Introduction et problématique :

L’expérience visuelle de l’objet quotidien et banale dans l’art in-situ, nous jette évidemment à voire les événements directs et immédiats dans l’espace naturel, urbain, public et architecturale. En effet, les artistes de l’art in-situ cherchent à créer tout un environnement fabriqué au sein duquel se développe la création de l’aménagement extérieur sous la forme d’un art plastique éphémère. Ce ci à modifier nos perceptions vis-à-vis l’espace et le temps urbains en prenant l’espace comme matière et support pour la création in-situ de l’artiste. L’espace de notre vie quotidienne devient l’âme de la création spatiale et éphémère. L’artiste de l’art urbain a introduit le quotidien comme un point de départ dans sa réflexion. Il réalise ses œuvres en se questionnant, sans cesse, d’où vient le plaisir dans le quotidien et comment peut il devenir esthétique ? Désormais, les plasticiens questionnent la ville, la rue, le bâtiment et l’architecture où exposent-ils leurs œuvres. Le souci initial pour les artistes de l’art in-situ est la recherche des nouveaux espaces pour leur création spatiale et éphémère. Leur but initial c’est de bouleverser les notions traditionnelles de l’art conventionnel afin de donner lieu à la notion du public, du social, du quotidien, du banal et du trivial même. L’art en cette position devient plut porche à l’existante humaine, aux rapports sociaux, même aux rapports avec les choses simples et banale qui nous entoure. Ce ci ramène plusieurs artistes de penser concernant les rapports qu’ils se créent avec l’espace formidable de la nature ou du paysage urbain et architectural. Ce monde illimité de notre vie quotidienne est remplie de différents lieux, de différents emplacements et endroits et c’est difficile pour l’artiste de choisir et approprier le lieu qui lui convient. Son choix il ne doit pas être arbitraire, il le doit bien préciser. Face à cette nouvelle dimension