Etat Et Firmes Multinationales

déséquilibre dans cette unité Il faut se rendre compte que ce libre échange n’est pas équilibré et qu’il profite a certains. Les pays qui font parties de la Triade occupent l’espace économique mondial grâce à des firmes multinationales (FMN) et transnationales (FTN). Ces firmes sont des entreprises crées par des pays riches qui installent des succursales dans le monde entier, ce qui leur permet de profiter d’une main d’œuvre à coût très bas, dans des secteurs industriels et miniers très divers

réalité intemporelle. Clovis, au Vème siècle, domine plusieurs territoires la notion d’Etat se construit notamment autour d’autres notions (Etat-Nation, …) La notion de souveraineté, elle, est apparue en plusieurs temps. Au début du XVIIème siècle, Bodin, dans Les six livres de la République, commence a définir cette notion d’Etat. Il pose les bases d’un état souverain de ses frontières et qui n’aurait à subir d’influence de personne d’autre. Cette notion trouvera une réalisation concrète en 1648

avec les konzerns et aux Etats-Unis avec les trusts, les holdings. XIXe siècle, poids des multinationales limité, on les trouve dans le pétrole, dans les compagnies minières, coloniales. Multinationale agricole américaine, symbole de l’impérialisme américain : United Fruits. Singer, machines à coudre, grand produit du commerce technique. Kodak Plus nettement dans le prospérité des années 20, des multinationales comme Ford, General Electric (principalement américaines), ou industrie en Allemagne.

technologies extrêmement flexibles, pas de loyauté spécifique. Les critères d’une FMN : Part des ventes réalisées à l’étranger Production plus distribution à l’étranger Plusieurs pays Titres sur plusieurs places financières Détention multinationale du capital social (investisseurs étrangers au pays d’origine) FMN dans tous secteurs : Primaire : Nestlé Danone Secondaire : Michelin, Elf Tertiaire : Accord, Mc Donald II- HISTORIQUE DES FMN A) Facteurs explicatifs Techniques :

l’amateurisme. Il existe donc une fierté d’appartenir à ce mouvement fédéral amateur. Crise identitaire des années 70 quand vont se développer les pratiques de sponsorisme et de professionnalisme. A l’inverse, on comprend que tant qu’on reste fidèle à cet état d’esprit, on assiste légitimement à une méfiance continue à l’égard de l’argent et à un développement mineur et raisonnable de la relation entre sport et argent. • LA TV, VECTEUR DE MARCHANDISATION DU SPORT : DES RELATIONS DIFFICILES :

l’entretien des locaux jusqu’au service informatique. D’ailleurs le recours aux entreprises d’intérim dont les effectifs sont comptabilisés dans le secteur des services diminue d’autant plus l’emploi industriel. Pour le cas de la France l’INSEE fait état d’un ralentissement de la baisse de l’emploi industrielle, nourrie par la reprise de l’intérim au premier trimestre 2010. Les industriels vendent de moins en moins de simples produits à leurs clients. Désormais ils cherchent à les associer avec

justement dans la mesure où les autres pays ne les possèdent pas ou les possèdent à  un moindre degré. L'expression peut aussi désigner, par un raccourci, la loi des avantages comparatifs de Ricardo. La balance des paiements : Balance des paiements : état comptable qui retrace l’ensemble des transactions commerciales et financières entre agents résidents d’un pays et les non résidents sur une période donnée ( flux) Elle enregistre ainsi les flux de biens et de services qu’un pays a fournis au reste

économies nationales sont ainsi devenus de plus en plus interdépendantes: un événement survenu en Extrême-Orient, comme la crise de changes de 1997, peut avoir des répercussions en Occident, et inversement. Au niveau des entreprises, les firmes multinationales (FMN) ont de plus en plus tendance à négliger les frontières nationales, pour considérer le monde comme un espace économique unifié, dans lequel se déploient leurs stratégies commerciales et de production. La localisation des sites de production

trentaine d'industries différentes. Clayton Christensen : le disrupteur • Professeur à Harvard, le penseur en management le plus influent • 1997 : “Le Dilemme de l’innovateur” « Quand les nouvelles technologies provoquent la faillite des grandes firmes ». • Ex de la révolution numérique qui a bouleversé les industries des médias, de la distribution et de l’informatique. • La disruption : performer sur son marché, et chercher une innovation de rupture qui ouvrira de nouveaux marchés Vijay Govindarajan :

fondements de l’EI reposent sur des théories et des analyses traditionnelles modernes. Ces théories et analyses sont dites libérales et néolibérales Elles s’appuient sur l’explication de l’EI à partir des Etats-nations mais aussi des FMN (firmes multinationales) Pourquoi passe t’on des théories traditionnelles vers les théories modernes ? En quoi les théories modernes transforment t’elles le modèle de concurrence pure et parfaite de départ ? Les analyses traditionnelles seront présentées, ensuite