Enjeux Acteur

) prix reçu, récompenses particulières lors de festivals... l'affiche : observation, évocation, accroche qu'est ce qui justifie le titre du spectacle ? le jeu des acteurs présentation des principaux acteurs, rôle interprété qualité des gestes, de la mimique, des voix rapport de l'acteur et du groupe,texte/corps, acteurs/rôle LA PIECE Le titre de la pièce : l'abattoir La date de la représentation : vendredi 5 avril 2013 Le lieu de la représentation : salle Jacques Brel

cinématographique de la pièce homonyme créée en 1979 par la troupe du théâtre Splendid. Le film est sorti en 1982. Cette comédie est interprétée par Gérard Jugnot, Josiane Balasko, Marie-Anne Chazel, Thierry Lermitte, Christian Clavier Anémone ect…les mêmes acteurs que dans la pièce de théâtre. Le film raconte l’histoire de la permanence de deux bénévoles au standard de SOS Amitié. Cette permanence est perturbée sans cesse par l’arrivée de nouveaux personnages tous plus en détresse les uns que les autres

Avant même que la guerre ne soit terminée, l'épuration se met en place : de nombreux sympathisants du régime de Vichy sont jetés en prison et condamnés, certains sont exécutés, parfois sans procès ; les milieux culturels (journalistes, écrivains et acteurs) ne sont pas épargnés. C'est dans ce climat troublé que de Gaulle regagne la France et en assure dans un premier temps le gouvernement. C'est à un acte de résistance qu'Anouilh doit l'idée de travailler sur le personnage d'Antigone. En août 1942

Pensez-vous que le théâtre est le lieu de la plus grande liberté, de l'imagination la plus folle ? 1) Contrainte du theatre classique et pour les acteurs Il existent des contraintes plus ou moins explicites : les didascalies, le texte. 2) l'imagination des auteurs n'a pas de limite le théâtre est un lieu conventionnel, très éloigné de la réalité, qui permet donc une reproduction de la réalité, ou une invention pure d'un monde imaginaire, symbolique. 3) la liberté de l'interpret le

ne voulait jouer ce rôle. Lorenzo dit par rapport à sa relation avec le duc : « pour devenir son ami, et acquérie sa confiance, il fallait baiser sur ses lèvres épaisses tos les restes de ses orgies » il est donc homosexuel, et à cette époque aucun acteur ne pouvait assumer un tel rôle. C'était un sujet encore plus tabou que de nos jours.

Jean-Marc Bourg, rencontré par le biais d’un auteur. Il écrit deux premières pièces qui ne le satisfont pas : la première étant « un roman très dialogué » confie-t-il, et la deuxième un monologue plus proche de la nouvelle. C’est en travaillant avec des acteurs sur le plateau qu’il a commencé à écrire du « vrai » théâtre. Au début, il a participé à un laboratoire d’artistes, avec d’autres auteurs, qui ont d’abord travaillé sur le thème de la guerre, puis sur le thème de la sexualité. Dans le cadre de ce

maintenant qu’il en venait aux conclusions ». « L’oncle, Leni » : p 138 l’avocat semble rassuré par l’identité de son visiteur parce que cela ne l’oblige pas à jouer la comédie. « Fin » : Les deux messieurs venus arrêter K sont comparés à « de vieux acteurs de second rôle » p 267, les allusions se poursuivent avec les interrogations de K qui leur demande dans quel théâtre ils jouent et qui les assimile ensuite à des ténors. On pourrait ajouter les nombreuses allusions aux costumes soigneusement choisis

faite le sous sol qui veut nous montrer la douloureuse mémoire de tout ses enfants mort lors de la guerre. Ce sont en quelque sorte leurs âmes. Cet aspect là est très important pour comprendre toute l’histoire. Le deuxième aspect est le jeu des acteurs. Au début on peut comprendre que les parents ont perdu leur fils, qu’il est décédé et qu’ont ne retrouve pas son corps. Au fil de l’histoire ont sort de cette campagne et on se dirige vers la ville de Paris. Là on voit sur la scène des prostituées

ce film a remporté un tel succès. Car au fond, ici, l'histoire était déjà écrite, l'important résidait dans la retranscription qui allait en être faite et l'un des ingrédients importants de cette réussite aura donc été la complicité entre les deux acteurs, qui sans se connaître au départ et étant très différents l'un de l'autre ont noués une véritable amitié à l'instar de Philippe Pozzo di Borgo et de son auxiliaire de vie Abdel Selloun. Une rencontre improbable qui m'a attendrie autant qu'elle m'a

« la foule », « foule noire, bruissante » … Celle-ci est comparée à un fleuve, à une masse. C’est une foule anonyme qui n’est là que pour acclamer Bel-Ami. On peut presque parler ici d’une scène théâtrale, car lui et son épouse représentent les acteurs d’un spectacle offert à la foule. Dans ce passage, avec « Il ne voyait personne », on remarque que George ne pense qu’à lui-même et à ses réussites sans se soucier le moins du monde de la foule qui l’entoure. La totalité de ce passage tourne autour