Érotomanie

EROTOMANIE Définition L’érotomanie est une maladie du groupe des troubles délirants ( ref 297.1 du DSM-IV), construite autour de la conviction que l’on est aimé par une personne en secret. Elle est aussi appelée syndrome de Clérambault, d’après le psychiatre français Gaëtan Gatien de Clérambault ( 1872-1934) qui en présenta la première analyse complète ( Les psychoses passionnelles) en 1921. Sommaire Histoire Symptôme – forme primaire - forme secondaire Délire paranoïaque Souffrance due

versant à la fois productif et déficitaire. La structure délirante s’articule principalement autour de 3 thèmes : Persécution : il « a peur d’être violé », « les psychiatres veulent l’abattre », « on veut l’abattre car il est royaliste. » ; Erotomanie : il « est persuadé d’être aimé par D.Charvet », il « adapte son comportement en fonction des désirs de D.Charvet. » ; Mégalomanie : il se sent supérieur aux autres ; D’autre part, le syndrome discordant reste prédominant chez M.B. : Discordance

Devoir sur la PARANOIA 1. Qu’est ce que la paranoïa ? 2. Donnez les caractéristiques d’un délire dans la paranoïa. 3. En tant qu’AMP, quelles difficultés pouvez-vous rencontrer dans l’accompagnement au quotidien de personnes souffrant de paranoïa ? 1. La paranoïa est une psychose chronique caractérisée par un délire bien organisé, structuré, logique, s’accompagnant de troubles du jugement et de la perception. Le paranoïaque a touts ses capacités intellectuelles. Cette psychose

Thérèse Raquin : Sur cette image Thérèse et Laurent sont représentés en train de s’embrassés passionnément. En dessous d’eux est représentée la barque sur laquelle étaient Laurent et Camille lors du meurtre de Camille qui fut noyé. Cette image représente les deux grandes parties de l’histoire, la première étant la rencontre des deux amants , leur amour interdit et leur passion cachée la deuxième représente la barque sur lequel le meurtre de Camille a eu lieu et les conséquences du meurtre. On

1. Rodriguez est tiraillé entre son devoir de vengeance envers son père (l’honneur familiale) et l’amour qu’il éprouve pour Chimène : ce sont deux aspects qui sont à priori inconciliables . Tout le long du texte, il va donner des arguments péjoratifs ou améliratifs sous forme d’opposition en alternance. En effet dans la première strophe on peut relever différents termes appartenant d’une part aux champs lexicals de la douleur et de la mort : « atteinte .. mortelle «  (vers 2) malheureux objet

Emile Zola (1840-1902), est un écrivain, journaliste et homme public francais, considéré comme le chef de file du naturalisme. Il est principalement connu pour les « Rougon-Macquart », regroupés en un ensemble de vingt volumes décrivant la société francise sous le Second Empire. Il met en scène la trajectoire de la famille Rougon-Macquart, à travers ses différentes générations et dont chacun des représentants fait l’objet d’un roman. Le sujet porte sur la particularité du roman naturaliste

Interprétation ( donne un sens faux à un fait réel : paranoïa )  Imagination ( pas de différence entre fantasme et réel )  Intuition Thème :  expansif ( mégalomanie, mysticisme, … )  négatif ( culpabilité, persécution,...)  complexe ( érotomanie, jalousie, cosmique,...) Organisation:  Systématisé ( ordonné, logique, auquel on peut adhérer, ex : paranoïaques )  Non-systématisé ( illogique, bizarre,...on ne peut pas adhérer ) Évolution :  retour à état antérieur : normal  ou

la fois productif et déficitaire. La structure délirante s’articule principalement autour de 3 thèmes : ❖ Persécution : il « a peur d’être violé », « les psychiatres veulent l’abattre », « on veut l’abattre car il est royaliste. » ; ❖ Erotomanie : il « est persuadé d’être aimé par D.Charvet », il « adapte son comportement en fonction des désirs de D.Charvet. » ; ❖ Mégalomanie : il se sent supérieur aux autres ; D’autre part, le syndrome discordant reste prédominant chez M.B. :

activité ritualisée. Si la recherche et la reconnaissance fonctionnent, le lecteur est comme l'enfant qui écoute le récit de ses contes préférés : il savoure un plaisir intime, a besoin de se retrouver dans les sentiments qui le construisent, fonde une érotomanie incommunicable. II / La lecture tragique : une perversité positive A ) Qu'est-ce que la perversité ? * c'est une pratique déviante (on agit dans le refus de la normalité. Ici, Barthes entend qu'il est étrange, paradoxal et

vont différer selon les causes qui en sont à l'origine. Ils ne seront pas forcément reconnus par une personne non experte en la matière. Ils se basent souvent sur des propos incohérents, un discours récurrent : délire de persécution, paranoïaque, érotomanie... et un comportement altéré. En psychiatrie, divers éléments caractérisent le délire : son thème correspondant grossièrement à son contenu : la mégalomanie, la persécution, la ruine, etc. ; ses mécanismes : interprétation de faits erronée, hallucination