Enjeux Du Multipartisme

minimal (au moins 2 partis) De plus désigne aussi l'ensemble des formations qui refusent l'étiquette parti (ex en Fr à droite utilisent moins parti mais union...) I. L'apparition et le développement de la forme parti. N'ont pas toujours existé 1. Enjeu définitionnel : qu'est ce qu'un parti politique ? On peut considérer comme parti ceux qui s’intitulent ainsi mais marche pas pour 2 raisons : - Toutes les formations politiques n'acceptent pas ce terme dans leur nom ou définition (ex parti droite

consider the rights linked to the public sphere as completely detached from the private sphere, since in their opinion the two dimensions are detached and so there is not mutual influence. See Houria Alami M’Chichi, Genre et politique au Maroc, Les enjeux de l’égalité hommes-femmes entre islamisme et modernisme, L’Harmattan, Paris 2002, 95. 2 Fatima Mernissi, Sexe, idéologie et Islam, Ed. Tierce, Paris 1983, and Fatna Aït Sabbah, La femme dans l’inconscient musulman, Ed. Albin Michel S.A., Paris 1986

jugé par le juge et en France par le législateur. CHAPITRE 2 : Les déterminants politiques SECTION 1 : L’évolution du système partisan (de 1958 à 1962) Ce sont eux, les partis politiques, qui peuvent faire usage de la Constitution. §1 Du multipartisme à la bipolarisation Aujourd’hui la question du maintien de la bipolarisation est posée, ce qui évidemment provoquerait une modification des pratiques connues si la France devait revenir à un système partisan non bipolarisé. La reconnaissance

forts. En effet, le fait d’avoir vécu en métropole permet d’éloigner ces nouvelles élites de la majorité de leur population dans les pays à dominante rurale. Par la suite, les USA et l’URSS jouent un rôle car, nouvellement indépendant, ils ont des enjeux dans la période de la GF : stratégiques, ressources, idéologiques. Dès lors, ces puissances avaient intérêt à contrôler et lier un ensemble de pays à leur propre système économique : permet une économie contrainte, liée à des transferts et qui bénéficient

constitution. D'autres dans les lois. D'autres règles existent sans quelles soient inscrites. La vie politique suppose de connaître des acteurs, parmis eux les élus, les citoyens, les partis politiques, les médias. La vie politique c'est également des enjeux qui peuvent ê variables et toujours orienté vers la quête du pouvoir. Le premier type d'enjeux sont ceux qui sont spécifiques aux professionnels de la vie politique. ex: réduction du mandat de 7 à 5 ans. D'autres concernent l'ensemble de la communauté

grave crise économique à cause de la chute du cours du pétrole, crise qui incita le peuple à multiplier les revendications sociales et politiques avec la conséquence de l’intervention militaire de la France. Le président Bongo rétablit alors le multipartisme en 1990, mais en réalité il continua sa politique autoritaire et la situation économique du pays n’évolua pas. En 1994 naquit une sorte d’ouverture entre le pouvoir et l’opposition, constituée par le père Paul M’Ba Abessolé. Les accords

Accompagner chacune de ces phases par un petit nombre de cartes permettrait de visualiser la double logique de fragmentation et d’unification à l’œuvre. En effet, cette étude est l'occasion pour les élèves de comprendre comment l'Europe, devenue enjeu et théâtre de l'opposition entre deux modèles idéologiques, connaît, dans le même temps, une dynamique d’union entre des pays qui fonde une construction originale. Dépassant la simple approche diplomatique, la question invite à prendre en considération

permanente pour montrer à quel point c’était un lieu ou on faisait et défaisait les gouvernements. Le fonctionnement partisan qui prévôt alors, donc sont organises les partis politiques. Se qui caractérise la fin du 19ème siècle, c’est le multipartisme, il y a une multiplicité de partis. Il en découle qu’il faut que le gouvernement ne peut être qu’une coalition de différents partis. On est dans un système ou la notion de partis à un sens différents d’aujourd’hui. Le terme de parti n’est pas

institution. Le statut du pouvoir législatif ne peut être détaché aussi de la liberté pour les partis politiques, dans un pays, de se constituer librement. Ainsi, se pose ici la question de l’importance du multipartisme. A ce titre on constate que le Maroc a toujours pris position pour le multipartisme et rejeté toute logique de parti unique. Jusqu’en 36 1958 les partis politiques existaient mais n’avaient pas de statut légal au Maroc. Dans le prolongement d’un dahir du 15 novembre 1958, portant Code

histoire en commençant par les années 1950 comporte aujourd’hui une grande symbolique . Car c’est réellement à ce moment que le pays fut construit comme une démocratie non confessionnelle championne de l’arabité. Jeune démocratie fragile devant les enjeux du développement intérieur, de la guerre froide et de l’appétit des militaires pour le pouvoir. Les soubresauts sociaux, les équilibres politiques et les soubresauts régionaux la conduisent à jouer pleinement ses aspirations arabes et à lier son