Espoir Et Désespoir

comme une odeur « parfum » mettant en jeu les perceptions sensorielles du poète. Celui-ci apparaît à travers son état d’âme indiqué par la métaphore « ma nuit profonde ». Cette expression fait allusion à la tristesse du poète peut-être même à son désespoir. Il n’est plus jeune comme l’indique la phrase  « ma jeunesse est finie… ». C’est surtout à travers un désir d’amour partagé que le poète apparaît dans la deuxième strophe « dont le cœur au mien répondrait ». Le conditionnel traduit cette possibilité

Pour commencer, on observe que l’expression des sentiments tient une place majeure dans ce poème. Elle se base essentiellement sur l’espoir et le désespoir (« Adieu » (v2)/ « espérance » (v4)) et (« amour »(v4)/ « privé »(v5)). La relation entre Apollinaire et cette femme devait correspondre pour le poète à de nombreux espoirs et aussi a de nombreux désespoirs. Le lyrisme s’appuie également sur la musicalité puisque ces origines remontent à Orphée, un musicien antique qui jouait très bien de la Lyre

« sans espoir, trahi, lassé de vivre ». « Malheureux rival »=périphrase. « Tandis que » = subordonnant qui montre l’opposition. Dans ce récit épique apparaissait déjà la rivalité entre les futurs rivaux en amour. II- Le départ de B. à Rome. a- A. Fait le récit du départ de B. et pour lui se fut un véritable élément perturbateur provoquant : - Son désespoir avec le registre lyrique, champ lexical de l’amour lié au champ lexical de la souffrance « pleurant, mélancolie, désespoir ». - Registre

Flora : Vivons notre vie ! Débarrasse-toi de tes principes étroits ! Car l’amour a fait de moi Reine, et de toi Roi. Le prince : Acceptes-tu de devenir ma princesse d’avenir Flora : sans vouloir te décevoir mais ta mère ne nous laisse aucun espoir(le prince sort et la mère entre sur scène) Flora : Eva, votre majesté ! La reine : j’ai entendu ce que vous avez dit et j’ai connu a vérité .C’est ce que tu voulais alors devenir une reine et vous débarrasser de moi je vais vous donner une dernière

qui signifie l’investissement financier que sont les timbres-postes, mais surtout la qualité morale, le principe qui lui tient à cœur. Cette phrase illustre donc à quel point le roi Salomon, malgré toute la générosité dont il fait preuve, a perdu espoir en ses contemporains. Il trouve toutefois en le personnage de Jean un confident et un disciple qui le sortira de cet isolement. De la même manière qu’il partage à Jean son expérience, monsieur Salomon tire lui aussi profit de cette association. Comme

douloureux - La montée de la crise Quatrains I, II, III -> 3 propositions temporelles introduites par la conjonction "Quand" (anaphore) -> "Quand le ciel" + "Quand la terre" + "Quand la pluie" -> marque le rythme du poème (comme un chant) + le désespoir du Poète se mélange avec les éléments de la nature (ciel, terre, pluie) Champ lexical de l’enfermement et de l’oppression -> "bas et lourd" + "pèse" + "couvercle" " + "cachot" + "murs" + "prison" + "corbillards" + "filets" + "barreaux" ->

rime) + « songe » = illusion, remuer les pensées ? ≠ - Q2 mobilité, mouvement : « combat espoir » en début de vers, « peine obstinée » à la rime -> victoire de l’espoir = mouvement du corps me fait monter plus haut qu’un empereur romain. Réel ≠ irréel = mélancolie = transe/exaltation Inconstance, instabilité = baroque II/ Les « ennuis » 1°) Désespoir Le tabac représente l’espérance, le bonheur, la joie ≠ mais c’est aussi la fumée/le vent ->

adaptées aux nouveaux visages de la société . Le fléau est devenu moins violent physiquement parlant mais il est plus discret et sournois car les victimes ont aujourd'hui conscience plus que jamais de leur condition d'esclave et constatent avec désespoir que le public reste insensible à leur douleur . Heureusement l'ONU et les ONG et bien sur les médias font leur possible pour les aider et dénoncer les marchands . De nos jours, la forme la plus banalisée de travail forcée est celle des employées

prépare irruption qui va suivre...La crise survient sous la forme d’une hallucination auditive ,brutale et violente, les sonorités imitent , suggèrent le caractère insupportable du « hurlement » qui peut être perçu comme le cri de révolte et de désespoir du poète qui ne parvient pas à échapper à son spleen, d’abord rapide et brutal puis qui se prolonge en une sorte de plainte… Cri adressé au ciel...à Dieu? Révolte contre notre destinée d’hommes mortels qui subissent leur sort …( cf Pascal)Image de

l’amour simple, idéalisé par Perdican, et la mort de cet amour le plonge dans un profond désespoir. On observe ce désespoir par les nombreuses apostrophes que Perdican lance à Dieu lors de son monologue : « Je vous en supplie mon Dieu ! […] Ne tuez pas Rosette, Dieu Juste ! […] Ne faites pas cela, ô Dieu ! » Ces nombreuses adresses à Dieu nous montre ainsi un Perdican pathétique, accablé de douleur, avec un mince espoir de retrouver Rosette vivante, basé sur son acte de repentance désespéré : « Je réparerai