Envie

Autre (préciser)…………………….……………….. 4) As-tu envie d'arrêter de fumer ? Oui Non As-tu déjà essayé d'arrêter de fumer ? Oui Non Si oui pourquoi ? Tu veux te débarrasser de cette habitude Ca coûte trop cher C'est dangereux pour la santé Autres (préciser) …………………………………….. Si non pourquoi ? Il n'y a pas de risque Il y a des risques mais pas pour vous Pour l'instant, vous ne risquez rien C'est trop difficile d'arrêter Vous n'avez pas envie d'arrêter Autres (préciser) ……………………………………

Rimbaud (1854-1891), « Alchimie du verbe » (extrait), « Délires », II, Une saison en enfer, 1873. Texte D - Guillaume Apollinaire (1880-1918), « Paysage », Calligrammes, 1918. Texte E - Raymond Queneau (1903-1976), « Bon dieu de bon dieu que j’ai envie d’écrire un petit poème », L’Instant fatal, 1948. Texte A : Ronsard, « Marie, qui voudrait votre beau nom tourner », Continuation des Amours Après Les Amours de Cassandre, inspirés par une grande dame et marqués par le pétrarquisme et l’érudition

vers 34. Ainsi, nous voyons que l’amour la pousse à la folie, puis à un état de désespoir qui la fait se détester. C’est à cause de ce sentiment que la seule solution que Phèdre trouve est la mort. Suite à ce mal être, Phèdre exprime une réelle envie de mourir. Ce désir se manifeste à la fin de la tirade. Nous le voyons au vers 30, Phèdre se sent si coupable et a une image si négative d’elle, qu’elle se considère comme coupable et dit à Hyppolite : « venge-toi » et « punis-moi ». Dans cette partie

qu’il n’a pas, surtout la protection ; « j’ai parfois envie de crever, tellement j’ai envie d’être fort » - il imagine qu’il est flic et qu’il n’a plus « peur de rien et de personne ». Ces rêves soulignent la vulnérabilité de Momo qui se sent exposé et sans défenses – il est obligé de vivre avec plein de craintes et dans un monde dur sans défenses. Pour échapper a cette réalité Momo crée sa « lionne » qui « défend ses petits ». Il a tellement envie de l’amour et la sécurité d’une figure maternelle –

 à Favos de Mel, et au‐delà, à toutes celles et à tous ceux qui  consacrent leur vie à donner un peu de douceur, un peu de bonheur aux autres ! Bravo !  Dans un monde où l’on parle plus des choses négatives que des petits et des grands  bonheurs, j’ai eu envie de prolonger le plaisir de ma lecture personnelle avec mes élèves.  En lycée pro, ils n’aiment pas lire, OK ! Alors, je lis le livre à haute voix dans chacune de mes  classes. Une classe de 24 élèves de première année de BEP vente . Une classe de 19 élèves 

sur la description de l'escalier pour nous montrer l'horreur que Duroy doit subir tous les jours, il a amené peu de scènes pendant tout le roman dans cette maison pour faire comprendre au lecteur que Duroy n'a aucune envie de rester dans se taudis, il en a honte il n'avait qu'une envie c’était de s'en aller. Ensuite l'auteur a mis le lieu de résidence de Duroy près de la gare des Batignolles, sa chambre donne sur celle-ci, ce qui lui rappelle constamment son métier. Maupassant fait une description

lorsqu’il se trouve dans sa cellule, et qu’il s’énerve contre l’aumônier, il ne s’en prend qu’aux femmes qu’il accuse sans justification : « la petite femme automatique était aussi coupable que la Parisienne que Masson avait épousée ou que Marie qui avait envie que je l’épouse », sans mentionner Raymond qui est un maquereau, ou Salamano qui frappe son chien. De plus, il compare la femme de ce dernier à un chien : « le chien de Salamano valait autant que sa femme ». Le roman représente une société

Arthur : Si je suis en train d'écrire une chanson et qu'on me dit : "Va faire la vaisselle", je ne suis pas content. Mais si c'est l'inverse, pas de problème! Yves Michaud : Donc la paresse est liée à la motivation, à l'envie. Et si vous n'avez pas envie de faire quelque chose, c'est la récompense ou la peur de la sanction qui vous motive. On peut donc agir sur la paresse par la motivation. Arthur : Mais la volonté, c'est comme la motivation ? Yves Michaud : Là, il y a deux façons de répondre. Certains

dans l’expression de ses émotions. -Il utilise comme mots pour parler de sa cabane « vorde » -Très vite les concerts à trois violes des saintes colombes furent renommés. -«monsieur, vous vivez dans la ruine et le silence, on vous envie cette sauvagerie. On vous envie ces forets verts qui vous surplombent. -Monsieur j’ai consacré ma vie à des planches de bois grises qui sont dans un murier - votre palais est plus petit qu’une cabane et votre public est plus petit qu’une personne. -vous allez pourrir

lui ai dit d'arrêter car il allait se blesser, il a murmuré que c'était trop tard. Je l'ai entendu, alors j'ai ouvert la porte. Je ne suis pas sorti, je suis resté un peu loin, j'ai regardé ses mains en sang. Ça m'a fait mal au cœur, j'ai eu très envie de le soigner. Mais je ne l'ai pas fait. J'ai résisté, j'ai pris sur moi, très fort. J'ai regardé ses blessures sans rien dire. Au lieu de ça, j'ai crié. J'ai hurlé. Je me suis énervé. Il m'a regardé avec un air abasourdi, et moi j'ai continué sans