Érotomanie

personne quittée peut y être plus ou moins indifférente ; si tel n’est pas le cas celui qui est « abandonné » aura probablement un sentiment de tristesse, de jalousie, de colère ou même de haine… Amour délirant ou psychotique Article détaillé : Érotomanie. Article détaillé : Traque furtive. Approche biologique Zoologie (comportements hominoïdes amoureux)[modifier le code] Zoologiquement, la vie et le comportement sexuels de l'homme présentent de nombreux points communs avec ceux des

principal interprétation. Délire de persécution (ni pathognomonique, ni spécifique) Subdivision en 3 groupes : • Délires passionnels : humeur. Dynamique émotionnelle. Exaltation de l’humeur. Délires de revendication. Délire de jalousie. Erotomanie, développement en secteurs. • Délires d’interprétation systématisée : PARANOIA : mécanisme d’interprétation de signes de la réalité avec une tonalité persécution. Extension en réseau, tout devient hors du domaine du hasard (événements exogènes

(voir feuille n° 8) L'analyse de la paranoïa permet à Freud de démontrer que le refoulement se définit comme une négation. C'est donc la logique langagière de la négation qui permet de comprendre la formation des différents types de paranoïas : érotomanie, mégalomanie, jalousie. On s'aperçoit ainsi que le caractère délirant de la folie obéit à un certain déterminisme et à une logique, c'est à dire une rationalité. Le sujet se définit par des structures dont il n'a pas la maîtrise mais qu'il est possible

transformation corporelle, de modification du fonctionnement et/ou de la structure des organes pouvant aller jusqu’à la conviction de leur absence ou de leur négation. * Le thème passionnel : délire dit passionnel si la thématique est unique. Erotomanie (illusion délirante d’être aimé) et jalousie sont les deux principaux thèmes passionnels. * L’influence : conviction délirante d’être sous l’emprise d’une force extérieure qui commande les pensées et les actes. * Mystiques : conviction délirante

c'est son "roman". Ils peuvent être uniques ou multiples. Le thème peut être inspiré : · de la vie sociale : invention, procès · de la vie affective : jalousie, érotomanie · de la vie fantasmatique · de la pensée archaïque, comme dans la schizophrénie : inceste, morcellement, viol à distance · de la vie imaginative

Equilibre mentale : Etat d’harmonie dans lequel les facultés sont normalement hiérarchisées et sans que l’une prédomine au détriment des autres. Erotisation : Donner un caractère érotique à toutes relations, attitudes, rapports sociaux. Erotomanie : Illusion délirante d’être aimé. Le sujet vit dans l’illusion d’avoir été élu et être aimé par une personne, souvent d’une condition sociale élevée ou répondant à son idéal. Cette idée fixe se développe, le malade interprétant à sa faveur, de façon

l’aime pas, elle me hait ce qui serait le cas de l’actrice Huguette ex-Duflos « persécutrice » d’Aimée qui la blesse d’un coup de couteau. Mais l’autre formule « je ne l’aime pas c’est elle qui m’aime » fait, d’après Lacan, du délire d’Aimée une « érotomanie homosexuelle ». Freud, cependant, ne dit pas que le renversement des propositions se soutient de la « reconnaissance » chez l’autre de son propre reflet. Il reviendra à Lacan de ressaisir puis de développer les perspectives que «Über narzismus »

non systématisée (elle n’a pas de cohérence interne). • En ce qui concerne le délire paranoïaque, le mécanisme principal est interprétatif et hautement systématisé. La thématique est unique de type persécution, préjudice, complot, jalousie et érotomanie. Au vu de cette description théorique, et du diagnostic porté par son ancien psychiatre, Stéphane ne peut cumuler des éléments schizoïdes appartenant à un délire non systématisé, et des éléments délirants paranoïaques systématisés. De plus

délire paranoiaque est une interprétation délirante chronique d'apparence claire et cohérente. Les signes st : délire de persécution, idées de grandeur (mégalomanie), idée fausse certitude, conviction, psychorigidité. Les délires : passionnels→ érotomanie (intuition et illusion délirantes d'etre aimé, la personne peut devenir dangeureuse), jaluosie (interprétation délirantes à partir de détails, associées à l'alcool), revendication (procéduriers, éternels chercheurs de reconnaissance sociale, idéaliste

d'être trompé. Pas inquiétude mais persécution car volonté de l'objet de lui faire du mal en le trompant.· Délire de persécution, contredit le verbe : « Je le déteste, lui ». Ici, un investissement massif d'amour devient un délire de persécution.· Érotomanie, contredit l’objet : « Je l’aime, un autre ». Idée délirante que quelqu'un d'autre aime le sujet.  · Analyse freudienne qui porte sur la dimension homosexuelle non accepté. Élément pertinent, mais non relié à la question