Épigramme

vertu et de la liberté. Les auteurs *-André Chénier (1762-1794) : « Bucoliques » en 1787, « Elégies » en 1789, « lambes » en 1794 *-Voltaire (1694-1778) : « la Henriade » en 1728, « le Mondain » en 1736 *-Jean- Jacques Rousseau (1671-1741) : « épigrammes » Conclusion La poésie ne parvient pas vraiment à se démarquer des autres genres littéraires. En plein siècle des lumières où l’on dénonce les abus de la monarchie absolue elle se contente d’être un simple divertissement mondain pratiqué à

du Temple et il y acquiert le goût du plaisir et du bel esprit. 2) Premier séjour à la bastille (1717) Ses écrits satiriques contre le poète La Motte, puis contre le régent le font s’exiler deux fois en province. A peine rentré, il écrit un épigramme en latin contre le Régent = enfermé à la bastille Activité : Tragédie et poème : Œdipe et La Ligue 3) Le poète mondain (1718-1726) Il sort de prison : il se donne le nom de Voltaire et devient célèbre à 24 ans grâce à Œdipe et La Ligue Fortune

  Sa vocation poétique s'éveillait de plus en plus. Il passait de longues heures à lire Malherbe, son préféré, mais il admirait aussi les écrits de Benserade et Voiture, Rabelais et Boccace.  C'était pour lui le moment des petits vers, épitres, épigrammes, ballades à la façon de Marot. Il traduisit l'Eunuque de Térence (1654), composa une comédie Clymène vers 1659, et un poème: Adonis qu'il offrit à Nicolas Fouquet, alors surintendant des finances. Il entra à cette époque au service de Fouquet.

sent le dépit. Somme, ta contenanceEst semblable à la mer qui cache tout ainsi Sous un marbre riant les écueils, le désastre,Les vents, les flots, les morts. Ainsi fait la marâtreQui déguise de miel l’aconite noirci. AUBIGNE THEODORE XVIème EPIGRAMME Je mourrai de trop de désir,Si je la trouve inexorable ;Je mourrai de trop de plaisir,Si je la trouve favorable.Ainsi je ne saurais guérirDe la douleur qui me possède : Je suis assuré de périrPar le mal ou par le remède. BENSERADE ISAAC XVIIème

d'artistes : Molière, Racine, Lully, Le Brun... II. La vie littéraire de la fin du XVIIe siècle    1. La mode des "salons" et du bel esprit : Les "grands" se regroupaient dans des salons où ils faisaient des jeux littéraires (écriture de poèmes, épigrammes, critiques littéraires, etc.). Tout le monde peut devient écrivain, aristocrates, religieux, le but est de montrer son esprit.    2. Le classicisme : Apogée du mouvement classique : on s'inspire des écrivains de l'Antiquité (La Bruyère s'inspire

d'un personnage célèbre dans une succession de vers à rimes plates. -- l'élégie : proche de l’ode, une élégie se caractérise par une plainte. -- un blason : éloge d'une partie du corps féminin.ex : le blason du blanc tétin de Clément Marot -- une épigramme : poème très court de deux vers ou dizain (ensemble de 10 vers). -- le madrigal : pièce galante destinée aux divertissements qui se finit par une pointe( c’est à dire un vers surprenant). Le Baroque (seconde moitié du XVIe siècle, vers 1550) : c'est

sincérité de l’inspiration. Raffinement de style, acrobaties de versification. Ils utilisent les genres fixes du Moyen âge. Marot a d’abord utilisé cette poésie « savante ». Petite Épître au roi (pour attirer l’attention de F Ier) Ballades – Rondeaux et épigrammes – poésie amoureuse (badinage précieux) L’épître en vers Maître incontesté de l’épître. À son ami Lion – Au roi, pour le délivrer de prison (humour et élégant badinage) – Au roi, pour avoir été dérobé (verve irrésistible pour solliciter le roi)

Sa vocation poétique s'éveillait de plus en plus. Il passait de longues heures à lire Malherbe, son préféré, mais il admirait aussi les écrits de Benserade et Voiture, Rabelais et Boccace. C'était pour lui le moment des petits vers, épîtres, épigrammes, ballades à la façon de Marot. Il traduisit l'Eunuque de Térence (1654), composa une comédie Clymène vers 1659, et un poème: Adonis qu'il offrit à Nicolas Fouquet, alors surintendant des finances. Il entra à cette époque au service de Fouquet.

discours évoquant des sujets d’actualité. Redécouverte à la Renaissance en Italie et en France, elle développe alors une thématique de plaintes amoureuses, pour glisser vers le registre de la déploration et du deuil dans l’Art poétique de Boileau. • Epigramme : dans l'Antiquité, désigne une inscription commémorative gravée sur les tombes. Au IVe s, le terme commence à s'appliquer à un très court poème, souvent satirique, caractérisé par sa pointe finale : un trait brillant. • Vers figuré : poème disposé

maîtresse de V.. Chevalier «T’es pas noble, nom inconnu». V. « Le mien commence, le votre finit.» → demande justice, mais non. Lettre de cachet (signée par Roi) → Bastille, puis exil en GB (régime de liberté !) La Henriade : Zaïre : Lettres philo : Epigrammes : épopée (alexandrins) sur fin des gu. de rel. → + gd poète de son temps, même si dit avis pol. + rel. retour à Paris, triomphe, apparaît comme successeur Corneille et Racine condamnées au feu, lui à Bastille. Se réfugie chez Madame du Châtelet