Erwin Panofsky

Spätrömische Kunstindustrie, Vienne1901, p. 216 • Gadamer, Vérité et méthode, 2ème édition franäaise, pp. 186-188 • Benjamin, L'oeuvre d'art à l'époque de sa reproductibilité technique • Gombrich, Histoire de l'art, sur la perspective • Panofsky, "L'évolution d'un schème structural" in L'oeuvre d'art et sa signification • Focillon, La vie des formes, PUF, Quadrige • Pächt, Questions de méthode en histoire de l'art, Munich, 1977, tr. fr. Lacoste, Paris, Macula, 1994, p. 150 • Argan

enfin, absorbé dans sa lecture, et représenté selon un profil renvoyant à la manière des primitifs italiens — alors qu'Antonello était coutumier des portrait de trois-quarts à la van Eyck —, qui évite la confrontation avec le regard du spectateur. Erwin Panofsky15 souligne à cet égard la « signification objective de la perspective » centrale, qui fait du tableau une « fenêtre ouverte16 », selon la célèbre expression d'Alberti dans son De pictura (1435), et qui force le spectateur à une confrontation

représentation de l’absolu qu’il n’atteint que par la médiation du sensible. Il ne dit pas le vrai, il ne fait que le suggérer dans une apparence et s’en tient à cette apparence. - BURCKARDT Jacob : affirme le lien entre une civilisation et son art. - PANOFSKY Erwin : affirme que toute oeuvre d'art est un système de symboles. - BOURDIEU : sociologie de l'art, seuls ceux qui ont une culture artistique possèdent les clefs qui permettent le décodage de la symbolique d'une oeuvre. - Le dandy : faire de sa vie

LEIGLON, A la découverte de l’image, Paris, Ellipses, 2001, p.3 [ 2 ]. Ibid. [ 3 ]. Ibid. [ 4 ]. Wikipédia, Iconographie, http://fr.wikipedia.org [ 5 ]. PANOFSKY Erwin, L’œuvre d’art et ses significations, Paris, Gallimard, 1969, p.28 [ 6 ]. BRON Jean-Albert, LEIGLON, A la découverte de l’image, Paris, Ellipses, 2001, p.5 [ 7 ]. PANOFSKY Erwin, L’œuvre d’art et ses significations, Paris, Gallimard, 1969, p.35 [ 8 ]. DE BROGLIE Gabriel, Une image vaut dix mille mots, Paris, Plon, 1982, p. 19 [

grand type qui sont les icone qui sont les signes dont le signifiant entretienne une relation analogique (image= icone) Deriniere grande clase de signe sui sont les symboles qui sont les signe qui entretiennent au contraire avec leur referent Erwin panofsky, la perspective comme forme symbolique . Signe linguistique = le mot/ cheval/ Signe iconique = le dessin d’un cheval 1er niveau de sens Dans la langue= le mot ou monème Dans les images= un iconème= toute structure visuelle identifiable

faites par Erwin Panofsky, qui donnait à l’historien d’art trois niveaux d’étude successifs : 1) l’étude des motifs, qui correspond pour nous au relevé des paradigmes thématiques ; 2) l’étude d’une dramatisation existentielle, qui place les motifs dans la perspective d’une forme singulière d’expérience ; 3) le rattachement de cette dramatisation à des formes d’expérience culturelles (c’est à ce troisième niveau qu’est consacré ce cours). Voir, pour l’exposé de la méthode d’Erwin Panofsky : Essais d’iconologie

l’histoire de l’art, les approches traditionnelles d’Emile Mâle et Erwin Panofsky ont été passées au crible de la critique. La vision d’Emile Mâle d’une iconographie médiévale qui ne serait que la transposition figurative du savoir livresque rassemblé par les auteurs scolastiques ne peut plus être retenue telle quelle ; elle apparaît comme un écho moderne de la conception grégorienne de l’art comme enseignement. Quant à Erwin Panofsky, on a pu lui reprocher un recours systématique aux textes pour décrypter

vertrauteste Raummetapher der Melancholie“ (ibid., 25). Pour les théories de la mélancolie et les traits caractéristiques du mélancolique développés entre l’Antiquité et la Renaissance, je renvoie à l’ouvrage de référence de Raymond Klibansky/Erwin Panofsky/Fritz Saxl: Saturn und Melancholie. Studien zur Geschichte der Naturphilosophie und Medizin, der Religion und der Kunst, Frankfurt/M., Suhrkamp, 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 1990, pour la misanthropie cf. ibid., 228sq

scientifiques comme celles phénoménologique (Maurice Merleau-Ponty, etc.), psychologique (René Huyghe, etc.) et psychanalytique (Meyer Schapiro, etc.), sociologique (Arnold Hauser, Pierre Francastel, Howard Becker), structuraliste (Aby Warburg, Erwin Panofsky, Hubert Damisch, Pierre Daix), marxiste (Michael Baxandall, Françoise Bardon, etc.), formaliste et sémiologique (Heinrich Wölffin, Roland Barthes, Umberto Eco), postmoderniste (Achille Bonito-Oliva, Jean-François Lyotard, Jacques Derrida). De

l'Antiquité à la Renaissance (1926), Ernst Kris et Otto Kurz pour leur enquête sur les représentations de l'artiste (L'Image de l'artiste. Légende, mythe et magie, 1934), et surtout avec le plus célèbre historien de l'art allemand du XXe siècle, Erwin Panofsky. Annexé après coup à la sociologie de l'art, grâce à la préface de Pierre Bourdieu, en 1967, de la traduction française d'Architecture gothique et pensée scholastique (1956), Panofksy analyse par exemple l'usage de la perspective comme matérialisation