Espionnes Pendant La Grande Guerre

Les grands modèles idéologiques et la confrontation Est-Ouest jusqu’aux années 1970 I- Deux modèles idéologiques s’affrontent 1- Le modèle américain, entre la fascination et le rejet a- Le pays de la liberté Les Etats-Unis d’Amérique sont une République fédérale, alliance de cinquante États ayant chacun son gouvernement et ses propres lois. Aux échelons locaux, la démocratie directe s’exprime par l’élection des maires, des juges ou des shérifs par la population. Le système américain

vérités L’idée qu’un groupe subversif puisse déstabiliser un gouvernement occidental, voire prendre le pouvoir, est difficile à accepter. Car un grand nombre d’idées reçues donne l’illusion soit d’une sécurité absolue, soit qu’un coup d’État s’accompagnerait d’un cataclysme. Cassons donc pour commencer quelques contre-vérités… “La puissance militaire des grandes nations interdit toute action d’envergure.” Faux L’opération des indépendantistes tchétchènes démontre le contraire. En janvier 96, deux cents

passent plus sans que l’on ait à utiliser un téléphone ou un ordinateur. Le progrès a été tel qu’aujourd’hui le numérique et l’être humain sont étroitement liés. Oseriez-vous maintenant jeter tous vous appareils électroniques et revenir à la vie de vos grands-parents ? Oseriez-vous vous démarquer de tous et oublier ces objets devenus indispensables ? L’homme a créé la machine, mais a celle-ci a pris le dessus sur son créateur ? « La machine a gagné l'homme, l'homme s'est fait machine, fonctionne et

Depuis la guerre du Vietnam jusqu’aux attentats du 11 septembre 2001, les États-Unis n’ont cessé de réduire leur avance économique et de dilapider leur crédit idéologique. Ils n’exercent plus leur domination que dans le domaine militaire, ce qui est le propre des superpuissances sur le déclin. À quand la relève ? Foreign Policy (extraits) Washington En déclin, les États-Unis ? Rares sont ceux qui croient aujourd’hui à cette thèse. Les seuls à en être fermement convaincus sont les faucons de Washington

plus important parti pro-syrien, fut passée sous silence alors que la télévision montrait sans fin la foule anti-syrienne. Exemple particulièrement énorme de mauvaise foi orwellienne, la BBC expliqua aux téléspectateurs que « le Hezbollah, le plus grand parti politique du Liban, est jusqu’ici la seule voix dissidente qui souhaite que les Syriens restent au Liban ». Comment la majorité populaire peut-elle être une « voix dissidente » ? [1]KirghizistanAprès les « révolutions géorgienne et ukrainienne

stendhalien à atteindre cette plénitude qu'ils recherchent tous, et à en jouir pendant une période assez longue. Dernier grand héros stendhalien, il possède cependant toutes les qualités qui les caractérisent : désir de gloire, quête d'absolu, soif de reconnaissance sociale.  L'histoire: Chapitre I  Le texte nous présente un tableau général de Milan en 1796 lors de l’arrivée du général Bonaparte à la tête de son armée. Il décrit le grand changement de mœurs impliqué par cette invasion française et « la masse

HISTOIRE 1ère : Questions pour comprendre le XXème siècle. Partie I : la guerre au XXè siècle Problématique générale : comment évoluent les formes de la guerre au XXè siècle ? Chapitre 3 : DE LA GUERRE FROIDE AUX NOUVELLES CONFLICTUALITES La guerre froide oppose entre 1947 et 1991 les deux superpuissances nées de la Seconde Guerre mondiale : les États-Unis et l'Union des Républiques Socialistes Soviétiques (URSS). Le philosophe et politologue français Raymond Aron a parfaitement défini

Proposition de corrigé pour la guerre froide avec des coupures « originales » (1956 au lieu de1962, 1979 au lieu de 1975) pour vous montrer que l’on peut organiser différemment que dans les chapitre du cours. LA GUERRE FROIDE (1947-1991) En 1945, la Deuxième Guerre mondiale s’achève par la victoire de la Grande alliance dominée par deux superpuissances, les Etats-Unis et l’URSS qui, dans un premier temps, s’entendent pour régler le sort des vaincus et organiser le nouvel ordre mondial comme

instants. La versatilité du regard ensuite, jamais arrêté faisait douter que le cerveau de cet homme put seulement contenir une pensée lucide » page 98. Néanmoins, pendant le récit qu’il fait au maitre de son expérience de l’Occident, son regard est « fixe » (page 101). Une contradiction dans ce portrait : le fou se présente lui-même comme très grand : « d’un mouvement très dégagé, je me mis debout, dominant d’une bonne tête toute l’assistance » page 102. Or, par la suite, l’auteur le décrit comme un être

différente, et est victime ou témoin toute sa vie durant de la cruauté de ceux qui l’entourent. Il se retrouve tout d’abord orphelin et voit son village réduit en cendres, alors qu’il n’est encore qu’un jeune enfant. Quelques années plus tard, la guerre vient de nouveau troubler sa vie et faire « triompher le médiocre ». Il est trahit par des hommes de son village et son nom est inscrit sur la liste des juifs en partance pour les camps. Parmi ceux qui le dénoncent figure Diodème, un de ses plus proches