Ernst Lubitsch

danger mortel pour les communautés juives d'Europe, pour l'humanité entière et pour la démocratie. Cette vision cinématographique a marqué la satire antihitlérienne postérieure qui se réfère toujours au film de Chaplin, de « Jeux dangereux » d'Ernst Lubitsch en 1942 à « La Vie est belle » de Roberto Benigni en 1997. Mis à part la fin du film, très émouvante, celui-ci présente une suite de gags visuels ou de situations drôles. On peut citer notamment les scènes où le dictateur Hynkel joue avec un globe

intégrale d’Ernst Lubitsch (1892-1947) du 25 août au 10 octobre 2010 avec également une lecture par Jacques Bonnaffé d’ Amitié – La dernière retouche d’Ernst Lubitsch de Samson Raphaelson le samedi 4 septembre à 19h et 3 conférences sur la fameuse « Lubitsch’s touch» par Jean Douchet le 6 septembre (« Tout est plaisir »), Bernard Eisenschitz le 13 septembre (« Ernst Lubitsch vers le deuxième demi-siècle ») et Pierre Berthomieu le 20 septembre (« Un cinéaste au paradis ou Lubitsch à Hollywood (1930-1945)

mélodrames historiques.           Outre un fonctionnement bien structuré, Hollywood a su attirer, puis accueillir, et ce dès les années d'après guerre, les plus talentueux des cinéastes et acteurs qui jusque là travaillaient en Europe. En 1921, Ernst Lubitsch et Friedrich Wilhelm Murnau, tous deux d'origine allemande, ainsi que les suédois Victor Sjöström, Mauritz Stiller et Greta Garbo s'installent aux États-Unis. Pourtant, si l’effervescent quartier de Los Angeles peut être fier de son rayonnement

du théâtre et où le théâtre y intervient comme une œuvre dans l'œuvre : Les enfants du paradis (Marcel Carné, 1945), La règle du jeu , Le carrosse d'or (Jean Renoir, 1939 et 1952), Le septième sceau (Ingmar Bergman, 1957), To be or not to be (Ernst Lubitsch, 1942), Lola Montés (Max Ophuls, 1955), L'amour fou, Va savoir (Jacques Rivette), Eve (Mankiewicz, 1950), Opening night (Cassavetes, 1978), My darling clementine (John Ford), Le dernier métro (François Truffaut, 1980), Fanny et Alexandre (Ingmar

Flammarion, 2007. GAUTHIER Théophile : La cafetière et le chevalier double, Hatier, 2007. GIRAUDOUX : Amphitryon 38, Grasset, 1967 / LGF, 1975. GOETHE Johann Wolfgang Von : Faust, LGF, 2007. HEINE Heinrich : Les Nuits florentines, Cerf, 2001. HOFFMANN Ernst Theodor Amadeus : Die Doppelgänger (Le Double) 1821, et autres contes d'Hoffmann, notamment l'Histoire du reflet perdu, Les Élixirs du Diable 1816, Le Chat Murr, La Princesse Brambilla 1820, Le cœur de pierre 1817, L'Homme au sable 1817. KLEIST Heinrich

la ville rénovée et humanisée dans un cadre qui rappelle la cité-jardin. HARLAN Veit La ville dorée all 1942 Utopie architecturale et culturelle nazie ? ZWOBADA André Croisières sidérales fra 1942 Utopie de la conquête de l’espace. LUBITSCH Ernst Heaven can wait/Le ciel peut attendre ÉU 1943 Fable anticonformiste, fortement ironique sur les rapports amoureux entre les gens, et proposant une sorte d’apologie de la vertu papillonne ou alternante de FOURIER. Le refus de la stagnation

Prix du cinéma allemand. Tom Tykwer connaît la consécration internationale en 1998 avec COURS, LOLA, COURS, dont il est réalisateur, scénariste et compositeur. Interprété par Franka Potente, le film obtient le Prix du cinéma allemand, le Prix Ernst-Lubitsch, le Prix du public au Festival de Sundance et l’Independent Spirit Award. Il produit ensuite GIGANTICS de Sebastian Schipper, puis réalise, écrit et signe la musique de THE PRINCESS AND THE WARRIOR, sélectionné au Festival de Venise 2000, et lauréat

, en dépit de son jeune âge et du  numerus clausus  à l'encontre des Juifs. Il obtient une bourse, et quitte la Pologne pour  Berlin  trois ans plus tard. Il y est engagé par  Ernst Lubitsch  à l' Europäische Film Allianz  (Alliance européenne du Film) comme peintre,  maquettiste  et décorateur de studio. En  1923 , il émigre à 

www.comptoirlitteraire.com André Durand présente Ernst Theodor Amadeus HOFFMANN (Allemagne) (1776-1822) [pic] Au fil de sa biographie s’inscrivent ses œuvres qui sont résumées et commentées (surtout ‘’L’homme au sable’’). Bonne lecture ! Il est né à Koenigsberg, le 24 janvier 1776. Son existence est assez bien connue. Une correspondance de jeunesse extraordinairement sincère, un journal intime cryptographique et elliptique, mais d'une rare authenticité dans l'aveu des émotions

Louise (1901-1981) o Lorre Peter (1904-1964) o Louise Anita (1915-1970) o Love Bessie (1898-1986) o Lovely Louise (1895-1980) o Lowe Edmund (1890-1971) o Loy Myrna (1905-1993) o Lubitsch Ernst (1892-1947) o Luchaire Corinne (1921-1950) o Lugosi Bela (1882-1956) o Lupino Ida (1918-1995) o Lyell Lottie (1890-1925) o Lynen Robert (1921-1944) o Lyon Ben (1901-1979) o