Epilogue De Baudelaire

[ses] tempes », « les étoiles sur [son] visage », la nuit qui « entrait en [lui] comme une marée ». Dans cette communion absolue avec la nature, tous les sens sont présents et se mélangent à la manière des synesthésies baudelairiennes. Cf poème de Baudelaire Correspondances. - Meursault se retrouve alors lié charnellement, sensuellement au monde, par la chair : « de l’éprouver si pareil à moi, si fraternel enfin ». L’instant présent est valorisé, puisque seul il permet à Meursault de dire

est centré sur une femme rencontrée en pleine rue lors d’une de ses déambulations. C’est un sonnet avec des rimes embrassées dans les quatrains et dans les tercets des rimes croisées et suivies.Problématique : En quoi la façon dont Baudelaire traite ce lieu commun littéraire ( le coup de foudre) est-elle originale

Anadyomène", Les Cahiers de Douai, A. RIMBAUD, 1870 TEXTE 3 : "L'huître", Le Parti-pris des choses, F. PONGE, 1942. Œuvre intégrale : Les Fleurs du mal, C. BAUDELAIRE, 1861 Textes ayant fait l’objet d’une étude détaillée : TEXTE 4 : “ Parfum exotique”, Les Fleurs du mal, C. BAUDELAIRE, 1861 TEXTE 5 : “ Spleen ”, Les Fleurs du mal, C. BAUDELAIRE, 1861 Œuvres proposées aux élèves. L’élève surligne celle(s) qu’il aura lue(s). Une œuvre au choix parmi les trois suivantes : • Le parti pris des choses

L’identité féminine dans l’Œuvre de Charles Baudelaire Par Paul Savouré, étudiant, né en 1992 Sous la direction de Madame Lesain-Bardiot professeur de littérature à l’Institut Albert-le-Grand Sommaire : Introduction 3 I- La femme ou l’incarnation du mal 6 A- La femme et la chute B- L’incarnation du mal C- Baudelaire et le dandysme 6 9 13 II- La femme idéale A- L’idéal B- La mère C- Les veuves et les vieilles femmes III- La sœur A- Le muse familière B- Le Lesbos C- L’incarnation de la sœur

Charles Baudelaire Les fleurs du mal Édition établie par Jacques Dupont Collection "GF"; 227 Copyright: Garnier-Flammarion, 1991 ISBN 2-08-070527-X Transcription en braille intégral: Bibliothèque Braille Romande, Genève, août 1999 Notes et Variantes Il n'était pas possible de reproduire ici la totalité des variantes: nous avons retenu les principales. Il en va de même pour les "sources", nombreuses et souvent conjecturales, que la tradition critique a accumulées. Notre choix vise

représente une notion abstraite de manière imagée, concrète (ex : la Justice comme une femme tenant une balance, la Mort comme un squelette tenant une faux). Elle a été très utilisée au Moyen Âge, dans la poésie romantique (Vigny, Nerval) ou moderne (Baudelaire, les symbolistes). « Mon beau navire ô ma mémoire Avons-nous assez navigué Dans une onde mauvaise à boire » (Guillaume APOLLINAIRE, Alcools) : l’allégorie d’un navire à la dérive sert ici à désigner les errances de la mémoire dans l’ « onde

inattendu. Rencontre en 3 parties séquences précipitées par le « et » suscite surprise, poète apprend donc son nom comme ça, façon imprévue occupant tout un vers. Vers 24 à 35 : pause, récit s'arrête pour céder place à l'évocation du bonheur au couple. Epilogue de 1° partie de l'histoire et intermédiaire entre la 2°. Irruption d'un nouvel événement brutal. Eclate au V.38 « quelle connerie la guerre » grossierté volontaire : détonne dans l'harmonie poétique comme explosion de la guerre dans la vie heureuse

Il te fallait écrire. Extrait de la publication Table Prologue – Les carnets d’Elsie La photo d’Eluard en compagnie de Dominique L’ange gardien L’orange Les lilas de Baudelaire La montagne Le manteau L’art de la fugue Bruges Le baiser Merci pour tout Tout Giono Dimanche La mort de Marilyn Épilogue – Quelque chose de Tennessee 9 21 29 39 47 55 65 75 83 89 97 105 113 121 131 MISE EN PAGES ET TYPOGRAPHIE: LES ÉDITIONS DU BORÉAL ACHEVÉ D’IMPRIMER EN FÉVRIER

dissolution doit aussi s’ accompagner du déplacement du monde vers le moi, en un mouvement inverse du général au particulier. Et l’ on retrouve en effet ce mouvement centripète dans certaines pièces des recueils poétiques. Dans le poème intitulé « Epilogue », le poète dévoile l’ envers de la création poétique telle qu’il la vit et la conçoit : un travail lent et fastidieux qui réclame « Obstination et Volonté », un « effort inouï, [un] combat sans pareil » pour que « se lève/ Lentement, lentement/l’Oeuvre

comme chez Nerval dans les Chimères (« El Desdichado », « Artémis »…) ou chez Baudelaire dans les Fleurs du Mal (« La Muse malade », « L’ennemi »…). Le sonnet « renversé », « inversé » ou « à rebours » qui place les tercets avant les quatrains comme « Le crapaud » des Amours jaunes de Corbière, Le sonnet « polaire » qui intercale les tercets entre les quatrains comme dans « L’avertisseur » des Fleurs du Mal de Baudelaire. Le pantoum Ô mornes yeux ! Lèvre pâlie ! J’ai dans l’âme un chagrin amer. Le