Et si c'était vrai...

caressait un énorme chat. « Que puis-je pour vous ? s’enquit le prêteur. - Je viens dégager mon bien, répondit Cyril Bixby en tendant le ticket brunâtre. - Très bien. Vous n’aviez pas plus d’informations sur ce ticket ? Oh, non, attendez ! C’est vrai… Pardonnez-moi mais êtes-vous sûr que ce ticket vous appartient ? - Absolument, pourquoi ? - Pour rien, excusez-moi, dit l’homme l’air soucieux. Il me semblait pourtant que la personne venue déposer cet objet était une femme… Peut-être est-ce ma

voix de celui qui crie dans le désert : Aplanissez le chemin du Seigneur, comme a dit Ésaïe, le prophète. 24. Ceux qui avaient été envoyés étaient des pharisiens. 25. Ils lui firent encore cette question : Pourquoi donc baptises-tu, si tu n’es pas le Christ, ni Élie, ni le prophète ? 26. Jean leur répondit : Moi, je baptise d’eau, mais au milieu de vous il y a quelqu’un que vous ne connaissez pas, qui vient après moi ; 27. je ne suis pas digne de délier la courroie de ses souliers

mais tu es... différent :o tu as maigri? Moi: euh oui, enfin voilà... Océane: mais pourquoi? Toi maigrir, mais c'est impossible…? Moi: bah faut croire que si. Ces derniers temps je n’ai pas beaucoup mangé. Océane: mais pourquoi? Moi: quand je te voyais dans cet état, ça me rendais malade, je pouvais pas te voir comme ça.. C'était horrible pour moi Océane, j'ai vécu les deux pires semaines de ma vie… Océane: oh Niall, je suis désolée, je… Moi: Océane, ce n'est pas de ta faute, t'inquiète

qu’il s’agit d’apprendre mais ce qu’il faudrait oublier. » Si on ajoute à cela le fait que lorsque Say écrit c’est-à-dire dans la 1ère moitié du 19ème siècle, lui considère que la science économique est une discipline achevée, qu’il n’y a plus rien à apprendre, que l’essentiel est là et qu’après ce sont des raffinements minimes. Comme on sait comment fonctionnent les sociétés, l’histoire n’a donc plus d’importance. Si ce qu’il disait était vrai, à partir du milieu du 19ème siècle on aurait arrêté de

conduit dans une salle où nous avons attendu plus d'une heure. Dan est venu nous rendre une petite visite d'ailleurs. Et à 18h15, le concert a commencé. Les premières fans sont passées. Je regardais à travers le rideau pour voir Justin, et j'ai réussi, c'était irréel. Puis je me suis retrouvée face à ce rideau, et pendant ces quelques secondes d'attente, mon coeur a battu à une vitesse incroyable, et j'ai entendu un 'NEXT' et les rideaux se sont ouverts pour moi, à 18h17. J'ai déposé mes affaires prêt d'un

toujours un sens que nous étions un peu défavorisés. Annie : C’était la même pour moi. Mes parents étaient commerçants dans cette épicerie-ci. Mais mon père travaillait dans une usine avant l’épicerie. C’était difficile mais ils toujours essayaient d’être plus raffinés. Ils ne voulaient pas que j’aie eu honte d’être dans une classe sociale différente que les autres. Franck : Mais est-ce que vous aviez honte ? Annie : Pas vraiment, c’était clair que mes parents voulaient que je sois plus aisé qu’eux

Quand je lui demande où, selon lui, sa famille se situe dans la société voici ce qu’il me répond. - Je pense plutôt dans la classe moyenne, voir même peut-être dans la partie haute de la classe moyenne. On n’est pas riches non plus…mais c’est vrai qu’on est assez bien, qu’on manque de rien… Pour comprendre le parcours scolaire de Benoit il est intéressant de remonter à ces années de collège. Assez bon élève à l’école primaire, il rentre en 6e dans un collège public, très populaire du 91,

demander si un fait peut toujours être discutable revient à prouver s'il n'est pas réel. En théorie, cela est contradictoire car un fait est considéré comme la réalité c'est à dire que son existence ne peut être remis en jeu. Cependant, ce qui peut changer d'un individu à un autre c'est son interprétation de ce fait. Mais la vérité est ce qui est vrai. Si mon discours ne s'accorde pas avec le fait, alors il est faux. Ceci nous amène à un problème. Existe-t-il une seule et unique vérité ? Si oui comment

Anne I : votre âge  A : 26 ans I : et ce que vous faites comme travail. A : je suis auxiliaire de vie. I : donc, pour commencer l’entretien, racontez-moi un de vos derniers moments ou sortie shopping. A : alors, hum, bah la dernière fois c’était, c’était lundi dernier il m’semble bien. J’étais avec un ami, il avait besoin, en fait de s’acheter du parfum. Donc, il voulait un nouveau parfum ou garder le même il savait pas. Alors comme j’aime beaucoup le parfum le parfum, jlai, jlai, jlai proposé

- Qu’est-ce y’a ? - J’en sais rien, j’crois que je t’aime c’est tout. - Humm... C’est vrai ? - Ça fait un bout de temps déjà que je sais que je t’aime bien, mais là, j’viens de décider que j’t’aime tout court. [Yes man] Oui je sais ce que c’est d’avoir la sensation de ne pas exister jusqu’à ce qu’il te regarde, qu’il te touche la main, qu’il se moque de toi. Le but c’est que les autres voient que tu es avec lui... tu es à lui... [P.S. I Love You] Et ça va durer très longtemps, et tu sais pourquoi