Enterrement

Camus 1)Biographie:Albert Camus (1913-1960) était un journaliste engagé durant la résistance et connaît par la suite la célébrité avec un essai: le mythe de Sisyphe et deux romans la peste et l'étranger 2)Première partie Chapitre1: Un enterrement => Meursault apprend la mort de ca mère, et part alors à sa veillé funèbre et assistera à l'enterrement sans aucune tristesse. Chapiytre2: L'amour ? =>Meursault rencontre par hasard Marie, une jeune et belle femme et s'ensuivra alors un relation

dans le monde grâce à des personnages importants de la littérature et de l’art. DÉVELOPEMENT Le terme réalisme est utilisé pour la première fois en 1850 par GUSTAVE COURBET pour caractériser ses peintures notamment » un enterrement à Ornans » qui crée une véritable polémique car les critiques d’art et aristocrates trouvent ses tableaux terriblement criard sur les réalités de la vie ce qui est en contradiction avec le mouvement prédominant de ce époque qui est le

Dans le texte, nous sommes dans la dernière page du roman, le convoi funèbre du père Goriot. Dans un premier temps nous verrons l’enterrement d’un homme pauvre et abandonné, puis, dans un second temps, la fin de l’initiation de Rastignac. I Un enterrement d’un homme pauvre et abandonné Le père Goriot à l’agonie souffre plus  de l’abandon de ses filles que de l’approche de la mort elle-même ainsi que le suggèrent les expressions suivantes, «　Il n’y avait qu’une seule voiture de deuil.. » « Il n’y

raconte son histoire à la manière d’un journal intime, même si l’œuvre reste un roman. Résumé Meursault est un journaliste vivant sous l’Algérie française. Un jour, il reçoit un télégramme annonçant la mort de sa mère. Meursault se rend à son enterrement mais n’éprouve aucune tristesse. Le lendemain, il rencontre une ancienne amie, Marie, qu’il invite à voir un film humoristique de Fernandel. Puis, il fait connaissance avec son voisin de palier, Raymond Sintès. Ce dernier lui propose de se rendre

assistera indifférent à son procès et à sa condamnation à mort. Le texte proposé ici constitue l’incipit du roman, c’est un récit à la première personne du singulier dans lequel le personnage principal apprend la mort de sa mère et se rend à son enterrement. I) Une écriture désincarnée… A- La découverte d’une interiorité Les indices temporels sont nombreux mais on ne peut pas dater précisément les actions puisqu’ils correspondent au présent de narration du narrateur ce qui veut dire qu’on a

l’enterrement : « D’ordinaire, dans un enterrement, les membres proches de la famille se tiennent près du cercueil pour recevoir les condoléances ; mais là, de famille, il n’y en avait pas.5 » En effet, Houellebecq n’avait pas de famille, ni de membre proche de lui. Le procédé, le point-virgule, vient expliquer ce qui se passe à l’enterrement de Houellebecq et contredit à la fois, car la phrase qui précède qui explique ce qui se passe habituellement dans un enterrement, et ensuite il se contredit avec

dans le roman : Rastignac. Tout d’abord nous analyserons la visée réaliste et pathétique de cet extrait. Puis comment Eugène perd ses derniers idéaux et fonde son nouveau projet moral. I. Un dénouement réaliste et pathétique 1/un enterrement réaliste Nous montrerons de quelle façon ce texte respecte les codes du réalisme. a) Un cadre spatio-temporel précis - Le texte possède une organisation typographique parallèlement au déroulé de l’enterrement : « cependant » (l 20) ; « quand »

voire choque. Ce contraste intéresse le poème tout entier, entre l’enterrement, ce qui devrait être une cérémonie funèbre, et la description qui en est faite, pleine d’humour. • Le premier vers, déjà, nous confronte ainsi à une antithèse, « un enterrement » dans une qualification presque oxymorique, la « gaieté » de l’évènement. L’humour parcourt ainsi tout le poème mais reste cependant trop insistant, débordant les limites de la simple moquerie. Remettre en cause la gravité de la cérémonie est une

humide et sombre "un humide crépuscule agaçait les nerfs". Ceci aide à créer une atmosphère de tristesse. Les symboles représentants la fin sont nombreux dans ce texte; Balzac nous emmène à la fin de son livre, un soir, en hiver, en fin d'année à un enterrement. Les situations ou attitudes conventionnelles prennent une tonalité parodique et même odieuse, révélant la misère et l'abandon dont le père Goriot est victime jusqu'à la fin. La pauvreté du père Goriot est mise en avant grâce au vocabulaire

3) Rupture avec les codes traditionnels du roman : - Il y un personnage entouré d’autres personnages satellites : « La mère ; Celèste ; Emmanuel ; le directeur ; le concierge » - Flou temporel : « aujourd’hui où peut-être hier ; enterrement demain » - Contradiction entre le flou temporel et les précisions spatiales : « L’asile de vieillards est à Marango à 80 Km d’Alger ; à 2 Km du village » - Cependant les lieux ne font pas l’objet de descriptions particulières. - Contradiction