Enjeux Bâle Iii

Section 2 : Présentation de RAROC   Section 3 : Les paramètres de RAROC   CHAPITRE II : LA GESTION DU RISQUE DE CREDIT PAR LA METHODE RAROC   Section 1 : La notation interne   Section 2 : La modélisation du risque de crédit   Section 3 : La mise en place de l’outil RAROC  CHAPITRE III : APPLICATION DE RAROC (ETUDE DE CAS)  Section 1 : Présentation de la structure d’accueil   Section 2 : Présentation du système de notation de BNP Paribas   Section 3 : Présentation du portefeuille   Section 4 : Modélisation du risque de crédit   Section 5 : Estimation des paramètres comptables  

1 (IFRS - US GAAP / Bâle 2 - Solvency 2) Docteur (Ph.D) Université Laval (Québec) Docteur Université René Descartes (Paris V) Docteur Université de la Sorbonne (Paris III) PDG / Riskosoft 1 2 ! • Introduction page 3 page 6 page 6 page 7 I- Position de l’ERM en tant que système Global d’information de gestion 1- Le débat initial chez SIEBEL sur la complémentarité nécessaire de l’ERM et du CRM 2- Les cinq exigences réglementaires qui ont déterminé le positionnement de l'

des risques Paragraphe III l’explication par la spéculation SECTION 2 : la crise des banques ou l’effet domino Paragraphe I Paragraphe II Paragraphe III Manifestation de la crise La spéculation bancaire Crises antérieures Chapitre 2 : La gestion des risque dans la banque conventionnelle SECTION 1 : les risques dans la banque conventionnelle Paragraphe I le risque de marché (risque de taux, risque de change, risque de position) Paragraphe II le risque de crédit Paragraphe III le risque opérationnel

l’ordonnateur soit après la date d’expiration du délai d’un crédit d’enlèvement. Les obligations cautionnées sont souscrites à l’ordre du receveur de l’administration des douanes et doivent être signées par le bénéficiaire et par une caution bancaire. III-Les crédits d’investissement : 1- SALAF TAJHIZ Objet: Financement de l’acquisition d’outillages et matériel d’équipement professionnel ou agricole, fixe ou roulant, à l’état neuf ou d’occasion. Il s’agit d’une formule

Management L’activité dans le Conseil en Mangement se maintient en 2010 sur des missions liées à l’impact de la crise, comme l’optimisation des processus opérationnels, la réduction des coûts ou encore la maîtrise des risques, notamment réglementaires (Bâle III, Solvency II dans l’assurance). On regarde également vers la sortie de crise avec des projets qui préparent la reprise. 2.3 Tendances Conseil IT Les moteurs de la reprise dans le secteur du Conseil IT sont directement liés aux besoins de réduction

1- La création monétaire et ses enjeux Paragraphe 1 : La notion de liquidité A-La liquidité des actifs B- La liquidité des banques C- La liquidité de l'économie Paragraphe 2 : La création monétaire ; ses enjeux, ses limites A- Le mécanisme de la création monétaire : « Les crédits font les dépôts » B- La création monétaire engendre une dépendance des banques vis -à -vis de la monnaie centrale C- La création monétaire engendre2(*) l'inflation 2- Les objectifs et les mécanismes

risques Paragraphe III l'explication par la speculation SECTION 2 : la crise des banques ou l'effet domino Paragraphe I Manifestation de la crise Paragraphe II La spéculation bancaire Paragraphe III Crises antérieures Chapitre 2 : La gestion des risque dans la banque conventionnelle SECTION 1 : les risques dans la banque conventionnelle Paragraphe I le risque de marche (risque de taux, risque de change, risque de position) Paragraphe II le risque de credit Paragraphe III le risque operationnel

de long entre Bale et Rotterdam mais navigable sur 880 km et 120 km de large = autoroute fluviale. Il prend sa source dans les Alpes des Grisons suisses, constitue un bassin hydrographique de 180 000km². Son débit : entre 1040 et 2500m3 par seconde. Un trafic important. 650 millions de tonnes, un bateau peut atteindre les 15 000 tonnes. Le trafic est géré par la CCNR (Communication Centrale pour la Navigation du Rhin à Strasbourg) =) gestion de la circulation mais aussi des enjeux environnementaux

caractère procyclique 6 II : Les défaillances des modèles d’évaluation du risque prônée par les régulateurs 7 II.1 La value at risk 7 II.2 Les limites et insuffisances de ce modèle 8 III : Des marchés et des acteurs à risque non contrôlés 9 III.1 Le marché de gré à gré 9 III.2 Les hedges funds 10 III.3 Les agences de notation 11 PARTIE 2 : Un nouveau système de réglementation et de régulation Financière à l’épreuve de la crise 13 I : Le chantier de la réglementation financière 13

de la concurrence 9 Section 2: 12 2. la réglementation prudentielle internationale : bale I & bale II 12 2.1. Les normes prudentielles – Le Comité de Bâle 1 : de 1974 à 1998 Les premiers aboutissements: Le Ratio de Cooke 12 2.1.1. Le contexte de la création du Comité de Bâle en 1974 12 2.1.2. Les objectifs dédiés du Comité de Bâle 13 2.1.3. Les premiers aboutissements du Comité de Bâle : Le Ratio de Cooke 13 A- Le contexte de la création du Ratio de Cooke 14 B- Définition