Épée

population civile sans défense. Le chiffre donné par le gouvernement basque fait état de 1654 morts et de plus de 800 blessés. Présentation de l’œuvre : De gauche à droite : une femme avec un enfant dans ses bras, un taureau, un homme allongé avec une épée dans la main droite, un cheval, une lampe au plafond, une femme apparaissant à une fenêtre et brandissant une lampe à pétrole, une femme s’enfuyant, un personnage en proie aux flammes d’une habitation. La Mère et l’enfant : Cette femme tient son enfant

mis en valeur l. 19 et 20 par une sorte de tableau : « le chevalier se dresse à la proue », en brandissant son épée. Chant lexical danger : Pourpre=>couleur sang+< dangé Rudesse du combat : l15 « l’âpre bataille » Champ lexical courage : « seul l7s’exiter au combatl14,preux,l21 dressait l20, s’élança l21   * Champs lexical de la force et de la puissance : « cri furieux l15, épée brandie l20, »cria » l22, « enfoncé » l24 ---   * Verbes d'actions au PASSE SIMPLE --> rythmes rapides du

cinq sens sont également amplifiés ; il ressent beaucoup la chaleur, il est ébloui, son ouïe est décuplée… l’auteur utilise de nombreuses hyperboles (« vibrante de soleil », « brulure de soleil »), des métaphores comme « rideau de larmes », « cette épée brûlante rongeait mes fils », « cymbales du soleil » (les « cymbales » font référence aux rayons du soleil, perçants.) ou encore la métaphore hyperbolique « deux heures qu’elle avait jeté l’ancre dans un océan de métal bouillant ». Des comparaisons

son armée pour attaquer l'arrière-garde de Charlemagne à Ronceveaux. Olivier voit l'armée des sarasins arriver. Il comprend que Ganelon les a trahi. Roland ne veut pas rappeller le reste de l'armée de Charlemagne. Il pense battre les sarasins, son épée "Durendal" à la main. Le sarasins arrivent, l'armée des Francs de Roland et Olivier se mettent en marche. - Ronceveaux La bataille fait rage, Roland et Olivier se battent avec bravoure, mais Marsile envoie une seconde armée à Ronceveaux. L'armée

de lui. Kay participe à des tournois et Arthur doit préparer l’attirail de combat et l’emporter à la lice. Mais un jour Arthur oublie l’épée de son frère, il prend alors une épée plantée dans une roche du cimetière pour la remettre à sa place après le combat. Seul le futur suzerain de Bretagne pouvait sortir cette épée de la roche. A l’âge de 15 ans il devient suzerain de Bretagne. Arthur rencontre Guenièvre face à sa beauté et à sa gentillesse, il se promet de ne pas regarder d’autres femmes

de demander de l`aide à son roi. 3. Les puissants ennemis de Charlemagne, car ceux-ci ont conquis toute l`Espagne sauf Garagos. 4. Pour ne pas que cette épée soit utilisée par des ennemis puisque des reliques sacrées pour son peuple sont situées sur le pommeau de celle-ci. 5. Il c`est couché face contre l`herbe en plaçant son épée et son cor sous lui. Sa tête était tournée du côté de l`ennemi pour prouver à Charlemagne qu`il est mort dignement en conquérant. 1. «Deux jours, elle les

était une femme avec une toge antique et des yeux bandés avec une balance et un glaive (épée). Pourquoi a-t-elle les yeux bandés ? Peut-être parce que la justice est aveugle car la justice est neutre et impartiale/neutre. Pourquoi le glaive et la balance ? Ces sceaux sont symbolisé dans le droit, dans le palais de justice, notaire ou encore avocat. 1) Le Glaive Le glaive symbolise la force, c’est une épée, symbole de la puissance. La force est le courage mais aussi il est synonyme de violence

large torse. Une tassette argenté était sur ses cuisses, il avait des gantelet et des genouillères, sur ses tibias se trouvait des grèves argentées. Ses pieds étaient dans des solerets. Toute son armure brillait de mile feu. Un baudrier tenait son épée, il avait un bouclier sur lequel se trouvait une tête de Lion. Moineau son faucon, lui, était près a partir il s’en allait sur le bras de son maître. Ils arrivèrent près d’un cour d’eau, le jeune homme était émerveillé par se lieu enchanté. Il contourna

l’aboutissement du texte. 2) Un héros - caractère brave et noble : Roland dont la noblesse est notée par le mot « comte » est le sujet des verbes ; dans la suite du texte son épée devient sujet. La litote du deuxième vers vient renforcer sa bravoure. « Il ne se met pas à l’abri du danger. » - Il fait un avec « Durendal », sa bonne épée dont le nom évoque la résistance. - son habileté au combat est notée précisément car « il tranche l’échine sans avoir à chercher la jointure ». - c’est un homme qui connaît

redondance - Une personne calme et tranquille. - La gradation - Il est touché, il est blessé, il est mort. - L'accumulation - Ils avançaient, combattaient, frappaient. - L'hyperbole - Je vous l'ai dit mille fois ! - L'adjonction - Il prépare son épée et son courage. - L'anaphore - On a tué et le père et la mère et les enfants 3. DES OPPOSITIONS : - L'antithèse - Il a gagné, mais il est triste. - L'antiphrase - Il a appris l'alphabet. C'est un grand génie ! B. LES PROCEDES GRAMMATICAUX : -