Enterrement

pantoufles que , ce matin du 11 mai 1976 à 6h34 que le président de la rebuplique , Grégoire Bridge , quitta ses appartements privés pour gagner la salon du palais de l’Elysée. Félix le suivait dérriere à petite allure .Comme on marche pour un enterrement . Grégoire regretait tellement son lit et sa douche en se demandant ce qui pouvait bien l’attendre dans le salon . Le salon était une belle pièce décorée dans un style doré . Cette pièce s’ouvrait par des baies vitrées sur la grande terrasse du

C’est le crépuscule(soir) qui coincide avec et donc symbolise la mort du père Goriot en même temps que la fin d’une étape dans la vie de R. -Les personnages : Nous avons un panorama des personnages , les figurants tissent l’atmosphère d’un enterrement (L.5 « le clergé L.6 « les 2 fossoyeurs ») .On trouvd un personnage secondaire Christophe le domestique et un personnage principal d’abord appelé Eugène(L.8) puis R.(L.22) , quand il se tourne désormais vers sa vie d’adulte . 2)L’omniprésence

Le réalismeSommaire :I. Qu’est-ce que le réalisme ?II. Quand est-il apparu ?III. Où est-il apparu ?IV. ConclusionLe réalisme est un mouvement artistique et littéraire apparu vers les années 1850 en France, par la suite ce mouvement s’étendra dans l’Europe jusqu’à l’Amérique.I. Qu’est-ce que le réalisme ?Le réalisme est un mouvement littéraire qui cherche à représenter la réalité telle qu’elle est. Souvent la littérature réaliste est objective et documentée, elle s’intéresse aux milieux défavorisés

semaines consécutives il a été l'agent le plus actif de la DIR, ah Tobias il en a connu des DIR, des recrues c'était un agent qu'ont apprécié sûrement tous c'était aussi mon frère et aujourd'hui ses moi qui vous raconte son histoire j'espère qu'un enterrement digne de ce nom lui sera organisé paix à son âmeOn apprécie tous Tobias • J'espère que mon frère aura une distinction par la DIR pour ses services• ses amis, sa famille tous en ont profité un maximum Tobias est décédé, il n'avait que 33 ans,

social - sa condition sociale (riche, pauvre ?) - ses sentiments 3) Le personnage tient un discours déroutant - Dans l’incipit : il ne s’intéresse qu’à l’aspect adm & social de la mort (choix des vêtements de deuil, préparatifs pr enterrement..), ce qui est contraire aux attentes du lecteur & de la sté. - - Dans l’excipit : il semble heureux alors qu’il est condamné à mort, il se sent libre alors qu’il est en prison, « cris de haine » alors qu’il vient de dire qu’il s’est réconcilié

6)son statut social 7)sa condition sociale (riche, pauvre ?) 8)ses sentiments 3) Le personnage tient un discours droutant - Dans l’incipit : il ne s’intresse qu’ l’aspect adm & social de la mort (choix des vtements de deuil, prparatifs pr enterrement..), ce qui est contraire aux attentes du lecteur & de la st. 9)- Dans l’excipit : il semble heureux alors qu’il est condamn mort, il se sent libre alors qu’il est en prison, ?~cris de haine  alors qu’il vient de dire qu’il s’est rconcili avec

lie d'amitié 1947 : La Peste, succès 4 Janvier 1960 : meurt tragiquement dans un accident de voiture. Résumé de l’œuvre Le roman commence par la mort de la mère du narrateur. M. Meursault part donc à Moengo à l'asile où sa mère était, pour son enterrement. Le narrateur nous raconte alors les étapes de son voyage, c'est ainsi que nous faisons «connaissance » de deux de ses amis : Céleste qui tient un restaurant; et Emmanuel. Son fils ne pouvait subvenir à ses besoins de sa mère, d’où le placement

» - réflexion sur le héros et sur la résistance (chapitre 8), ce qui permet de faire le lien entre la peste (roman) et la guerre (Seconde guerre mondiale) « le narrateur croit qu'il convient de décrire la situation générale » : description des enterrements (ici, on ne peut pas faire le lien direct avec la guerre) Première personne du pluriel PARTIE III : Apogée de la - « au milieu du mois maladie d'août » (un seul chapitre, qui occupe - « à longueur de semaine » donc une place centrale) PARTIE

pendant de nombreuses années, il a du se résoudre a la mettre dans un asile car elle devenait ingérable, donc il a déja fait le deuil psychologique de sa mere et l'avait déja symboliquement enterré en la mettant malgré lui dans un asile. Le véritable enterrement n'était plus pour lui que l'enterrement d'un corps charnel, sans aucune importance. Deuxiemement mon cher confrere prétend qu'il n'a pas de sentiments envers les etres humains. Comment peut il ne pas avoir de sentiments s'il a une maitresse:

avec l’alexandrin et les césures 2. Vacuité du propos Usage de cliché et de lieu commun qui sont soulignés par le présent de vérité général V.2,4,7 Utilisation d’article define dans le titre qui insiste sur le fait que l’on connait cette enterrement Utilisation d’adjectif passé partout V.1,9,12 qui renvoie au peu d’interet de cette scène. L’auteur a travers différentes formes d’oralité nous présente une scène inhabituellement joyeuse. 2. Un éloge paradoxal 1. Un theme inhabituel pour