Entre Ces Deux Personnages

sur une oeuvre, Juste la fin du monde, LagarceComment la pièce Juste laComment la pièce Juste la fin du monde de Jean-fin du monde de Jean- Luc-Lagarce donne-t-elleLuc-Lagarce donne-t-elle à voir des personnages enà voir des personnages en crise ?crise ? les personnages subissent desles personnages subissent des crises personnelles - la crisecrises personnelles - la crise familiale et familiale et la parole en crisela parole en crise chez Lagarce.chez Lagarce. Comment l’œuvre Juste la fin duComment

communs entre les deux incipits l’un de Guy de Maupassant et l’autre de Roger Martin du Gard. Dès le début des deux incipits, nous pouvons remarquer qu’ils sont « In medias res », les personnages existent avant le début du récit ce qui donne une impression réaliste. L’incipit “ In medias res” attire l’attention du lecteur et quitte à lui donner un peu plus tard les informations nécessaires pour qu’il comprenne les faits passés. Dans Pierre et Jean, les premières lignes nous montrent cette entrée de la

mélanger les genres dans le théâtre fait référence à l'esthétique baroque qui précédait le classique. Ils veulent remettre au goût du jour les genres du Moyen-Âge. Le héros est toujours un marginal, un original qui interroge toujours la société. Le personnage romantique est toujours complexe, c'est une volonté de montrer la complexité des êtres humains. En Juillet 1830, un ami de George Sand, Jules Sandeau fait remarqué à celle-ci un texte dans les archives, des chroniques du XVI° d'un auteur florentin

« Mon bras qui tant de fois a sauvé cet empire/Mon bras qu’avec respect toute l’Espagne admire ». * Le parallélisme : reprise d’une même construction dans deux groupes de mots (a-b/a-b) qui souligne correspondances ou oppositions « Rodrigue, qui l’eût cru ?/ Chimène, qui l’eût dit ? » * Le chiasme : parallélisme inversé (a-b/b-a) « Entre cet homme fauve et ce tragique enfant ». * L’accumulation : juxtapose ou coordonne un grand nombre de termes ; la gradation énumère plusieurs termes d’intensité

comique, c'est une pièce qui raconte l'histoire de deux personnages : Le Comte, amoureux de Rosine, et Figaro. Ces deux personnages sont totalement opposés, mais réussiront à se croiser. Dans cet extrait, qui est la scène d'exposition, l'auteur nous présente les deux protagonistes et le cadre spatio temporel. Comment Beaumarchais réussit-il a mettre en place une exposition de comédie ? Et comment Beaumarchais souligne l'opposition entre les deux personnages ? Dans cet extrait la il y a des didascalies

auteur anonyme, XIIIè siècle. Objectifs: -étudier l'art du récit -découvrir des personnages types de fabliaux. Axes d'étude: L'action et les personnages, l'art du conteur et la portée du récit. COMPRENDRE LE TEXTE I- L'action et ses personnages 1. Le fabliau compte trois personnages : le paysan Gombault, sa femme et le curé. 2 . L'événement qui déclenche l'action est le fait que le paysan découvre deux perdrix presque mortes dans un buisson, près de sa ferme (l. 2 à 4). 3. a. Le

en évidence, l'aspect morphologique du conte, ne s'intéressant, exclusivement, qu'aux fonctions des personnages. Isolant ainsi les éléments récurrents des éléments variables dans les contes merveilleux. Le système de Propp Suite à son analyse morphologique, Propp formule trois principes immuables dans les contes merveilleux : • Les éléments constants des contes sont les fonctions des personnages; • Le nombre de fonctions compris dans un conte merveilleux est limité; • Les fonctions respectent

Introduction : - La fontaine (1621-1695) est l’un des plus grands moralistes et fabulistes classique. - L’œuvre de La Fontaine est riche et diversifié. La postérité a surtout retenu deux de ses œuvres : ses contes et ses fables. - Ses fables ont été publiées entre 1678 et 1694 , et sont regroupée en 12 livres. - Ses fables appartiennent au genre de l’apologue, elles possèdent donc un mode argumentatif indirect : l’argumentation se fait à travers un cours récit. Elles sont souvent inspirées

et à l'impliquer. II - Les caractéristiques du livre. 1 - Il y a un narrateur, il est extérieur à l'histoire : il n'est pas impliqué dans l'intrigue. 2 - Le point de vue dominant est celui du narrateur omniscient : toutes les pensées des personnages, leur histoire nous sont dévoilés 3 - L'histoire est plutôt coupée de la situation d'énonciation : le passé simple est prédominant, les indicateurs de temps le montrent, on suit l'histoire et non pas l'auteur. 4 - Ce livre n'est pas organisé

Renaudot. Il décrit, à travers l'histoire de Jérôme et Sylvie, deux jeunes gens, une dramatisation de la vie et les dangers de la société de consommation. On remarque que trois parties de l'extrait se dégagent ; une sorte d'introduction, suivie ensuite par l'illustration de ces arguments avec une partie en crescendo, puis une partie en décrescendo. Cet extrait est essentiellement basé sur la première phrase ; l'argent qui se "dresse" entre eux est le sujet principal de leurs conversations et le reste