Enjeux Bâle Iii

risques…………………………………... Page 37 3.3.1 Risque de crédit……………………………………………… Page 37 3.3.2 Risque de marché …………………………………………… Page 38 3.3.3 Risque opérationnel…………………………………………. Page 39 3.4 Le ratio Cooke………………………………………………………. Page 40 3.5 Le ratio McDounough « Bâle II » …………………………………… Page 41 Mastère Spécialisé Auditing, Management Accounting and Information System 8 Thèse Professionnelle 2005 - 2006 ! "# $ % CHAPITRE 4 : LE CONTRÔLE INTERNE ………………………… Page 44 4.1 Les composantes du COSO…………………………………………

risques…………………………………... Page 37 3.3.1 Risque de crédit……………………………………………… Page 37 3.3.2 Risque de marché …………………………………………… Page 38 3.3.3 Risque opérationnel…………………………………………. Page 39 3.4 Le ratio Cooke………………………………………………………. Page 40 3.5 Le ratio McDounough « Bâle II » …………………………………… Page 41 Mastère Spécialisé Auditing, Management Accounting and Information System 8 Thèse Professionnelle 2005 - 2006 ! "# $ % CHAPITRE 4 : LE CONTRÔLE INTERNE ………………………… Page 44 4.1 Les composantes du COSO…………………………………………

. 7 1.1 Contexte .......................................................................................................... 7 1.2 Membres du Comité de Pilotage de l’étude ..................................................... 8 1.3 Enjeux et objectifs de l’étude ........................................................................... 8 1.4 Périmètre d’étude ............................................................................................ 9 1.5 Déroulement

» CHAPITRE III Evaluation du risque de crédit sous le comité de Bâle II Partie II - EVALUATION ET STRATEGIE DE GESTION DU RISQUE DE CREDIT DE LA BANQUE ATTIJARIWAFA BANK » CHAPITRE I Présentation de la banque d’entreprise Attijariwafa Bank » CHAPITRE II Traitement du risque de crédit selon Attijariwafa Bank » CHAPITRE III Appréciations

Frédérique Barberousse qui la confirme en 1058. L'université de Paris est formée par la réunion de plusieurs collèges d'étudiants, parmi lesquels la Sorbonne. Elle est reconnue dès 1200 par le roi Auguste et est confirmée par une bulle du pape Innocent III en 1215. elle assure une formation de haut niveau en philosophie et théologie. Elle sert au roi en formant ses futurs cadres administratifs des institutions royales. La Sorbonne devient le collège le plus prestigieux. Elle porte ce nom par elle est

risque…………………………………………………………13 CHAPITRE II : Le risque de contrepartie : Identification et mesure Section 1 : Identification du risque de contrepartie……………………………………..18 Section 2 : Mesure du risque de contrepartie……………………………………………20  CHAPITRE III : Gestion du risque de contrepartie Section 1 : Les instruments traditionnels de gestion du risque de contrepartie…………37 Section 2 : Les nouvelles méthodes de gestion du risque de contrepartie………………44 CHAPITRE IV : Risque de contrepartie

définition communautaire a été prise notamment en vue de l'entrée en vigueur au 1er janvier 2014 du règlement européen CRR (« Capital requirements regulation »), qui transpose en Europe le nouveau cadre prudentiel dit de Bâle III. Il faut alors se demander quels sont les enjeux de la nouvelle formulation de l’article L511-1 du Code monétaire et financier issue de l’ordonnance du 27 juin 2013 ? L’ordonnance va modifier la définition des établissements de crédit afin de mettre le droit français

l’ampleur du problème, plusieurs organisations internationales et régionales se sont organisées pour contrarier ce phénomène qui guette la communauté internationale. Les premières initiatives remontent à 1988. En fait à la fin de cette année, le comité de Bâle a publié sa déclaration relative à la « Prévention de l’utilisation du système bancaire pour le blanchiment de fonds d’origine criminelle », une première tentative qui repose essentiellement sur quatre principes fondamentaux à savoir : • L’identification

de scores.……….30 Chapitre II : Méthodes de construction et de validation des modèles de scoring...…37 - Section 1 : Méthodes de classification des entreprises.……………………...38 - Section 2 : Validation des modèles de crédit scoring ……………………….63 Chapitre III : Cas pratique : Elaboration d’un modèle de crédit scoring……………71 - Section 1 : Etudes descriptive et statistique des données……………………72 - Section 2 : Les méthodes paramétriques…………………………………….85 - Section 3 : Les réseaux de neurones…………………………………....

collectivités se font hors marché. Les États sont maîtres du pouvoir législatif : via les lois, ils influencent les états du marché. → économies principalement régulées par les marché mais pas économies de marché pures : économies de marché mixtes. → enjeu : savoir quelle est la place relative du marché et de l'état, savoir notamment quels sont les champs d'intervention de l'état. A. Les justifications (principalement) économiques de l'intervention publique. Aujourd'hui, divergences encore très