Ernst Lubitsch

pale ? La douce nuit lunaire et pleine d’étoiles C’est ton visage que je ne vois plus) Ce poème peut s’illustrer par le film Broken Lullaby (ou L’Homme que j’ai tué), sorti en 1932 et réalisé par Ernst Lubitsch, dans lequel le personnage principal tue un soldat allemand alors que celui-ci écrit une lettre à sa famille. Le tueur entreprendra après le guerre un voyage pour trouver la famille du défunt, rongé par le remords. Ce film se rapproche du poème

orwellien. FORMAN Milos Hair ÉU 1978 Récupération un peu « guimauve » de l’utopie hippie, à partir de la pièce créée en 1967 à New York par James RADO et Gerome RAGNI FLEMING Victor The wizard of Oz - Le magicien d’Oz ÉU 1939 Utopie féerique LUBITSCH Ernst Heaven can wait - Le ciel peut attendre ÉU 1943 Fable anticonformiste, fortement ironique sur les rapports amoureux entre les gens, et proposant une sorte d’apologie de la vertu papillonne ou alternante de FOURIER. Le refus de la stagnation, de

déciderons». Il quitte l'Allemagne quelques semaines après cet entretien. Il s'exile à Paris, où il retrouve Erich Pommer pour qui il réalise Liliom (1934). Le 6 juin 1934, il part pour les États-Unis, afin de marcher sur les traces de Friedrich Murnau, Ernst Lubitsch, Josef von Sternberg et Erich Von Stroheim, autres cinéastes allemands et viennois, exilés à Hollywood. À Hollywood, Fritz Lang réalise d'abord une trilogie réaliste et sociale, Furie, un pamphlet sur le lynchage et la volonté de puissance

(1942-1945), les émigrés européens réalisent des films dénonçant le nazisme : Charlie Chaplin ( le Dictateur, 1940), Alfred Hitchcock (Correspondant 17, 1940 ; Lifeboat, 1944), Fritz Lang (Chasse à l'homme, 1941 ; Les bourreaux meurent aussi, 1943), Ernst Lubitsch (To Be or Not to Be, 1942), Michael Curtiz ( Casablanca , 1943). Le premier long métrage d'un réalisateur débutant venu du théâtre d'avant-garde et de la radio, Orson Welles, réalisé en 1941, avec une liberté exceptionnelle, pour la compagnie

et 1933, Zanuck est le bras droit de Jack Warner et est le producteur délégué attitré du studio[11]. Le succès s'amplifie avec l'arrivée d'Ernst Lubitsch comme réalisateur principal[9]. Cependant, malgré un succès grandissant, le studio voit partir Harry Rapf, l'un de ses producteurs, pour la Metro-Goldwyn-Mayer[12]. En 1924 sort Comédiennes de Lubitsch, qui devient le plus grand succès du studio pour l'époque, et qui est considéré comme l'un des meilleurs films de l'année par The New York Times[9]

(1976) The shop around the corner (1940) To be or not to be (1942) Le ciel peut attendre (1943) Patrice LECONTE : Claude LELOUCH : Sergio LEONE : Richard LESTER : Jerry LEWIS : David LYNCH : Kenneth LOACH : Jospeh LOSEY : Ernst LUBITSCH : Georges LUCAS : Sidney LUMET : La guerre des étoiles (1977) Douze hommes en colère (1957) Point limite (1964) La colline des hommes perdus (1965) Le gang Anderson (1971) Le prince de New York (1981) Daniel (1983) Les coulisses du pouvoir

pouvant servir de support en écho aux contes du Koun’dou) Filmographie Variation autour de La Barbe-Bleue : - Barbe-Bleue, film muet réalisé par Georges Méliès, 1901 - La Huitième Femme de Barbe-Bleue (Blue Beard’s Eighth Wife), comédie de Ernst Lubitsch - Juliette ou la Clé des songes, film réalisé par Marcel Carné, sorti en 1951 14 Contes de fée moderne : - Le Petit poucet, Olivier Dahan, 2000 - Edward aux mains d’argent, Tim Burton, 1990 - Les frères Grimm, Terry Gilliam, 2005 - Un conte

envers la peinture et entre à 13 ans à l'école des Beaux Arts de Varsovie, en dépit de son jeune âge et du numerus clausus à l'encontre des Juifs. Il obtient une bourse et quitte la Pologne pour Berlin, trois ans plus tard. Il y est engagé par Ernst Lubitsch à l'Europäische Film Allianz (Alliance européenne du Film) comme peintre et décorateur de studio. En 1923, il émigre à Paris, s'installe à Montparnasse, fréquente de nombreux artistes, travaille comme affichiste à la Paramount Pictures et enseigne

nudité, les baisers ne peuvent durer plus de 3s. La violence peut être montrée mais dans certaines limites. On peut montrer des comportements déviants si c'est pour les dénoncer. Des cinéastes se font un malin plaisir à détourner le code Hays ( ex : Lubitsch ). II. Le système des studios 1- L'organisation du système Le pouvoir financier du cinéma hollywoodien se trouvent sur la côte est et les studios sur la côte ouest. Les Major's font environ 40 à 60 films par an chacune. Les Minor's produisent

(Allemagne) ou encore d'Alfred Hitchcock (Grande-Bretagne) et de Jacques Tourneur (France). Même si d'autres réalisateurs européens se sont déjà installés à Hollywood quelques années avant l'embrasement de l'Europe (l'Anglais James Whale, l'Autrichien Ernst Lubitsch et l'Allemand Josef Von Sternberg), force est de constater que le milieu des années 1930 et surtout le début des années 1940 sont synonymes de renouvellement esthétique et de l'avènement de nouveaux genres. Les apports de l'expressionnisme