Enjeux Bâle Iii

l’entreprise II. Schéma directeur informatique III. Conception d’un système d’information automatisé IV. Les ressources informatiques V. Processus informatiques VI. Notion de gouvernance des technologies de l’information Chapitre II : Contrôles informatiques et normes de bonnes pratiques I. Politique de sécurité informatique II. Contrôle de gestion informatique III. Contrôles techniques informatique IV. Référentiels et normes de bonnes pratiques Chapitre III : Introduction a l’audit informatique

III I- SOMMAIRE Pages AVIS adopté par le Conseil économique et social au cours de sa séance du mercredi 15 janvier 2003..... I - 1 I - DES AUTORITÉS DE RÉGULATION : POUR QUOI ? ..............2 A - LA RÉGULATION SE DISTINGUE DE LA RÉGLEMENTATION .........................................................................4 B - COLLÉGIALITÉ ET LÉGITIMITÉ DES AUTORITÉS ADMINISTRATIVES INDÉPENDANTES ........................................4 C - LES DOMAINES D’INTERVENTION DES AUTORITÉS ADMINISTRATIVES

l'environnement naturel. Pour les autres sens du mot Environnement, voir l'article Environnement (homonymie). [pic] [pic] Vue de la Lune, une des premières visions de la Terre comme un ensemble fini et fragile. [pic] [pic] La sauvegarde de la nature, enjeu de la protection de l'environnement. L'environnement est défini comme « l'ensemble des éléments (biotiques ou abiotiques) qui entourent un individu ou une espèce et dont certains contribuent directement à subvenir à ses besoins »[1], ou encore comme

l’économie Programme des Nations Unies pour l’environnement 11–13, chemin des Anémones CH-1219 Châtelaine/Genève Tél. : +41 (22) 917 82 98; 917 81 79 Télécopie. : +41 (22) 917 80 76 Courriel : hussein.abaza@unep.ch Internet : http://www.unep.ch/etu iii Guide de l’environnement et du commerce L’Institut international du développement durable L’Institut international du développement durable (IIDD) est un organisme indépendant, sans but lucratif, ayant son siège à Winnipeg au Canada. Il a pour

non pas de confier à des institutions cela mais de définir ensemble des règles du jeu et donc de mener des actions coopératives, mais lorsqu’il s’agit d’en venir à la coopération opérationnelle, les états reprennent la main. Suite aux négociations de Bale sur la réforme bancaire, les états Unis ont décidé de prendre des décisions. Comment se pose aujourd’hui les débats sur la mise en œuvre de la gouvernance compte tenu de cette boite à outils : On peut considérer que le courant doctrinal qui s’inspire

droit international coutumier (voir ch. 4.3). La Convention de Vienne s’applique notamment lorsque les Etats parties n’ont pas conclu entre eux des accords qui s’écartent de ses règles. 5 Voir Anne Peters, Völkerrecht – Allgemeiner Teil, 2e éd., Bâle 2008, p. 130 ss; Walter Kälin, Völkerrecht – eine Einführung, 2e éd., Berne 2006, p. 215 ss; Knut Ipsen, Völkerrecht, 5e éd., Munich 2004, p. 250 s. La Cour internationale de justice estime implicitement, et sans utiliser le terme de soft law, que

multiforme II. La stratégie de diversification A. L’identification des métiers et des avantages concurrentiels conditionne le choix d’un métier bancaire B. Modèle de référence de stratégie de diversification : la banque universelle III. Remise en cause de la stratégie de diversification A. La stratégie de spécialisation B. La stratégie de multispécialisation CONCLUSION GENERALE TABLE DES MATIERES BIBLIOGRAPHIE Introduction générale A l’heure actuelle, les

financement privé. Le resserrement des contraintes prudentielles La crise financière a montré la nécessité d’un nouveau cadre international de régulation. La volonté du G20 d’encadrer mieux l’activité bancaire s’est traduite par « l’accord de Bâle III » visant à renforcer la solvabilité bancaire. La liquidité et l’effet de levier des banques – ratio minimal exigé entre fonds propres et expositions de bilan ou hors bilan – sont également réglementés. Alors que la pleine entrée en vigueur

crédit, de la quantité de monnaie centrale que possèdent les banques de second rang, des différents instruments qui régulent de la politique monétaire (coefficient de réserves obligatoires, encadrement du crédit), des habitudes de paiement des clients. (III) le pouvoir de création monétaire des banques de second rang et mis en évidence par le multiplicateur de crédit (dM = kR où k représente le multiplicateur de crédit = 1/ (b+r – br) où b = le retrait sous forme de billets et r = taux de réserves obligatoires)

Nationale des Télécommunications ONP : Office Nationale des Postes OPT : Office des Postes et Télécommunications AG ES C AGSE : E U EQ TH O LI IB -B T. Sylvie KAFANDO, 4ème promotion Master en Audit et Contrôle de Gestion, CESAG Page iii Contribution de l’audit interne dans la maîtrise des risques opérationnels : cas de la SONAPOST PACNE : Projet d’Audit des Caisses Nationales d’Epargne PTT : Postes, Télégraphes, Téléphones QCI : Questionnaire de Contrôle Interne SONAPOST :