Equilibre Budgetaire Artificiel

SCIENCE ECONOMIQUE Pour Aristote, il y’a 3 branches : L’étique, l’économie, et la politique. Pour lui, l’étique relève de l’individu. La politique de ce qui conserve la cité. Et l’économie, de ce qui se rapporte à la cellule familiale. Economie budgétaire. Economie (Grec) : Oïkos = Maison et de Nomos = Représente les règles. Soit l’ensemble des règles de conduite des activités domestiques. Aristote ajoute que la science de l’acquisition des richesses (= la chrématistique), est un élément de la

augmentation des taux d'intérêt, dont le niveau a dépassé non seulement l'inflation, mais la croissance. Les Etats qui avaient un fort niveau d'endettement sans être producteurs de pétrole ont alors eu de plus en plus de mal à clore leurs exercices budgétaires. Il a fallu emprunter, pour rembourser les emprunts passés, à des taux qui promettaient d'engendrer de nouvelles difficultés. Faute de remèdes radicaux, cette situation vouait irrémédiablement le pays à la faillite. S’y ajoutait dans le cas du Sénégal

celle-ci est le résultat d'un ordre spontané crée par le libre jeu des mécanismes du marché. Effectivement, le courant libéral a démontré qu'il existait un ensemble de mécanismes ou de forces permettant de maintenir le système économique en équilibre dynamique, c'est à dire un système tourné vers la croissance économique. Cette régulation naturelle permettant la croissance économique reposerait sur deux facteurs principaux de régulation. Tout d'abord, selon A.Smith, il s'opérerait au sein du

Le Droit est un moyen artificiel que des hommes utilisent pour exercer une domination sur d’autres hommes. Ceux sont des hommes qui posent les règles, s’agit-il alors de pouvoir de faits ou de pouvoir de droit ? Le pouvoir de faits c’est imposer aujourd’hui, et le DC permet de savoir lorsque celui-ci devient un pouvoir de droit. Si cela arrive on peut placer la limite entre le juste et le bon et le mal, ainsi qu’entre le légal et l’illégale. Est-ce un acte artificiel qui pose les hommes qui

 planificateur  prétendument  omniscient  des  économies  administrées  de   l’ère  communiste.   La   situation   présumée   optimale   est   celle   caractérisée   par   la   neutralité   monétaire   et   budgétaire   des   gouvernements   et   la   libéralisation   des   marchés   leur   assurant   la   plus   grande  flexibilité  possible.  A  ces  conditions,  les  entreprises  sont  censées  faire  les  choix

de fortes concurrences internes dans de nombreux secteurs (déstabilisation de la PAC) - provoque des déséquilibres régionaux marqués (transferts financiers massifs d’aides régionales vers l’est) - provoque un alourdissement des charges budgétaires car le coût de l’élargissement est estimé à : - 90 milliards d’euros pour la modernisation des transports - 90 milliards d’euros pour l’adaptation des normes environnementales - les ¾ à la charge de l’UE. De plus, si

qui souhaitent retrouver sur le marché financier primaire des financements à long terme, elles émettent soit des actions soit des obligations.  L’Etat dont les besoins sont considérables lance des emprunts obligataires pour combler son déficit budgétaire.  Les collectivités locales émettent des obligations pour le besoin de financement des équipements publics. b) Les offreurs de capitaux à long terme sur le marché financier primaire  Les particuliers, surtout les ménages, qui alimentent le

s’appliquer à la sphère économique. A ce principe s’inspirant du libéralisme politique s’ajoute l’argument de l’efficacité : Seuls les individus sont en mesure de faire des choix rationnels qui concourent à l’intérêt général 1.2) Il existe un équilibre naturel. La « main invisible » d’Adam Smith. Dans une économie de marché, une main invisible conduit les acteurs économiques poursuivant leur intérêt particulier à satisfaire l’intérêt général. L’offre des uns et la demande des autres vont par conséquent

152 154 VI Table des matières 61. La Banque centrale européenne 156 62. L’euro 158 63. Le Pacte de stabilité et de croissance 160 64. La politique monétaire de la BCE 162 8. L’économie internationale 166 65. Équilibre externe et balance des paiements 166 66. Les déterminants du commerce international 168 67. La compétitivité d’une économie nationale 170 68. Le choix d’un régime de change 172 69. La dévaluation 174 70. Les interventions

| |8. L’économie internationale 166 | |65. |Équilibre externe et balance des paiements |166 | |66. |Les déterminants du commerce international |168 | |67. |La compétitivité