Erich Maria Remarque

millions). De nombreux anciens combattants ont souhaité témoigner de l’horreur et de l’absurdité de cette guerre : - Otto Dix, peintre allemand (‘‘La Guerre’’, ‘‘Les joueurs de skat’’) - Ernst Jünger, écrivain allemand (‘‘Orages d’acier’’) - Erich Maria Remarque, écrivain allemand (‘‘A l’Ouest rien de nouveau’’) - Henri Barbusse, écrivain français (‘‘Le feu’’). Certains historiens parlent à propos de la Première Guerre mondiale d’une brutalisation des sociétés : les hommes se seraient accoutumés

À l’Ouest rien de nouveau - Erich Maria Remarque I. À 9 km en arrière du front. Préoccupations quotidienne : les repas. Narrateur : Paul Baumer. Description de l’environnement des soldats. Kantorek, le professeur. Persuade les jeunes soldats de se battre. Premier mort, Behm. Impossible de le secourir. Kemmerich, blessé, amputé d’une jambe. Les autres lui rendent visite. Mûller s’intéresse à ses bottes. Ils savent que Kemmerich va mourir. II. Le narrateur se souvient de leur

guerre mondiale. De nombreux éléments de réponse sont possibles. L’élève pourra donc évoquer : Pour la première guerre mondiale − des « classiques » comme :  Henri BARBUSSE, Le Feu, 1916  Maurice GENEVOIX, Ceux de 14, Les Éparges, 1923  Erich Maria REMARQUE, A l’Ouest rien de nouveau, 1929  Jean GIONO, Le Grand troupeau, 1931  Louis-Ferdinand CÉLINE, Voyage au bout de la nuit, 1932  Jules ROMAINS, Les Hommes de bonne volonté, tome XV, 1947 des œuvres récentes comme :  Sébastien JAPRISOT, Un

place place majeur dans ce film. C'est le fait de banaliser la violence, donc la brutalisation des sociétés signifie accepter la violence,la rendre normal pour une société. « A l'ouest, rien de nouveau », sorti le 29 janvier 1929 et produit par Erich Maria Remarque, est d'abord en allemand puis traduit en français.Le film a été adapté d'un roman.Il raconte la première guerre mondiale sans censure, par un jeune soldat volontaire allemand, Paul gaumer.La brutalisation des sociétés apparaît déjà à l' école

reconnaître que notre âge était plus honnête que le leur. Ils ne l'emportaient sur nous que par la phrase et l'habileté. Le premier bombardement nous montra notre erreur et fit écrouler la conception des choses qu'ils nous avaient inculquée. » — Erich Maria Remarque, À l'ouest, rien de ndûmes reconnaître que notre âge était plus honnête que le leur. Ils ne l'emportaient sur nous que par la phrase et l'habileté. Le premier bombardement nous montra notre erreur dûmes reconnaître que notre âge était plus

gaz. (Cliquer) Sur ces photos on peut voir … (lire les légendes) Cette vie quotidienne va durer pendant des années, c’est pourquoi les soldats vont trouver des activités pour pouvoir survivre sur la longueur et éviter le cafard. A ce sujet, Remarque écrit : «C’est une loi inéluctable : il faut que toujours le soldat soit occupé ». Les activités étaient donc quelque chose de central dans la vie quotidienne des soldats et c’est pour cela que nous avons parlé des œuvres qu’ils avaient fabriqués

Lucien raconte sa propre vie, ce qui va créer une intimité entre l'auteur et le lecteur et ceux de la fiction, veritable alliée de l'argumentation, qui fournit des exemples grâce aux personnages inventés tels que l'oncle Gaston notamment. Ex : Erich Maria Remarque ,À l'Ouest, rien de nouveau : Cette œuvre également une fausse autobiographie va avoir les mêmes avantages qu'effroyables jardins, à une différence près, car c'est en fait un soldat qui narre l'histoire ; le lecteur est ainsi directement ammené

Histoire des Arts ------------------------------------------------------------------ A l'Ouest, rien de nouveau Erich Maria Remarque 1929 Roman, l'art et la guerre, français Une dizaine d'années après la Première Guerre Mondiale, au début de la crise économique. Le nazisme se développe en Allemagne. Remarque est mobilisé en 1916 à l'âge de 18 ans et il écrit son roman après la guerre en se servant de son expérience et de témoignages. Sorti en Allemagne en 1929, le succès du livre

les rats, les assauts, les bombardements, des centaines de milliers de morts, des suicides, des désertions, des mutilations volontaires etc. Ils vont connaître Verdun et le Mont Kemmel, batailles horribles, et la seconde est aussi décrite par Erich Maria Remarque dans « A l’Ouest rien de nouveau » Et puis, il y a, à l’arrière, le village qui continue à vivre. La nature qui suit son rythme éternel : les printemps succèdent aux hivers, les étés chauds et durs précèdent les automnes plus doux. Et le

tranchées. Tous ces documents disent l’horreur de la vie sur le front, mais également le sentiment d’être incompris et la haine des soldats pour les " planqués " et les " profiteurs de guerre ". Côté allemand, Ernst Jünger (Orages d’acier) et Erich Maria Remarque (A l’Ouest,rien de nouveau, 1929) témoignent du fait que le vécu des soldats est le même de part et d’autre du no man’s land. • L’utilisation d’armes nouvelles (le " gaz moutarde ") terrorise également les soldats, bien que la plupart soient