Enracinement De La République

.................. 146 La décolonisation................................................................................... 158 THÈME CHAPITRE CHAPITRE 5 10 11 Les Français et la République La République, trois Républiques .......................................................... 173 La République et la société en France .................................................. 190 © Hatier, 2011 ISBN : 978-2-218-95358-3 Toute représentation, traduction, adaptation ou reproduction, même partielle

................................... 146 La décolonisation................................................................................... 158 THÈME 5 Les Français et la République CHAPITRE 10 CHAPITRE 11 La République, trois Républiques .......................................................... 173 La République et la société en France .................................................. 190 © Hatier, 2011 ISBN : 978-2-218-95358-3 Toute représentation, traduction, adaptation ou reproduction

stabilité car il y avait un récit sur la mort (avant le christianisme) – sur l’éternité. Dans la société d’aujourd’hui, il n’y a plus de récit sur la mort. Pas de société structurée sur le débat de la mort. Aujourd'hui, individualisation mais enracinement avec liens familiaux. Ceux sans attaches avec famille → deviennent une figure bien adaptée à la globalisation. Les mythologies ne le structurent plus. Il n’y a plus d’appartenance. La discipline d’une religion devient insupportable. Ce n’est qu’au

philosophes et penseurs de l’Antiquité grecque, ils n’ont guère été tendres pour cette vieillesse que nombre d’entre eux ont pourtant éprouvé. Deux grandes représentations de la vieillesse existent et sont fort différentes. Dans le texte célèbre de la République, Platon donne une vision inattendue de la vieillesse érigée en modèle d’ataraxie. Le vieillard apparaît comme un idéal à atteindre de façon totalement discordante par rapport au reste de la pensée grecque. Tout part d’une phrase assez connue de

le progrès. CHAPITRE 1 Le Libéralisme au 19ème siècle LE siècle du libéralisme car il est en plein essor et il triomphe en Europe occidentale (attaché au mouvement de libération nationale) Il gagne l'Europe orientale notamment dans les Républiques latino-américaines. Quel libéralisme s'agit il? 2 formes: - Libéralisme français: libéralisme politique hardi mais économiquement timoré. - Libéralisme anglais: plutôt pragmatique car trouve d'avantage à s'appliquer dans les gouvernements

indépendance en 1920 ; à la suite du pacte germano-soviétique, elle est intégrée à l’Union soviétique. Le Kalevipoeg, référence de la gloire et de la liberté nationale, est associé à la résistance contre les deux grandes puissances dominatrices. La république estonienne proclame son indépendance en 1991 ; L’épopée armoricaine La production de l’épopée celtique française commence par un manuscrit introuvable. Théodore Hersart de La Villemarqué entreprend de remédier à l’indigence française en matière

d’un calcul rationnel dans lequel l’artifice d’un contrat fait naître à partir des volonté individuelles la volonté générale de la nation. La politique alors dite nationale, n’est pas la politique d’un peuple définit par sa race, son ethnie, son enracinement territorial naturel, ses traditions, ou un lien affectif d’attachement à ses ancêtres L’État Nation est entendu comme le lieu (l’espace) d’une construction normative. La détermination fondamentale de cette association n’est autres que l’adhésion

Quatrième chapitre : comparaison entre la cité grecque et l’Etat moderne Cinquième chapitre : Les monarchies hellénistiques Rome Sixième chapitre : Description des institutions de la République romaine (vers -50 av JC) Septième chapitre : L’établissement d’une nouvelle monarchie sur les bases de la République. Huitième chapitre : Le régime du principa (de -27 jusqu’à 235) : description des rouages de l’institution impériale. Neuvième chapitre : Le traitement du droit dans l’empire romain :

115 fois le mot état mais il ne l’emploie pas dans un sens abstrait mais dans un sens de état. Plus tard Jean BODIN écrit « la république » en 1576. Il achève de théoriser la notion de souveraineté. C’est une étape majeure dans la pensée sur l’Etat. Pourtant il utilise assez peu le terme d’Etat. Son ouvrage traite de l’Etat mais l’appelle sur le mode romain la République, la chose commune. Le terme d’Etat ne lui est pas familier. C’est sans doute Thomas HOBBES dans la première moitie 17ème siècle

déterminé par la recherche d’un intérêt particulier mais c’est un vote dans l’intérêt général en fonction d’une opinion personnelle. On supprime l’allégeance à la communauté. Théoriquement, ce vote a été impulsé par les Républicains dès la Troisième République dans les livres d’éducation civique. La première condition, c’est que le vote devait être secret, les pressions directes ne sont plus possibles, on fait prévaloir le vote individuel. Le secret du vote passe par plusieurs dispositions matérielles