Ennahdha

aujourd’hui presque jeté aux oubliettes, vise à constituer un front national le plus large possible autour d’un projet de société libérale, séculariste et moderne, dans le but EXCLUSIF Kapitalis.com 24 de marginaliser le mouvement islamiste Ennahdha. Accusé de s’opposer ouvertement au principe d’un Etat républicain en préconisant un Etat islamique, et à des lois tunisiennes comme le CSP, ce parti n’est pas reconnu, accusé d’enfreindre au Code des partis politiques, qui interdit la constitution

figures de l’islamisme de l’est (Rabah Kébir, Abdelkader Boukhamkham, Ali Djédi, Abdelkader Hachani) se retrouvent dans la direction du FIS, cette tendance a réussi à sauvegarder son autonomie et à créér par la suite un parti islamiste autonome, Ennahdha (La Renaissance ou l’Eveil Islamique). Aujourd'hui, seuls deux courants structurés se disputent l'électorat islamiste, le MSP et la nébuleuse de Djaballah qui, à chaque fois, est défait de son propre parti, mais n'en perd pas moins son audience

politiques. Ce texte fondateur, aujourd’hui presque jeté aux oubliettes, vise à constituer un front national le plus large possible autour d’un projet de société libérale, séculariste et moderne, dans le but de marginaliser le mouvement islamiste Ennahdha. Accusé de s’opposer ouvertement au principe d’un Etat républicain en préconisant un Etat islamique, et à des lois tunisiennes comme le CSP, ce parti n’est pas reconnu, accusé d’enfreindre au Code des partis politiques, qui interdit la constitution

part de subjectivité car le journaliste a voulu exprimer implicitement son avis. Notamment avec « symboliquement » : en utilisant cet adverbe, Jean-Michel Demetz et Romain Rosso pensent que Nidaa Tounès de Béji Caïd Essebsi a gardé des individus de Ennahdha (ancien parti au pouvoir) afin d’éviter les conflits (« afin d’assurer la transition dans le jeu politique »). Il y a ici un intérêt de la Démocratie. Mais aussi avec « Comme si tous étaient conscients que c’est bien l’objectif des djihadistes …

frustration de la jeunesse, l’absence de voix les empêchant de participer à la nouvelle configuration politique. Tous les premiers ministres après la révolution avaient plus de 50 ans-l’un était même âgé de 92 ans. Rached Ghannouchi, le leader du parti Ennahdha au pouvoir, a 72 ans, et Béji Caïd Essebsi, le chef de l’opposition Nidaa Tounes partie, est âgé de 87 ans. La jeunesse tunisienne voit ces problèmes comme une simple résurgence des idéologies politiques dépassés et les rivalités alignées avec les

négociaient avec Ennahdha et ses alliés du Congrès pour la République (CPR, parti du président Moncef Marzouki) et d'Ettakatol, la formation du président de la Constituante, Mustapha Ben Jaâfar. Toutes ces organisations militent pour la démission du gouvernement actuel et la mise en place d'un cabinet apolitique pour sortir de la crise politique déclenchée le 25 juillet par l'assassinat, attribué à la mouvance djihadiste, d'un député d'opposition, Mohamed Brahmi. Ennahdha a annoncé cette

Tunisie, afin de voir si ces révolutions n'ont amenées que des bons éléments ou si celles-ci ont posée des défis au pays. Il est intéressant de constater qu'actuellement, la situation globale de la région ne s'est pas tant améliorée depuis que le parti Ennahdha est au pouvoir. La situation économique est décrite par Ezzeddine ben Hamida comme étant "désastreuse". En effet, il y a un déficit de 30% concernant les exportations et les importations. Leur croissance économique est presque nulle. La dépense publique

produisirent dans plusieurs villes tunisiennes et un soulèvement eut lieu à Gafsa. Le gouvernement réagit fermement: treize insurgés furent pendus. En 1987, le procès des militants islamistes a provoqué une vague d’agitations. La mouvance islamiste Ennahdha ayant contesté la politique gouvernementale de laïcisation de l’enseignement, le président Ben Ali dénonça le 7 novembre 1989 «ceux qui confondent la religion et la politique», et affirma «qu’il n’y a pas de place pour un parti religieux en Tunisie»

l'ancien parti gouvernemental, le RCD pour le 9 mars. Le 27 février, démission de Ghannouchi remplacé par Béji Caïd Essebsi. Le 3 mars, annonce de l'élection d'une Assemblée constituante le 24 juillet, reportée le 23 octobre.Le mouvement islamiste Ennahdha remporte ces élections. Les incidents et les agressions se multiplient de la part des salafistes et plusieurs manifestations sont organisées notamment celle du 20 mars 2012. Le 9 avril, une manifestation fêtant la fête des martyrs est violemment

vraie " identité de l'enfant adopté ne peut être connue et les mariages illégaux entre certaines parties (ex. frère et sœur biologiques) ne peuvent être identifiés. En février 2012, certains membres de l'assemblée élue et membres du gouvernement Ennahdha accusaient des mères célibataires d'infamie dans une société arabo-musulmane comme la Tunisie40 38. Une décision non publiée, discutée plus en détail à l'adresse https://www.tunisienumerique.com/premiere-tunisie-verdict- apres-divorce-oblige-femme-a-verser-pension-alimentaire//