Érythème

ou définitivesi elle dépasse 8 Sv. Chez la femme, une telle irradiation provoque la stérilité est en fonction inverse de son âge (12 Sv à 20 ans ; 5 Sv à 45 ans). Les effets sur la peau varient en fonction de l'équivalent de dose : * érythème (rougeur) lors d'une irradiation localisée comprise entre 4 à 7 Sv, * phlyctène (cloque) lord d'une irradiation localisée comprise entre 7 à 10 Sv, * nécrose lorsque la dose dépasse 12 Sv. La cataracte (opacification du cristallin) s'observe

plus jeunes vaccinés et sont associés à une mauvaise technique d'administration et surtout une dilution insuffisante, ils sont habituellement localisés, bénins et ne nécessitent pas de traitement. On peut rencontrer : • une apparition d'un érythème (rougeur), d'une papule (bouton) ou d'une ulcération (perte de peau) au point de ponction, avec cicatrice dans les suites ; • une ulcération cutanée persistante ; • une adénite inflammatoire (inflammation du ganglion axillaire du

inhibiteurs de B-lactamases : spectre étendu aux germes producteurs de pénicillinase. Effets indésirables : Allergies, réactions immédiates (< 30 min) dépendantes du débit de perfusion : œdème de Quincke, bronchospasme, érythème urticaire ; réactions retardées : éruptions cutanées, fièvre ; troubles digestifs : diarrhées, nausées, vomissements (risque de colites pseudomembraneuses pour Augmentin) ; Pénicilline G: fièvre, sueurs, frissons, palpitations, myalgies ; Pénicilline

souvent incriminées dans la survenue de ces infections  L’antibiothérapie modifie la flore bactérienne (facteur favorisant)  Clinique : o Intertrigo des grands plis (inguinal, interfessier…) et des petits plis (perlèche, espaces interdigitaux) o Erythème vernissé o Fissures au fond du pli recouvertes d’un enduit Candidoses blanchâtre cutanées o Sensation de brûlure ou de prurit Candidoses unguéales  Atteignent les ongles des doigts  Paronychie (périonyxis) Folliculite candidosique o

Vasoconstriction et formation de caillots par les plaquettes : clou plaquettaire (stopper le saignement) Libération leucocytes et macrophage pour nettoyer, éliminer les tissus morts, germes ( pas d’antiseptique) Réaction inflammatoire normale: érythème, douleur, chaleur, œdème Libération des facteurs de croissance par les plaquettesLA CICATRISATION 4 PHASES PHASE 2 BOURGEONNEMENT : 10 jours Apparition des fibroblastes pour la fabrication du tissu de granulation Production de collagène, d’élastine

par l’acquisition de bonnes habitudes dès le plus jeune âge * De temps forts, de découverte et de relation * De connaissances de ses premiers points de repères Le change a pour but : * D’assurer l’hygiène du bébé * De prévenir les érythèmes fessiers * D’assurer le confort de l’enfant Il se pratique soit AVANT le repas ce qui permet d’assurer le confort de l’enfant, d’éviter les régurgitations et les troubles de l’endormissement. Soit APRES le repas pour assurer le confort de l’enfant

de survenue d'encéphalopathie hépatique (voir rubriques Contre-indications, Mises en garde et précautions d'emploi). Rares cas de réactions cutanées d'origine allergique ou non ; prurit ; urticaire ; réactions bulleuses : (pemphigoïde bulleuse et érythème polymorphe) ; exceptionnellement : photosensibilisation, syndrome de Stevens-Johnson, syndrome de Lyell Manifestations allergiques : Exceptionnellement : fièvre, hyperéosinophilie, réactions anaphylactiques et/ou anaphylactoïdes. Autres manifestations :

problème de dépendance d’où hospitalisation, organisation de soins complexes en personnel et en moyens. Il faut donc faire de la prévention. La prévention commence par reconnaitre une escarre. Stade 0 : Peau intacte mais risque d’escarre Stade 1 : Erythème sur peau intacte, ne disparaissant pas à la levée de la pression Stade 2 : Perte de substance de l’épiderme et en partie du derme, phlyctène, abrasion, ulcération superficielle Stade 3 : Perte de substance du tissu sous cutané avec ou sans décollement

habitudes alimentaires * mode de vie, facteurs déclenchants * description symptômes : fréquence des crises - Exploration d'une allergie : * Prick-tests = tests cutanés : dépôt d'allergènes de dilutions connues sur la peau, observation réaction cutanée ( érythème, papule, grosseur), comparaison à un témoin positif * Test de provocation : administration de l'allergène suspecté à faible concentration et observation des éventuels signes cliniques * Dosage des IgE spécifiques : incubation du sérum dilué du patient

prévenu par une asepsie rigoureuse et l'utilisation d'un antiseptique en respectant les temps de contact. Le port de gants est obligatoire, mais ils n'ont pas besoin d'être stériles. Il ne faut pas utiliser de site présentant des signes d'inflammation (érythème), d'infection ou des tatouages. •Le risque lésionnel, rare mais possible, les lésions nerveuses peuvent provoquer des douleurs et des troubles sensitifs. Par exemple, le nerf ulnaire au niveau du coude est très proche de l'artère brachiale (les