Équivalence logique

: philosophie de Kant. * Le criticisme repose sur ne opération très simple qui consiste à distinguer la forme et le contenu. * Le contenu c’est le détail des règles, l’orientation des principes ; la forme c’est la logique de l’ensemble. * Le contenu est relatif : multiple et varié. Par contre, on peut dégager, indépendamment du contenu la moralité qui est invariable. Fondement de la métaphysique des mœurs : * Agit de telle

centralisation sera gérer directement par le centre achat. * Prôner l’indépendance vis à vis des fournisseurs  * Externaliser une partie de la production et de l’approvisionnement pour baisser les coûts Quels bénéfices pourrait tirer HIP d’une logique d’e-procurement ? La mise en place de l’E-procurment dans la fonction achat d’HIP lui permettra : * Gérer individuellement ses commandes auprès des fournisseurs qu’il aura choisis (collabore à la préparation des contrats et surveillance/suivi

formes d’injustices. L’esclavage est une des injustices majeures de ce siècle et a été également critiquée par Voltaire dans Candide et par Montesquieu dans De l’esprit des lois. Nous allons voir dans ce texte que derrière l’apparente démonstration logique qui chercherait à convaincre le lecteur, se trouve une virulente condamnation de cette pratique inhumaine. I. Une démonstration logiqueLe texte se présente comme un article d’Encyclopédie, il se doit donc d’éclairer le lecteur en définissant son

l'article qui se rapproche ici du genre de l'essai, puisque l'auteur assume son argumentation et propose une réflexion personnelle et argumentée sur la notion d'autorité. Diderot cherche ainsi à nous convaincre, à travers un texte construit de manière logique et abstraite, de la légitimité de l’autorité par consentement qui s'oppose à l'autorité obtenue par l'exercice de la force, qui se révèle, elle, illégitime. Même si les textes d’Ésope, de La Fontaine, de Diderot proposent trois genres d'argumentations

apprécié peut-être autant au-dessous de votre valeur, que vous l’avez été au-dessus jusqu’à présent » s’il continue d’agir par ses sentiments, il perdra sa valeur aux yeux des autres. Dans cette phrase, nous relevons du mépris à l’aide du connecteur logique « enfin » qui nous fait penser au soupir de Madame Merteuil. Cette marque de mépris est, en outre, renforcée par la perte de respect qu’elle éprouvait envers lui. B) Une pointe de moquerie et de mépris de Merteuil : Dans cette lettre, nous relevons

Le mot sujet a plusieurs sens selon le domaine où on l'emploie : en grammaire : voir sujet (grammaire) ; en logique, le sujet est ce à quoi est attribué un prédicat ; en métaphysique : le sujet est l'être réel doté de qualités et qui produit des actes. Le sujet est à la fois ce qui est objet de la pensée et de la connaissance (on dit un sujet de dissertation) et le support de certaines autres réalités (actes, conscience, perception, droits, etc.). Le présent article traite de ce dernier

nous, peut-être les anormaux. » Le spectateur doit être actif face à une œuvre du théâtre de l’absurde et se préparer à voir s’agrandir le champ du possible. Il lui faut comparer, s’interroger sur les décalages permanents entre normal et anormal, logique et absurde, pour se rendre compte que ces notions sont fluctuantes. Le spectateur rit quand un personnage se transforme physiquement devant lui mais ce rire prend un caractère tragique au fur et à mesure qu’il assiste à une véritable transformation

réussit pas à le sauver, et il lui démontre la facilité matérielle de l’entreprise. Ensuite Criton met en cause directement Socrate en lui rappelant ses devoirs. Premier axe d’étude : l’enchaînement logique des arguments. Deuxième axe d’étude : la leçon de morale de Criton. I- L’enchaînement logique des arguments Criton veut démontrer que le refus de Socrate de s’évader est contraire à la justice : ουδε δικαιον πραγμα. Il tente de battre Socrate sur le plan du raisonnement et marque bien

créationnisme rejette et exclut l’intervention de la science, c'est-à-dire la raison, pour rendre sa thèse, selon laquelle le monde a été créé par Dieu, possible. Sans oublier les radicaux religieux qui refusent tout discours critique, scientifique et logique allant à l’encontre de leurs idées. Ces prises de positions radicales, comme l’actualité nous le montre de temps en temps, mènent dans certains cas à la violence, la barbarie, la folie meurtrière. Un autre exemple intéressant est celui des problèmes

Cette histoire de la philosophie occidentale, en deux forts volumes présentés sous élégant boîtier, est une nouvelle traduction, après celle parue en 1952 chez Gallimard, d’un ouvrage paru en anglais en 1945. Son auteur, Bertrand Russell (1872-1970), est un logicien, mathématicien, philosophe et réformateur social britannique qui est universellement reconnu comme un des très, très grands esprits du siècle dernier. La petite histoire de la rédaction de l’ouvrage mérite d’être contée.