Enterrement

pages) Novembre 1876 Christine s’emporte contre Claude et dit tout son désespoir. Elle 1 soir réussit à l’arracher à son tableau qu’il est en train de gâcher. + épilogue Nuit d’amour ultime et sensuelle. quelques jours + Suicide de Claude. tard Enterrement Personnages principaux : Claude Lantier Christine (description p. 69) Pierre Sandoz (description p. 85) Personnages secondaires : Dubuche (description p. 107) Mahoudeau (description p. 131) Fagerolles (description p. 143) Jory (description p. 134)

se sont peu à peu fait connaître dans le monde de leur époque et aussi actuellement. En voici le nom et les œuvres de certains. Édouard Manet (Café concept, entre 1868 et 1869) Jean-Baptiste Corot (Le chemin Sèvres, 1826) Gustave Courbet (Un enterrement à Ornans, 1849-1850) Jean-François Millet (L'Angélus, 1860) Henri Fantin-Latour (Hommage a Delacroix, 1864) 2°Le réalisme au XXe siècle a-La nouvelle définition Le terme est utilisé dès mai 1960 par le critique

Une Vie) qui est à la limite du naturalisme et qui, paradoxalement, pourrait appartenir au mouvement romantique. • Champfleury (Le Réalisme en 13 points). • Gustave Courbet, chef du mouvement réaliste en France, il a notamment peint Un enterrement à Ornans, Paysage du Jura. • Émile Zola, et ses carnets d'enquêtes, véritables sources d'informations historiques, preuve des investigations de l'auteur réaliste Romans naturalistes (1864-1895). - Allemagne. Hauptmann, l'Aiguilleur Thiel

sensibilité autant littéraire que picturale se dessine : il s’agit du réalisme. Tandis que Murger écrit Les Scènes de la vie de Bohème, que Champfleury donne _Monsieur de _Boisdhyver, Courbet déclenche un véritable scandale avec son tableau Un enterrement à Ornans {draw:frame} parce qu’un chien vient entacher le caractère sacré d’une inhumation. Cette évolution avait été préparée par le positivisme scientiste d’un Auguste Comte qui avait permis de réagir contre les excès du sentimentalisme romantique

dominé la première moitié du siècle, et au classicisme. | Nous pouvons prendre l’exemple d’Emile Zola en littérature avec sa série sur la famille des Rougon Macquart. En peinture, nous pouvant prendre ces exemples : * Camille Corot * Courbet (Un enterrement à Ornans, 1849-1850) * Honoré Daumier * Millet (L'Angélus, 1859) | L’Impressionnisme :L'impressionnisme est un mouvement pictural français né de l'association de quelques artistes de la seconde moitié du XIXe siècle. | Voici quelques exemples :Bazille

nouvelle sensibilité autant littéraire que picturale se dessine : il s’agit du réalisme. Tandis que Murger écrit Les Scènes de la vie de Bohème, que Champfleury donne Monsieur de Boisdhyver, Courbet déclenche un véritable scandale avec son tableau Un enterrement à Ornans parce qu’un chien vient entacher le caractère sacré d’une inhumation. Cette évolution avait été préparée par le positivisme scientiste d’un Auguste Comte qui avait permis de réagir contre les excès du sentimentalisme romantique. C’est dans

argument en disant que cette laideur là est bien la leur, ce qui affole et déplaît puisque l’homme moral était aussi en ce temps l’homme physique. De plus, on peut noter le titre original du tableau : Tableau de figures humaines, historiques d’un enterrement à Ornans qui montre le souhait de Courbet à en faire un tableau d’histoire et qui suscitera le scandale. Le peintre offre alors une description de la société et montre un intérêt pour des types sociaux. Ce que l’on retrouve aussi dans la littérature

s’est sans cesse renouvelé mais que de ces successives contestations de la tradition et de l’académisme sont nés d’autres traditions, d’autres écoles, d’autres tabous et d’autres académismes. De fait, en peignant sur une toile de grand format Un enterrement à Ornans (ill. ci-dessus), Gustave Courbet contestait la peinture d’Histoire. Pablo Picasso a plus tard contesté la toile via ses collages et notamment La nature morte à la chaise cannée (ill. à droite). Tout en se moquant du marché de l’art, Marcel

nouvelle sensibilité autant littéraire que picturale se dessine : il s’agit du réalisme. Tandis que Murger écrit Les Scènes de la vie de Bohème, que Champfleury donne Monsieur de Boisdhyver, Courbet déclenche un véritable scandale avec son tableau Un enterrement à Ornans parce qu’un chien vient entacher le caractère sacré d’une inhumation. Cette évolution avait été préparée par le positivisme scientiste d’un Auguste Comte qui avait permis de réagir contre les excès du sentimentalisme romantique. C’est dans

vases de Charles Gallé (1818-1902), meubles de Louis Majorelle (1859-1926) ou façades d’immeubles de Hector Guimard (1867-1942). Après Emile Zola, en réaction au naturalisme (Jules Bastien-Lepage Les Foins, 1877) ou au réalisme (Gustave Courbet, Un Enterrement à Ornans, 1849-50), apparaissent l’impressionnisme et l’expressionnisme. La danse et le ballet n’échappent pas à cette tendance et y trouvent même une impulsion, faisant d’un art de l’onirisme un art du temps. Deux directions s’ouvrent : « des artistes