Est Ce Par Crainte Du Châtiment Qu On Obéit Aux Lois

atteint son paroxysme en juillet, à Vichy, où le nouveau pouvoir s’est installé. 2. Pourquoi Vichy ? - Le Gouvernement ne veut pas retourner dans la capitale, tombée aux mains de l’ennemi, ni rester en zone occupée. Il obéit ainsi à une tradition historique : le pouvoir central a souvent craint les réactions de la population parisienne en période de crise. Il souhaite également éviter les grandes villes méridionales, trop marquées à gauche. La ville de Vichy, située à proximité de la ligne de démarcation

de théâtre ! Travaux d’écriture Question préliminaire Dans le texte A (Rostand), l’ivresse de Cyrano, celle de son enivrement amoureux et lyrique, a pour vertu de le rendre téméraire, au point de n’avoir aucune conscience, ou en tout cas aucune crainte, des risques qu’il court, puisqu’il « brave la mort » jusqu’à écrire « tous les jours [d]eux fois » à celle qu’il aime. Dans le texte B (Rabelais), l’ivresse est perçue comme la source des plus grands plaisirs, qu’elle permette d’étancher une soif

main de l’impalpable ! ô pouvoir surprenant ! Mets un mot sur un homme, et l’homme frissonnant Sèche et meurt, pénétré par la force profonde ; Attache un mot vengeur au flanc de tout un monde, Et le monde, entraînant pavois, glaive, échafaud, Ses lois, ses mœurs, ses dieux, s’écroule sous le mot. Cette toute-puissance immense sort des bouches. La terre est sous les mots comme un champ sous les mouches Le mot dévore, et rien ne résiste à sa dent. À son haleine, l’âme et la lumière aidant, L’obscure

Ô main de l’impalpable ! ô pouvoir surprenant ! Mets un mot sur un homme, et l’homme frissonnant Sèche et meurt, pénétré par la force profonde ; Attache un mot vengeur au flanc de tout un monde, Et le monde, entraînant pavois, glaive, échafaud, Ses lois, ses mœurs, ses dieux, s’écroule sous le mot. Cette toute-puissance immense sort des bouches. – 32 – ches La terre est sous les mots comme un champ sous les mouLe mot dévore, et rien ne résiste à sa dent. À son haleine, l’âme et la lumière

extraordinaire, qu’il en fut frappé jusqu’au cœur. De son côté, la dame ne put s’empêcher de regarder le prince, dont la vue fit sur elle la même impression. « Seigneur, lui dit-elle d’un air obligeant, je vous prie de vous asseoir. » Le prince de Perse obéit et s’assit sur le bord du sofa. Il avait toujours les yeux attachés sur elle, et il avalait à longs traits le doux poison de l’amour. Elle s’aperçut Les Mille et une Nuits, traduction de Galland – Tome II 6 bientôt de ce qui se passait en

l’Aquitaine, le Dauphiné, le Languedoc. Il doit aussi respecter des règles du passé comme la primogéniture mâle. - chef de l’Eglise : En France, ce n’est pas le pape qui est chef de l’Eglise, mais le roi : on parlera de galicanisme (l’Eglise de France obéit au roi). Notamment depuis l’assassinat de HENRI IV par un jésuite, ces derniers sont chassés de France. Face au galicanisme, ils font en effet preuve d’un ultramontanisme, c'est-à-dire qu’ils ne veulent obéir qu’au Pape. - chef des Armées : décide

. . . . . . . . . . .37 XIII. Bohémiens en Voyage . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .38 XIV. L’Homme et la Mer . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .39 XV. Don Juan aux Enfers . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 40 XVI. Châtiment de l’Orgueil . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 41 XVII. La Beauté . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 43 XVIII. L’Idéal . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .44 XIX. La Géante . . . . . .

contrainte religieux et sociaux : - observation des usages sociaux s’impose avec rigueur dans le milieu uni et fermé que constitue la Rome primitive : chefs de famille peu nbreux et constamment en rapport les uns avec les autres. - surtout : crainte des sanctions surnaturelles qui peuvent frapper les parjures ou celui qui viole la fidélité à la parole donnée (fides) : pallie l’absence d’action en justice. - Le collège des pontifes, qui a la direction de ttes les affaires religieuses, fait enfin

bien qu’elle n’a jamais eu de constitution écrite. Il dit que le pouvoir le plus important est le pouvoir législatif exercé par deux chambres (Commune et des Lords) en plus du roi qui n’est pas exclu de ce pouvoir disposant d’un droit de veto sur les lois. (Participant d’une manière négative renforçant sa position vu qu’il n’aurait du être que le chef de l’exécutif, cad pas grand-chose). Donc pas vraiment de séparation des pouvoirs que reprendra Montesquieu, considérant qu’aucune des fonctions ne soit

avant tout sur une conception du pouvoir située aux antipodes de l’Etat. En effet, dans la mentalité des peuples germaniques, et spécialement de Clovis et des mérovingiens, le pouvoir est purement personnel. Il n’y a rien au dessus de l’individu. On obéit à ses ordres uniquement parce qu’il est le chef. Il ne représente rien, il est lui même (pouvoir personnel). S’il donne un ordre, il le fait en son nom propre, dans la mesure où il est le plus fort. Les hommes auxquels il donne des ordres, lui ont