Ermite

un fardier à bœufs un tas de chapelets » BlasphèmeA l’époque on amène jamais quelque chose en charrette car c’est la honte et l’objet religieux est dégradé15«  seize ermites » synecdoqueLes ermites sont des moins solitaires, vivant à l’écart de la société.Résumé grandes idées du mouvement 1: Rabelais critique les habitudes religieuses. Pour lui, ils ne font pas grand et ne servent pas a grand-chose n’ont plus

hasard; elle est fortuite comme cela pouvait se produire de façon banale dans la vie quotidienne=> ~ Vraisemblance et réalisme du cadre spatio-temporel. Il s'agit d'un événement fortuit : à la faveur de leur égarement, les protagonistes rencontrent un ermite vivant dans la forêt. La vraisemblance de la situation est entière. ~ Vraisemblance et réalisme du dialogue. " est confonne aux conventions sociales. C'est Sganarelle qui interroge, pour le compte de son maître, le pauvre sur le chemin à suivre

jours pour l’atteindre. Le premier soir, il s’arrête pour bivouaquer non loin de la maison d’un vieil ermite. Au moment d’attacher son dernier âne, il s’aperçoit qu’il lui manque une corde : « si je n’attache pas mon âne, se dit-il, demain il se sera sauvé dans la montagne ! » il monte sur son âne après avoir solidement attaché les deux autres et prend la direction de la maison du vieil ermite. Arrivé, il demande au vieil homme s’il n’aurait pas une corde à lui donner. Le vieillard avait depuis

Monsieur, bon homme, il ne croit qu’en deux et deux sont quatre … ». Quand il découvre que le pauvre est un ermite (bon homme). Il va aider DJ : reprend le tutoiement. Il parle au nom du bon sens populaire. Religion de Sga = ne va pas jusqu’au sacrifice. Sga = victime, ne peut pas s’opposer à son maitre. II. La personnalité de DJ : choix de vie, la place de Dieu. A. Le choix du pauvre • Ermite : choisi sa vie particulière. Il fait son salut en abandonnant ses biens : prier toute sa vie mais une

scène 2 de l’acte II où Dom Juan, accompagné de son valet Sganarelle rencontre Charlotte, jeune paysanne, et décide alors de la séduire. Le deuxième extrait est quant à lui la scène 2 de l’acte III où Dom Juan, dans sa fuite, demande son chemin à un ermite, profitant par la même occasion de le corrompre. Cette pièce de Molière et plus particulièrement ces deux scènes permettent de mettre en avant la personnalité de Dom Juan : son désir de conquête qui se manifeste au travers de deux tentatives : la

orgueil | Le chien, le serpent, l’araignée sont parfois forts parfois faibles | | Etude du décor et de l’atmosphère créée Les végétaux et d’autres éléments de la nature : l’arbre, l’eau, les saisons, L’homme : le roi, le juge, les bergers, un ermite, * Etude de la portée morale et/ou philosophique de l’ouvrage : La morale n’est pas toujours exprimée : quelquefois elle est implicite : il faut la Déduire. C’est le cas de la Fable « La Cigale et la Fourmi ». L’absence de morale clairement

DJ ? Pour répondre à cette question nous examinerons dans un premier temps l’ermite isolé puis dans un second temps la rencontre révélatrice. Plan I - Un ermite isolé a- Un anti-libertin ? b- Un lieu symbolique II - Une rencontre révélatrice a- La dialectique du maitre et du pauvre  b- La foi en question I) Un ermite isolé a- Un anti- libertin ? Tout d’abord Sganarelle respecte le pauvre en le vouvoyant et en utilisant le verbe enseigner. Cependant, DJ reste dans sa caste

par un tiers :faiblesse de la belette,présenté cô un animal violent ms na ps les moyen de celle-ci. III_ L’arbitrage Présentat° ironique du chat : *Lexique religieux:dévot ermite,st homme.formule amusante st homme de chat *Hypocrisie :faisant la chattemite :le vb faire indique qu’il jour un jeu. *Contradict° : «ermite » et « gros et gras » :faux dévot Fourré(6) :allusion à la tenu des magistrats . chat :profiteur Raminagrobis et Grippeminaud st emprunté à Rabelais que LF admirait bcp. Arbitre

autre exemple de cette contamination de la religion par la nourriture. 3. Une éducation religieuse surdimensionnée « Les vingt et six ou trente messes ». « farat de patenôtres », les chapelets très longs mais Gargantua en dit « plus que seize ermites » qui, chacun, prient pdt 1h30 au total plus de 50 heures de prières + répétition. Bréviaire pesant « onze quintaux, six livres » II. Une éducation au contenu absurde et vidée de son sens 1. Absence de vie intellectuelle (car le corps est omniprésent)

dupe. Sa réaction devant une rhétorique en déperdition est sans équivoque : « Croyezvous Don Juan nous éblouir (nous fasciner) par ces belles excuses ? » p114. L’inanité de la rhétorique donjuanesque est encore plus manifeste devant un pauvre ermite. Il a beau brandir devant ses yeux éblouis un louis d’or aguichant qu’il était prêt à lui concéder s’il acceptait de blasphémer, il ne réussit qu’à renforcer ses convictions dans sa foi, ne montrant aucune prédisposition à la transgression. Son