Entre Ciel et Terre

positive l'autre négative , la seconde partie étudie la comparaison, l'assimilation entre le poète et l'albatros. Le récit présente 2 figures radicalement opposées de l’Albatros selon l’espace où il se situe  : dans le ciel ou sur le bateau. Les deux espaces sont totalement différents l’un est infini, l’autre limité à la surface du navire. L’un se traverse en volant , l’autre ne peut être que fouler. . Dans le ciel, son monde, l’albatros est mis en valeur : - Par sa beauté (beau) - Par sa grandeur

sacré est un évènement, sans pour autant constituer un moment unique dans l’économie de l’esprit. Volonté œcuméniste et syncrétique de rapprocher les grandes expériences entre elles avec l’objectif de mettre à jour leur fonds commun à travers l’étude des hiérophanies (modalités de manifestation/révélation du sacré). Distinction entre hiérophanies à destinée locale (particularisme de l’Acvattha, espèce d’arbre que seuls les Indiens vénèrent et dont le symbolisme leur est exclusivement transparent, et

exposée à la National Galerie, à Berlin. Il représente un paysage maritime au crépuscule. La construction est horizontale, composée de trois plans horizontaux, la terre, la mer et le ciel, qui s'unissent dans un dégradé de couleurs et de lumière. Ce dégradé va du plus sombre au plus clair, des couleurs chaudes aux couleurs froides. Le ciel est l'élément majeur du tableau, occupant les deux tiers de l'espace. Le seul relief du tableau est marqué par les rochers sombres aux formes arrondies du premier

d'hydrogène, qui se comprime sous sa propre force de gravité. Ensuite, les particules d'hydrogène se fusionnent pour se transformer en hélium. Cet hélium brûle et dégage de la chaleur et de la lumière, c’est cette lumière que nous percevons depuis la Terre. 3) Le Soleil a une couleur jaune tirant sur le blanc. Sa température de surface atteint 5 750K. 4) Non les étoiles bleues sont beaucoup plus chaudes que les étoiles rouges. Prenons l’exemple d’une étoile rouge et d’une étoile bleue se situant

1). Ensuite il y a ce court instant où « des femmes descendaient du ciel en glissant le long d’une corde » (l. 6-7). Pour finir, il y a ces animaux qui occupent la surveillance du village (un rang important chez les hommes) : « les hommes discutent entre eux et confient la garde du village à l’épervier » (l. 16-17). 3-Le symbole mis en scène est la corde. Elle représente le lien qui unissait les femmes entre le ciel et la terre. La corde a, ainsi permis aux hommes d’avoir des femmes. 4-Dans un

histoires (1978) Recueil de huit nouvelles de J.M.G. LE CLZIO (310 pages) Mondo (page 2) Lullaby (page 3) La montagne du dieu vivant (page 5) La roue deau (page 6) Celui qui navait jamais vu la mer (page 6) Hazaran (page 8) Peuple du ciel (page 8) Les bergers (page 9) pour chacune desquelles on trouveun rsum et un commentaire. Figure aussi une analyse de lensemble du recueil (page 11). Bonne lecture Mondo Nouvelle de 70 pages Le jeune Mondo, qui avait dix ans, dont on ne savait

auparavant s'évanouie, et de ce fait la première frontière s'érige infranchissable. C’est la tragédie qui prend naissance. En effet, au moment où l'homme a pensé le monde il a ouvert les portes de sa déchéance, il perd l'Eden pour prendre possession de la terre. Il saisi pour la première fois les limites de son être, il perçoit le possible du devenir , il se projette il devient action, mouvement . Il devient monde, de se fait il est une antinomie du néant. Etre seul implique inéluctablement le déclenchement

que la terre soit comme le ciel : ligne 6/7 «  flambait l’éblouissante queue de comète, trouant la nuit » la queue de comète est en réalité la Lison. Ligne 9/10 «  l’immense tourbillon blanchâtre » l’immense tourbillon blanchâtre n’est autre que la chute de neige. Ligne 28 « Elle tombait plus dense » ici c’est la neige qui tombe plus encore. A travers ces comparaisons, Zola change le paysage pour qu’il devienne plus angoissant. Ensuite, il va faire en sorte qu’il y ait une confusion ciel-terre chez

alexandrins. Il dénonce la guerre et fait une satire de Dieu et de la religion dans ce poème. On remarque aussi ici sont attachement a la nature qu’il mêle a la guerre. Tandis que les crachats rouges de la mitraille Sifflent tout le jour par l'infini du ciel bleu ; Qu'écarlates ou verts, près du Roi qui les raille, Croulent les bataillons en masse dans le feu ; Tandis qu'une folie épouvantable, broie Et fait de cent milliers d'hommes un tas fumant ; - Pauvres morts dans l'été, dans l'herbe, dans ta

par LAO TSEU Nouvelle traduction de Conradin Von Lauer UN La voie que l'on peut définir n'est pas le Tao, la Voie éternelle. Le nom que l'on peut prononcer n'est pas le Nom éternel. Ce qui ne porte pas de nom, le non-être, est l'origine du ciel et de la terre. Ce qui porte un nom est la mère de tout ce que nous percevons, choses et êtres. Ainsi à celui qui est sans passion se révèle l'inconnaissable, le mystère sans nom. Celui qui est habité par le feu de la passion a une vision bornée. Désir et