Esthétique transcendantale

LA POESIE A LA FIN DU XIXe siècle: 1. LE PARNASSE Le nom indique une montagne grecque où, selon la mythologie, résidait Apollon, le dieu de la Beauté. Théophile Gautier donne ce nom à un mouvement esthétique et poètique qui s’oppose au Romantisme dans la deuxième moitié du XIXe siècle. Le Parnasse  avait pour but « l’Art pour l’Art » opposé à « l’Art pour la vie ». Le Culte du Beau doit être le seul objet de la recherche artistique : on refuse donc : 1. La poésie sentimentale, les excès

L'art est-il un luxe? Est ce toujours le cas? OUI: Art superflu et est juste l'occasion d'un plaisir, que les hommes pourraient s'en passer, qu'il ne répond pas à un besoin, qu'il y a des objets bien plus utiles que l'oeuvre d'art, qu'il coute cher et est réservé qu'à quelques priviligiés mais aussi que l'oeuvre d'art est rare et unique. Argument: * l'oeuvre ne sert à rien. On ne l'utilise pas comme les objets techniques, on ne la consomme pas comme les bien de consommation: on les contemple

moine, en un temps où ne fleurissent plus les semailles du Christ = Moïse frappant un rocher ou = grand abandonné de Dieu… Comme si Baudelaire ne pouvait raisonner qu’en termes de religion chrétienne, dès qu’il cherchait à se définir… - rédemption esthétique : cf. « rois de l’azur, prince des nuées » = roi dans la poésie, prince dans les poèmes ; cf. le « cor» poétique  qui remplit le vide existentiel en rassemblant les souvenirs ; cf le « tableau »  poétique  qui « réchaufferait » l’âme morbide du

création spatiale et éphémère. L’artiste de l’art urbain a introduit le quotidien comme un point de départ dans sa réflexion. Il réalise ses œuvres en se questionnant, sans cesse, d’où vient le plaisir dans le quotidien et comment peut il devenir esthétique ? Désormais, les plasticiens questionnent  la ville, la rue, le bâtiment et l’architecture où exposent-ils leurs œuvres. Le souci initial pour les artistes de l’art in-situ est la recherche des nouveaux espaces  pour leur création spatiale

contemporain », permettant de comprendre les transformations des relations entre arts et cuisine dans une perspective historique. Caroline Champion s'interroge même sur des sujets qui se situent hors de sa spécialité et ose aborder la question de l'« esthétique du goût »  au sens gastronomique du terme. Son livre est un mélange de philosophie et de littérature. Son essai propose essentiellement une discussion d'idées car il aborde le sujet sous plusieurs points de vue donc ceux du cuisinier Alain Passard

devient étonnant, prodigieux. Le pain devient alors une sorte d’objet artistique par la transformation que l’artiste (le poète) lui fait subir. On passe d’un objet à une vision de cet objet, celle de l’artiste suscite l’émerveillement, l’émotion esthétique le point de départ de la description chez Ponge: un enthousiasme, une émotion face à l'objet « la vibration de la corde sensible tendue à l'extrême » (Proêmes) et le désir de communiquer cette émotion. «cette impression »: sujet de l'énonciation

celle-ci ? Ces ressentis sont ils des critères principaux à la reconnaissance d’une œuvre ? Pour répondre à ces quelques questions, nous verrons dans un premier temps la relation entre l’art et la nature, puis dans un deuxième temps la création esthétique et son explication, enfin, dans un troisième temps nous verrons la contemplation de l’œuvre qui pourrait se qualifier d’art. Toutes les activités humaines consacrées à la production de beau sont considérées comme des arts, elles sont de formes

Elle est à la tête de l’entreprise Agent Illustrateur, spécialiste en créations visuelles et créatives depuis maintenant 3 ans au Québec, Canada. Également auteur d’un cours de conception graphique pour le collège Lasalle, elle a un fort instinct esthétique qu’elle met a contribution dans chacun de ses projets, que ceux-ci relèvent de l’illustration éditoriale, de la photographie ou du design graphique. Le style Agent Illustrateur se reconnaît par la simplicité de ses concepts, le choix restreint de

dans l'élément de la permanence qui manifeste un point de vue, un style ou une manière: le regard de l'artiste devient l'essentiel: dans l'œuvre d'art le moi de l'artiste se reconnaît comme déployé dans l'extériorité, rendu sensible (lire Hegel, Esthétique PUF p.20) doit-elle la beauté est-elle une condition nécessaire de l'œuvre d'art. L'art contemporain n'a-t-il pas prétendu s'en passer? (Georges Braque "l'art est fait pour troubler"). être belle "Le beau est ce qui plaît universellement sans

on ne m’opposait que le mépris. N’y avait-il pas là quelque injustice ? ». Mary SHELLEY, Frankenstein ou Le Prométhée moderne, dernier chapitre, Editions Gallimard Folio Plus, Traduit de l’anglais par Paul Couturiau. DOCUMENT 4 MONSTRES (Esthétique) Le monstre, dans l’art, peut être défini comme la création, par l’imagination humaine, d’un « être matériel » que son créateur n’a pas pu rencontrer. Peu importe que ce créateur ait cru ou non à son existence dans une contrée lointaine ou