Ernest Lavisse

toute figure, belle ou difforme, est suivie d’un spectre noir comme d’un page ténébreux » (Théophile Gautier). a « L’Ermitage» Plume, encres brune et noire et lavis, crayon de graphite, fusain, grattages, utilisation d’un pochoir MVH, Inv. 42 © PMVP Empreinte du fantastique Les Orientales, Fusain, plume et pinceau, encre brune et lavis, rehauts de blanc, de bleu, de vert, de rouge ; empreintes de dentelle BNF, Mss, N. a. fr. 13351, f o 8 Des ténèbres à la lumière Pour Hugo, le monde, reflet

La grande toile de Béraud, qui commémore le centenaire de la naissance du Journal des débats, est plus animée. Réunissant l’ensemble des collaborateurs, une quarantaine, parmi lesquels Lavisse, Ernest Renan, Hippolyte Taine, Jules Lemaître, Paul Bourget, Léon Say et Jules Dietz, le peintre a immortalisé l’antique salle de rédaction, inchangée depuis le rachat du journal par les frères Bertin en 1799. Tribune des républicains conservateurs, le Journal des débats s’attache « l’élite académique du monde

véritable démarche artistique. Ce mouvement artistique est reconnu par de grandes institutions telles que le Tate Modern de Londres ou encore le Grand Palais à Paris. Des représentants de ce mouvement tel que Banksy (Londres), ZEVS (Paris), Ernest Pignon Ernest (France) sont présents dans les plus grandes institutions et galerie d’art du monde, pour preuve qu’ils ont bien leur place dans l’histoire de l’art. L’ART URBAIN C’EST… UNE EXPERIENCE SENSIBLE ET ORIGINALE POUR LA COLLECTIVITE UN BESOIN

combative face à un destin malheureux : on devine son histoire intime. La dignité des femmes vivant dans des pays en guerre. Pignon-Ernest « Parcours Maurice Audin » , Alger, 2003 : parcours d'images hommage à M.Audin, militant pour l'indépendance, mort durant la guerre d'Algérie. L'artiste fait 'revivre' cet homme et rend la mémoire d'un pays blessé. Pignon-Ernest réveille l'existence passée de personnes ignorées de l'Histoire. UN MUSEE A CIEL OUVERT L'atelier c'est la rue, le musée c'est

Biographie de l’auteur Ernest-Pignon Ernest est un artiste plasticien français né en 1942 à Nice. Il fait ses études dans sa ville natale et travaille d’abord pour l’architecture. Très vite, l’artiste s’intéresse à la ville. Il est un des initiateurs de l'art urbain en France : C’est le paysage urbain qui sert de support à son œuvre. Il a été choqué par les photos d’ombres laissées sur les murs à Hiroshima et Nagasaki (6 et 9 août 1945), par les corps volatilisés par les bombes nucléaires. Il

HISTOIRE DES ARTS L’ENGAGEMENT DU CREATEUR ERNEST PIGNON ERNESTNé en 1942 à Nice (de son vrai nom Ernest Pignon) Titre de l’œuvre étudiée : « Parcours Mahmoud Darwich, Ramallah, 2009 » Découper la silhouette d’une image forte, d’un personnage sur un pochoir pour la dessiner ou la peindre sur un support naturel ou urbain (rocher, mur) : une façon d’interpeller les passants pour les tirer de l’indifférence. C’est ainsi qu’Ernest Pignon Ernest est devenu le précurseur du street art. « Je fais

marquée : elle aurait du être enlevée mais les citoyens ont préférer la garder tellement l’ampleur internationale de Banksy était grande. « L’œuvre, ce n’est pas l’image elle-même, mais ce qu’elle provoque d’interrogation sur le lieu. » Ernest PIGNON-ERNEST

en galerie et plusieurs ont été vendues, notamment à Christina Aguilera ou encore Kate Moss. Il combine les techniques du pochoir et de l'installation pour faire passer ses messages, qui mêlent souvent politique, humour et poésie comme Ernest Pignon-Ernest, Miss.Tic, Jef Aérosol ou Blek le rat. Les pochoirs de Banksy sont des images humoristiques, parfois combinées avec des slogans. Le message est généralement antimilitariste, anticapitaliste ou antisystème. Ses personnages sont souvent des rats

Les Expulsés Ernest PIGNON ERNEST L'ARTISTE: Ernest Pignon-Ernest est un artiste plasticien autodidacte né en 1942 à Nice, il vit et travaille à Paris. C'est un des initiateurs de l'art urbain (ou street art) en France, et est un artiste engagé. Une grande rétrospective lui a été consacrée au Palais Lumière d'Evian en 2007. Inspiré d’une exposition sur la Commune de Paris, il sent « l’impossibilité d’exprimer cela (l’ampleur des massacres de l’homme et de l’espoir) dans un tableau», et comprend

recours à la lettre (comme c'est le cas dans le writing américain) et à l'outil aérosol. Les buts sont variés : comme celui du graffiteur montrer un nom, ou dans le cas du street art une image : affiches peintes de Jean Faucheur, sérigraphies de Ernest Pignon-Ernest, pochoirs de Jef Aérosol, affiches photocopies et autocollants de John Hamon ou photographies de Antonio Gallego. D'autres ont des intentions plus politiques comme les VLP (Vive La Peinture) qui collent Zuman Kojito dans les rues de Paris en