Épée

LE DUC. — Je suis transi, - il fait vraiment froid. (Il ôte son épée). Eh bien, mignon, qu'est-ce que tu fais donc ? LORENZO. — Je roule votre baudrier autour de votre épée, et je la mets sous votre chevet. Il est bon d'avoir toujours une arme sous la main. (Il entortille le baudrier de manière à empêcher l'épée de sortir du fourreau.) LE DUC. — Tu sais que je n'aime pas les bavardages, et il m'est revenu que la Catherine était une belle parleuse. Pour éviter les conversations, je vais me mettre

revoir, vous devrez passer trois épreuves, mais je vous accompagnerai dans votre quête car j’aide les enfants en détresse. >> Jason, Jérémy et le chevalier Blanc marchèrent quand tout à coup, ils virent un phénix. Le chevalier Blanc leur donna une épée et un bouclier. Le phénix cracha tout de suite des boules de feu. Jason et Jérémy se protégèrent avec leurs boucliers. Le chevalier Blanc dit : « Son point faible est de lui lancer de l’eau. » Pendant que Jason esquivait les boules de feu, Jérémy

chasseurs de la garde, onze cent quatre-vingt-dix-sept hommes, et les lanciers de la garde, huit cent quatre-vingts lances. Ils portaient le casque sans crins et la cuirasse de fer battu, avec les pistolets d'arçon dans les fontes et le long sabre-épée. Le matin toute l'armée les avait admirés quand, à neuf heures, les clairons sonnant, toutes les musiques chantant Veillons au salut de l'empire, ils étaient venus, colonne épaisse, une de leurs batteries à leur flanc, l'autre à leur centre, se déployer

Sujet : ''Longtemps j'ai pris ma plume pour une épée ; à présent je connais notre impuissance. N'importe : je fais, je ferai des livres il en faut tout de même. '', écrit Jean-Paul Sartre dans Les Mots. Discutez cette affirmation à la lumière de vos textes. Problématique : Selon vous l'auteur doit-il faire de son œuvre une arme efficace au service de l'engagement ? I) L'écrivain a le devoir de s'engager soit de '' prendre sa plume pour une épée''. II) Seulement cet engagement s'avoue parfois

bienveillance, et on le conduit, après souper, dans son appartement. Là, brûlant de désirs, et jugeant, au silence qui l’environne, que tout dort dans le palais, il tire son épée, marche au lit de Lucrèce déjà endormie, et, appuyant une main sur le sein de cette femme : « Silence, Lucrèce, dit-il, je suis Sextus Tarquin : je tiens une épée, tu es morte, s’il t’échappe une parole. » Tandis qu’éveillée en sursaut et muette d’épouvante, Lucrèce, sans défense, voit la mort suspendue sur sa tête, Tarquin

bouche. Il avait un aspect terrifiant. Le combat s’annonçait difficile. La lutte commença, Alard brandit son épée et essaya de le blesser ; malheureusement les plaies du dragon cicatrisaient aussitôt, mais Alard avait remarqué un détail ; toutes les entailles étant à la queue ne se refermaient pas et laissaient couler du sang de couleur mauve. Le preux chevalier eu l’idée de planter son épée dans la queue de ce monstre. Le dragon hurla de douleur, chancela et trépassa peu de temps après. Alard fut

l'ai voulu ! Je le veux, il faut que je le veuille encore. (Elle regarde Egisthe.) Celui-ci est mort. C'est donc ça que je voulais. Je ne m'en rendais pas compte. (Elle s'approche de lui.) Cent fois je l'ai vu en songe, étendu à cette même place, une épée dans le coeur. Ses yeux étaient clos, il avait l'air de dormir. Comme je le haïssais, comme j'étais joyeuse de le haïr. Il n'a pas l'air de dormir, et ses yeux sont ouverts, il me regarde. Il est mort -- et ma haine est morte avec lui. Et je suis là

la Gestapo, il passera enSuisse pendant le Seconde guerre mondiale. Tout d’abord je vais vous parler du sens explicite puis je m’attarderai sur le sens implicite. Sur cette affiche nous pouvons voir au centre deuxpersonnages, un soldat armé d’une épée et d’une alsacienne dans son lit nous remarquons aussi que l’affiche est entouré de fleurs. Il y a sur cette affiche deux textes, en haut « La belle au bois dormant », eten bas « alors comme la fin de l’enchantement était venue la princesse s’éveilla

venir son amant par la vielle.  Le récit terminé, ils dînèrent puis se mirent sur le canapé quand Don Ishaar arriva CHAPITRE 9 Le juif tira un long poignard et se jeta sur Candide ; ce dernier tira son épée et tua l assaillant. L’inquisiteur arriva et vis la scène. Candide le perça de son épée. La vielle leur conseilla de partir tous les trois à Cadix. Ils arrivèrent dans un cabaret dans Avacéna CHAPITRE 10 L’argent de Cunégonde a été volé. La vielle proposa  de vendre l’un des trois chevaux

combat et l’emporter à la lice. Un jour, lors d’un combat de Kay, Arthur oublie l’épée de son frère et, n’ayant pas le temps d’aller la chercher à sa maison, il prend une épée plantée dans une roche du cimetière dans l’intention de la remettre à sa place après le combat. Seul le futur suzerain de Bretagne pouvait sortir cette épée de la roche. Ainsi, Arthur âgé de 15 ans devient le suzerain de Bretagne. Ses chevaliers reprennent le territoire perdu et repoussent les attaques ennemies. Un jour Arthur