Est Il Rationnel De Détenir De La Liquidité

introduction En bref Dans cette série d'Education Notes, nous analyserons l'impact des comportements des investisseurs sur la prise de décision et leur effet sur le succès de l'investissement. Le contexte Le concept d'homo economicus, l'homme économique rationnel, est à la base des théories économiques les plus largement appliquées. Parmi celles-ci, la théorie moderne du portefeuille, probablement la plus populaire, fournit des indications claires sur la façon d'optimiser un portefeuille. La réalité Si nous

relatives à l’Atténuation du risque de crédit « ARC » : Aux fins du calcul de leurs exigences en fonds propres l’établissement tient compte, pour réduire leur exposition vis-à-vis des contreparties : - des sûretés financières sous la forme de liquidités ou de titres couvrant tout ou partie des expositions ; - des accords de compensation des prêts et des dépôts ; - des achats de protection sous forme de garanties ou de dérivés de crédit. Les documents relatifs aux techniques « ARC » doivent

celle des prix à la consommation qui se trouvent évoluer de manière plus modérée du fait du surcroît de concurrence généré par une mondialisation commerciale élargie. Ce débat demeure très ouvert. Mais l'absence d'outil défini pour éviter que les liquidités s'accumulent sur certaines classes d'actifs (certains ensembles de valeurs mobilières ou immobilières) fait que bon nombre de Banques Centrales se réfèrent prioritairement à un objectif d'inflation mesuré par l'évolution des prix à la consommation

opérations de transit ou de commissions, de commerce de métaux précieux ; - D’effectuer tous placements, souscriptions, achats et ventes en bourse ou autrement, au comptant ou à terme de titres et d’effets de toutes natures ; - De prendre, de détenir et de gérer des participations dans toutes entreprises bancaires financières, immobilières, industrielles et commerciales pour elle-même ou pour le compte de tiers ; - Et plus généralement, d’effectuer toutes opérations bancaires, financières,

incompréhensible une demande individuelle de monnaie en fin de période : “ Remarquons tout d’abord que Walras n’est pas vraiment parvenu à donner un fondement rationnel à la détention de monnaie. […] il n’y a aucune raison pour qu’ils [les individus] détiennent des encaisses liquides stériles entre les dates d’échéance alors qu’ils pourraient détenir à la place des actifs portant un intérêt. ” (Patinkin, p.591) Donc, si l’on suit le raisonnement de Patinkin, Walras conçoit la monnaie comme un instrument

technologiques Forces de la culture : ¤ Grande capacité à réaliser des choses en très peu de temps Faiblesses de la culture : ¤ Grande lenteur d’exécution ¤ Vulnérabilité aux fluctuations économiques à court terme ¤ Problèmes récurrents de liquidités Faiblesses de la culture : ¤ Faible apprentissage des erreurs passées ¤ Perspective exclusivement à court terme ¤ Faible inclination à la coopération Culture processuelle Culture opérante (Process) (Work Hard/Play Hard) Attributs

international. La Fed (BC Américaine) peut créer du $ ce qui veut dire que depuis 1944 les USA ont un privilège important puisqu’ils peuvent financer leur déficit avec leur propre monnaie car celle-ci est une monnaie de réserve, ils peuvent créer autant de liquidité qu’ils en veulent. Les USA importent plus qu’ils n’exportent cela leur permet d’investir à l’étranger ainsi que financer leur guerre. Donc la quantité de $ n’a cessé d’augmenté ce phénomène est appelé le « seigneuriage ». Plus les USA crée de monnaie

-- en bref, sur le « credo libéral classique ». Le pouvoir, les contraintes structurelles, les jeux politiques et la culture d'entreprise sont insuffisamment pris en compte ou, dans le meilleur des cas, sont supposés subordonnés à une démarche rationnelle. Après avoir analysé les caractéristiques principales de l'analyse concurrentielle, nous nous attarderons quelque peu sur les composantes de la compétitivité de l'entreprise en examinant les principaux modèles et en soulignant, bien entendu,

de modification incessante, il est facile de comparer le niveau des prix entre différents biens. Un pays qui connaît un taux d’inflation élevé est obligé de proposer des taux d’intérêts élevés pour que les investisseurs acceptent de détenir des titres, des actifs libellés dans la monnaie nationale. On dit que les taux d’intérêts incorporent des primes de risque. Or des taux d’intérêts élevés pénalisent l’investissement. la stabilité des prix réduit les primes de risque incorporés dans

l’offre de monnaie, et non pas l’épargne. * La monnaie : Pour les néoclassique la monnaie n’as pas d’utilité en elle-même l’intérêt c’est de pouvoir acheter des choses avec. Pour Keynes la monnaie a sa propre utilité, c’est la préférence pour la liquidité, on garde de la monnaie sans l’utiliser. On peut aimer la monnaie pour elle-même car elle permet la spéculation. * L’importance de l’incertitude : en 1921 Keynes avait écrit un ouvrage de traité de probabilité dans lequel il distingue l’incertitude