Enjeux Bâle Iii

431 § 432 § 433 § 434 § 435 § 436 § 437 § 438 D. Le statut des ressortissants communautaires § 439 § 440 § 441 E. Les mesures d’éloignement § 442 § 443 4 § 444 § 445 § 446 F. La mise en oeuvre § 447 § 448 § 449 G. Le contentieux § 450 § 451 III. Les ressortissants non communautaires A. Aperçu historique § 452 § 453 § 454 § 455 § 456 § 457 § 458 § 459 B. Les sources § 460 § 461 § 462 § 463 § 464 C. L’entrée en Suisse § 465 § 466 D. Le droit de présence sur le territoire suisse § 467 § 468 §

POLITIQUE AU MAROC………………….3 Section 1 : politique de la régulation macroéconomie……………………………………………5  Section 2 : politique budgétaire et évolution des finances publiques au Maroc ……………….6 Section3 : tendances actuelles de la politique monétaire au marc : enjeux, efficacité et limités………………………………………………………………………………………………….7  Section4 : la politique de change au Maroc………………………………………………………..8 Section 5 : système fiscale marocain……………………………………………………………….9 Section 6 : politique et stratégies sectorielles……………………………………………………

niveau maîtrisé, puisque les actifs sont sortis de son bilan[3]. Par ailleurs, les banques ont utilisé massivement la titrisation comme outil de gestion du capital réglementaire imposé par le ratio Cooke dans le cadre des recommandations de Bâle I du Comité de Bâle. Dans les années 1990, l'aspect de la gestion de bilan a été le moteur le plus important du développement de la titrisation, permettant aux entreprises et aux banques de faire de véritables arbitrages réglementaires, tandis qu'une véritable

CECAW ? Quel est le processus de gestion du risque de crédit lié aux avances sur stock à CECAW? Quels sont les insuffisances d’un-t-elle processus ? Comment pallier de telles insuffisances ? La mesure du risque de crédit sur les emprunteurs est un enjeu important, surtout lorsqu’il s’agit des besoins traditionnels tel que le crédit auprès des EMF. La nécessité pour les EMF de disposer d’outils fiables est encore plus forte dans la période actuelle de montée du risque de crédit et de doutes sur les

une année d’alternance à la Société Générale a. Présentation de la Société Générale i. Bref historique ii. Principaux métiers du groupe iii. La Société Générale en chiffres b. Présentation de l’agence de Villefranche Sur Saône i. Positionnement ii. Effectif iii. Clientèle c. Mon rôle dans l’agence i. Mes fonctions dans l’agence ii. Les compétences acquises iii. Pourquoi ce sujet de mémoire ? II) La monétique en quelques mots : a. Bref historique de la monétique b. Les acteurs de la monétique

essentiel, il est de plus en plus pressant que les établissements bancaires puissent s'investir dans le développement d'instruments complémentaires d'analyse fondés sur des méthodes à la fois quantitatives et qualitatives voir systémiques. Le Comité de Bâle II impose la mise en œuvre de méthodes plus strictes pour l’évaluation et la gestion du risque de crédit, du risque de marché et du risque opérationnel. Disposer de cette visibilité globale sur le risque, tout en répondant aux exigences réglementaires

de la loi  : 28 2) Loi de sécurité financière : 29 D) Exigences Bâle II : 30 1) Les ratios règlementaires : 30 a) Le ratio de division des risques : 30 b) Le ratio de liquidité : 31 c) Le ratio de solvabilité : 32 2) Les trois piliers de l’accord Bâle II : 35 a) Pilier 1 : Exigence minimale en propres : 35 b) Pilier 2 : Processus de surveillance  : 36 c) Pilier 3 : Discipline de marché : 36 III. Mise en œuvre du contrôle bancaire : 36 A) Restructuration de la banque :

modèle espagnol ("dynamic provisioning"). o Il existe une même correspondance de vue sur la liquidité. Le rapport Turner recommande la mise en place d’un ratio de liquidité ("core funding ratio"). Le rapport de Larosière s’en remet au Comité de Bâle pour le définir. Le Trésor américain souhaite un renforcement de la liquidité des banques sans donner de précision. o Les autorités de tutelle sont également unanimes sur la nécessité de standardiser les produits structurés (actifs titrisés et "credit

également dressé la liste de certains ratios et indicateurs de solvabilité utilisés par les analystes financiers qui servent à appréhender le risque de solvabilité des entreprises selon leur situation de trésorerie (excédent de trésorerie vs déficit). III) De la crise financière à la défaillance des entreprises. Au-delà de la seule analyse financière des entreprises, il faut absolument tenir compte de l’environnement économique qui influe nécessairement sur les décisions de gestion en tenant compte

créateurs : 3 B. La nature de l’activité de la société 4 I. Les moyens humains et les métiers de la société : 5 II. Analyse de la concurrence : 5 III. Originalité de la société 6 V. Liste des partenaires 7 V. répartition du chiffre d’affaires 8 C. Le financement de la société 8 I. Avant introduction en Bourse 8 II. Introduction en Bourse 9 III. Actionnaires 10 La trajectoire stratégique et financière de la société 10 I. L’évolution de l’activité de la société : 10 II. Evènements clés