Esthetique Du Theatre Negro Africain

 École de commerce et de gestion de Montauban (EGC) Lycées :  Lycée Pierre-Marie Théas (privé) (regroupant le lycée Institut Familial, Lycée Saint-Théodard ainsi que le lycée Montauriol)  Lycée professionnel privé Skhole d'art (coiffure, esthétique)  Lycée Michelet  Lycée Antoine Bourdelle  Lycée agricole de Capou, spécialité arboriculture/horticulture Collèges:  Collège Institut familial (privé)  Collège Saint-Théodard (privé)  Collège Notre-Dame (privé)  Collège Olympe

110 Philosophie. Théorie, généralités. Etude, enseignement et recherche. Dictionnaires, encyclopédies Histoire générale de la philosophie (ni par pays, ni par écoles) Métaphysique : être, néant, propriétés de l'être, espace, temps, force, nature. Esthétique (philo). 120 Epistémologie : théorie de la connaissance, perception, idées, doute, causes, déterminisme, personnalité, inconscient. Opinion. Sciences cognitives. 128 La vie humaine : âme, esprit, action. Incarnation et réincarnation. Mémoire

elles sont souvent symboliques et imagées et utilisent des métaphores et autres images. François N’Sougan Agblemagnon, écrivain africain (Togo) qui travaille au Centre d’études Sociologiques, Paris et Rome, compare les contes merveilleux aux pièces de théâtre et divise leur structure en cinq séquences. Tout d’abord, il voit dans l’introduction, les « trois coups » du théâtre. Cette introduction est composée de la formule d’annonce qui met en place une relation active entre le conteur et l’assemblée

L’ENGAGEMENT DANS LA LITTERATURE AFRICAINE: ETUDE DU MYTHE POETIQUE: MAIETO POUR ZEKIA DE JOACHIM BOHUI DALI OU LA VIOLENCE COMME SYMBOLE DE L’AMOUR A Thesis Submitted to the Graduate Faculty of the Louisiana State University and Agriculture and Mechanical College in partial fulfillment of the Requirements for the degree of Master of Arts in The Department of French Studies by Souleymane Fofana B.A, University of Abidjan, 1991 C2 Master, University of Abidjan, 1992 August, 2003

en général et la littérature négro-africaine en particulier a été le canevas proprice par lequel, l’homme lutte pour le rétablissement d’une condition sociale bafouée. Depuis René Maran avec Batouala, Ousmane Socé avec Karim, jusqu’à Henri Lopès, l’auteur de Le Pleurer-Rire en passant par Seydou Badian, avec son roman Sous 1’Orage, il n’est plus à démontrer que l’artiste est le porte parole du groupe social dont il est issu. A l’exception de ces auteurs africains cités, on se rend compte qu’aux

................................................................................164 Utiliser l’iconographie...........................................................................................................................165 Utiliser le théâtre pour la lecture du genre bref.....................................................................................166 Conclusion .....................................................................................................................

son terroir natal, surtout ceux du milieu professionnel, Marcel Khombe Mangwanda a publié de son côté, en 2008, un ouvrage intitulé Le Porte-parole du président. Après une lecture méticuleuse des deux romans, on constate que ces deux écrivains africains ont examiné avec finesse, dans leurs productions littéraires respectives un thème commun, à savoir le conflit des générations. Qu’entendent-ils par conflit des générations? Comment conçoivent-ils et exploitent-ils ce thème dans ces romans? Quelles

n’avoir jamais peur d’entrer dans n’importe quelle réalité, 2 pourvu que j’en sois respectueux et que cela n’ébranle pas ma propre foi. Tout ce que je suis, je le lui dois." Ajoutons que Tierno Bokar était également un éminent traditionaliste africain, connaissant la langue et les coutumes des diverses ethnies de la région. Comme on le voit, les fées qui se penchèrent sur le berceau d’Amadou Hampâté Bâ étaient des fées généreuses. Exil à Bougouni Lorsque le petit Amadou est âgé d’environ trois

du XVIe au XXe siècle, parce que leurs œuvres ont formé intellectuellement les artistes : ils les ont traduites, apprises par cœur, commentées, jouées à travers l’Europe, ils ont ensuite admiré dans les musées ou dans les salles de concert et de théâtre les œuvres qu’elles inspiraient à leur tour. Au-delà de l’admiration des lecteurs, ces œuvres lues, traduites, commentées, réécrites ont peu à peu construit des topoi qui, depuis, parcourent les œuvres littéraires comme les œuvres philosophiques.

Félix HOUPHOUE-BOIGNY ------------------ U.F.R. Langues, Littératures et Civilisations ------------------ Département de Lettres Modernes MÉMOIRE DE DEA Option : POÉSIE AFRICAINE THÈME : PRÉSENTÉ PAR : SOUS LA DIRECTION DE : VASSI Gah Blaise Pr VAHI Yagué Maître es Lettres Maître de conférences des Universités DEDICACE A GUEU Catherine