3 milliard de dollars annuellement .Le groupe OCP contribue au PIB avec une part de 2 à 3 %, alors que ses exportations représentent 18

des demandes sont urbaines et en Tunisie où au contraire 90% des demandes sont pour l’agriculture contre 10% pour les villes. Un autre conflit encore est entre les agriculteurs et les écologistes qui luttent contre l’utilisation de pesticides et engrais qui polluent les nappes phréatiques. D’autres conflits existent entre des pays comme l’Égypte, le Soudan et l’Ethiopie qui se battent pour le prélèvement sur le Nil avec le grand barrage d’Assouan ou encore la Turquie, la Syrie et l’Iraq pour le

régions de la planéte. Les cendres volcaniques sont en effet de véritables concentrés chimiques en sels minéraux : potasse, chaux, phosphore, magnésium, souffre… Les cendres qui retombent régulièrement autour du volcan deviennent en quelques années des engrais efficaces qui vont fertiliser ses pentes et permettre aux végétaux de repousser de plus belle. Ce phénoméne s’accentue d’autant plus dans les régions où le climat est chaud et humide. On dit que Java, en Indonésie, est l’ile la plus fertile de