Enterrement

misérable où G a vieilli et meurt Indices temporels : manifestent la précipitation et la hâte d’en finir ; tt est chronométré ds l’enterrement à expéditif Peu pers partent vite Descript° descente du corps rapide ms départ des pers descript° longue Enterrement minutieusement décrit , les faits donnés de manière brute et sans com. Passé simple = succession banale d’actes qui n’apparaissent pas cm événement ms cm étapes conventionnelles, sans âme Effet de réel ds les choix lexicaux de l’enterrement, ds

->Annonce d’un récit enchâssé à la fin de l’incipit -> début d’une autre histoire par un narrateur anonyme, ms qui connaît l’histoire qu’il a vécue -> de nveau, crédibilité. => Effet de réel. c)- Une scène familière : - sujet banal, quotidien : enterrement -> champ lexical de la mort « corbillard » - « convoi funèbre » - « le mort »- « défunt »…. => analyse méticuleuse du convoi par le narrateur. - Personnages anodins et anonymes -> dénominations des personnages accompagnant le convoi -> indéterminé

''bière'' à la ligne , ''char'' et nous précise même les titres des psaumes, enfin il ne nous épargne pas le bruit sourd des pelleté de terre sur le bois du cercueil, Toute ces précision réaliste accentuent l'atmosphère triste solennelle de cet enterrement. B) La volonté satirique dans cette extrait d'autres situations ou attitude conventionnel souligne une tonalité parodique voir odieuse révélant la misère et l'abandon dont le père Goriot est victime. *le rôle de Christophe personnage nécessaire

m’évanouir. Alors je pris mon courage à deux mains et j’allai ouvrir cette maudite porte. Je mis ma main sur la poignée, l’ouvrit délicatement en frissonnant etc’était bien lui : le tailleur de malheur. Il était Vêtu d’un ensemble noir comme pour les enterrements. Je lui dis doucement : -. Il s’avança vers la porte sans me répondre, l’ouvrit, sortit et la claqua très violemment. J’essayai de lerattraper mais il avait disparu. Alors, je réfléchis ou j’avais mis la note et quand j’eus trouvé celle-ci

pointilleuse de la société. Le passage étudié de cette œuvre se situe au moment de l’enterrement du Père Goriot. En effet, à la suite d’une énième dispute avec ses deux filles le Père Goriot sera victime d’une crise d’apoplexie. Le cadre de cet enterrement est macabre et pitoyable puisque seulement Rastignac, l’étudiant arriviste, et Christophe le domestique de la pension Vauquer, lui rendront un ultime hommage.Comment la mort physique du Père Goriot provoque-t-elle la mort morale de Rastignac caractérisée

. I. UN EXCIPIT SORDIDE MAIS REALISTE 1) L'enterrement du père Goriot : Cf enterrement : • CL de l'enterrement : Ligne ''corbillard'', ligne ''bière'', ligne ''croquemort'', ligne ''fossoyeurs '', ligne ''tombe'', ligne ''ensevelit'', ligne ''fosse'', ligne '' une seule voiture de deuil '', ligne 28 => chant typique de l'enterrement. • CL macabre et solennel digne d'1 enterrement : ligne ''cris agonisants'', ligne ''chapelle basse et sombre'', ligne ''pauvre homme '', ligne '' larme'', ligne

3 L’enterrement dans la peinture a)enterrement dans les deux sèvres Nous avons choisis de vous présenter ce tableau de Pierre Gourdault peint en 1910 et actuellement exposé au Louvre à cause de sa troublante ressemblance avec enterrement à Ornans. En effets, bien que peint 60 ans après ce tableau semble répondre au même cahier des charges. Il présente le même thème des funérailles, à l’opposé de la France, Ornans se situant dans le Doubs, avec les mêmes personnages à l’exception des croques morts

décrit l`enterrement en manière froid et incident - comme s`il n`y s`intéresse pas - le lecteur peut deviner qu`il aimait sa mère. Il y a quelques indices pour cela: * Il pense beaucoup à sa mère, qu`il appelle toujours ,,maman". * Maintenant qu`elle n`est plus là, il se sent seul (-quoique sa mère soit à l`asile depuis trois ans...). * Ses dernières pensées tournent aussi autour de sa mère - leur conseils aident Meursault à la prison. S`il se montre impassible et indifférent à l´enterrement de sa

à prononcer (affreux hurlement), diérèse inélégante sur opiniâtrement. B / Un enterrement symbolique L’image dépeinte est celle d’un enterrement, mis en avant par le tiret annonçant la dernière strophe. Enterrement symbolique, défilé : la lenteur du poème serait la lenteur du cortège funèbre… Cloches de l’Eglise… Tableau digne d’une nouvelle fantastique de Poe. C / De l’enfermement à la claustrophobie Enterrement pourrait être celui du poète lui-même : on est passé du nous et on à mon. Enfermement

gens du peuple; seuls les souverains ont le droit d'être peints en pied, avec leurs décorations, leurs broderies et leurs physionomies officielles. Comment ? Un homme d'Ornans, un paysan enfermé dans son cercueil, se permet de rassembler à son enterrement une foule considérable: des fermiers, des gens de bas étage…" rhgfieuzqugtiozjfoqjghezoqigjkeohjeqùkogvlthjtzrjkjdbkwskpwùjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjjChampfleury, Du Réalisme, Lettres à madame Sand 1855 "A l'heure qu'il est, madame, on voit à