Enragés

l'humain à des chiens ou des loups garous dans les extraits 3 et 5 comme le désigne «  un pays de frayeur en proie aux loups-garous » (l.13 texte 5), « plus enragés que des chiens, adorant la rage,... » (l.14-15 texte 3). Ils considèrent ces animaux comme des animaux stupides et malades comme le souligne l'hyperbole « mille fois plus enragés que mille chiens et tellement plus vicieux » (l.15 texte 3), « Voilà de sots animaux » (l.2 texte 1), « à détruire ainsi leur propre espèce ? (l.13 texte 1)

La ville est présentée comme une incitation à la débauche. 2.3.1 « C’était la première fois que le jeune Provençal buvait de l’alcool. Ses idées se brouillaient et il n’avait guère la tête à lui. Éparpillant les billets de banque, il cria, comme un enragé : la traite! La traite pour tout le monde dans l’hôtel ! »p. 179 Le jeune Provençal boit pour la première fois lorsque le Survenant l’amène en ville. Le jeune Provençal, étant sous l’influence de l’alcool, dépense tout l’argent du marché. La ville

leur place dans la société était de faire le ménage, cuisinier, et d'élever les enfants. Nathalie Provost, un des étudiants, a essayé de dire qu'elles n'étaient pas nécessairement des féministes, mais ce dernier l'a seulement causé de devenir plus enrager. Il a tiré sur tous les femmes. Nathalie Provost était frappé par trois balles. Il a fait le tour de l'école, tirant sur toutes les femmes et les hommes qui étaient avec les femmes. Il est ensuite allez dans une autre salle de classe pour se suicider

creusant, se défilant, caracolant dans les sentiers, pétaradant, enfermés sur la terre comme dans un cabanon, pour y tout détruire, Allemagne, France et continents, tout ce qui respire, détruire, plus enragés que les chiens, adorant leur rage (ce que les chiens ne font pas), cent, mille fois plus enragés que mille chiens et tellement plus vicieux! Nous étions jolis! Décidément, je le concevais, je m'étais embarqué dans une croisade apocalyptique. On est puceau de l’Horreur comme on l’est de la volupté

dépréciative. Au terme « monstre » qui définit le colonel, font écho toutes les comparaisons avec des chiens. Le mot revient à plusieurs reprises : « pire qu'un chien », « plus enragés que mille chiens », « plus vicieux ». La présentation des hommes comme des êtres bien inférieurs aux chiens leur attribue un caractère enragé et une cruauté perverse et inhumaine. Par ailleurs, des termes comme « imbécillité infernale », « fous héroïques » et « croisade apocalyptique », par leur tonalité hyperbolique

face à un malade capable de mordre à tout moment. Les personnes qui disaient avoir vue un vampire n’avaient enfaite vue qu’un enragé. Une personne atteinte de la rage se transforme rapidement en un individu agressif. Nous allons vous présenter quelques similitudes entre l’enragé et le vampire qui ont marquées le neurologue espagnol. a) Les similitudes entre enragé et vampire D’après le mythe du vampirisme, les vampires ne se nourrissent pas et ne boivent que du sang. Cela ressemble beaucoup

des spectateurs qui veulent connaître la suite. Dom Juan est un personnage mystérieux, son portrait serait trop long car il est trop complexe. La réplique de Sganarelle est très longue, ce qui montre qu'il y a beaucoup de choses à dire. « Un enragé, un chien, un diable, un Turc, un hérétique, qui ne croit ni ciel, ni Enfer, ni loup-garou, qui passe cette vie en véritable bête brute, un pourceau d'Épicure, un vrai Sardanapale » (l.58-61) → langage accumulatif de mots presque synonymes car Sganarelle

contracter » et jouit ainsi d’un plaisir constant. Le rapport maitre-valet est parsemé de plein d’exagérations. Tout d'abord, nous pouvons remarquer que la tirade de Sganaarelle est basée sur une critique comme par exemple l’énnumération suivante « un enragé », « un chien », « un diable », « un Turc ».... Il se place en victime dans leur relation « la crainte en moi fait l'office du zèle est synonyme d’ardeur . S'il pouvait faire autrement, il ne serait pas au service de Don Juan. Cependant, il admire

: - Les enragés qui trouvent que la terreur ne vas pas assez loin. Leur chef est Hébert. Il écrira notamment un journal qui pousse à l’extrême. - Les indulgents qui sont plus gentils, ils veulent arrêtés la terreur. Leur chef : Dauton. Robespierre se trouve au centre des 2. 1er acte : Hébert vas faire une erreur : il lance un appel à la révolte/insurrection pour renforcer la terreur. Suite à cela tout les chefs ainsi que lui seront attrapés, jugés et exécutés. C’est la fin des enragés. Avril 1794

Le communisme un danger ?Il est vrai que pour le moment le communisme a eu une très mauvaise publicité a cause de ce sympathique dictateur assoiffé de sang qui est Staline, mais Staline n'était pas un communiste ce n'était qu'un dangereux enragé et cela même Lénine l'a dit.Cette énergumène qui ma fois n'était pas des plus doué en se qui concerne la lecture de Karl Marx a tué tous nos camarades envoyer des personnes innocentes au Goulag. Ne parlez pas de lui comme d'un communiste mais plutôt comme