Etats Unis La Superpuissance Réponse Organisée

 Relations Internationales Au sens stricte et classique du terme, les relations internationales se définissaient comme les relations par lesquelles les Etats cherchaient à ajuster leurs intérêts. Le terme a longtemps été assimilé aux relations inter-étatiques. A l’époque contemporaine, les relations internationales ne se limitent plus exclusivement à la sphère étatique. En d’autres termes, ce que l’on appelle la société internationale ne se limite plus à la simple juxtaposition d’Etats. Il existe

notamment : . A la Renaissance, le Tractus rédigé en 1464 par le roi de Bohême Podiebrad répondait au souci de rassembler les peuples de la chrétienté face à l’Empire ottoman conquérant dans un pacte prévoyant une juridiction et un Parlement des Etats ; . Le Projet politique du duc de Sully, ministre d’Henri IV publié seulement en 1788 contenant une correspondance avec la reine d’Angleterre Elisabeth 1er ; . L’Essai du Quaker William Penn intitulé Present and Future Peace of Europe (1693); .

à celui réalisé dans les pays de l'ASEAN (Association of SouthEast Asian Nations). En 2008, il y aurait près de 1 000 entreprises chinoises sur le sol africain. Mots clés Chine, Afrique, Puissance, Realpolitik, ONU, France, Union Européenne, Etats-Unis 06/2008 Auteurs : Marie Bal, Laura Valentin Le(s) auteur(s) de ce document d’analyse, d’opinion, d'étude et/ou de recherche a autorisé l'AEGE à enregistrer l'article dans la base de données, dénommée : bdc.aege.fr. La diffusion, publication

puissance politique et militaire : - malgré l’exploitation des économies satellites - ravages de la guerre maintenant sa production au quart de celle des Etats-Unis - rayonnement commercial limité (pays socialistes = 3,6 % des exportations mondiales en 1948) - un retard technologique considérable - Les Etats-Unis sont eux en position de force en 1945 : - monopole nucléaire, techniques de pointe, méthodes de gestion les plus efficaces - la moitié de la puissance productive

« La revue de synthèse ». L. Febvre et M. Bloch, eux, créent « Les annales de l'Histoire économique et sociale ». Ce sont donc des historiens qui créent l'histoire économique (phénomène propre à la France). L'émergence de cette discipline aux Etats-Unis va avoir une grande influence dans les années 60-70 autour de trois dimensions : Le développement de l'Histoire quantitative (chiffrage, calcul), de l'hypothèse contre-factuelle (comment l'Histoire se serait développée sans certains événements)

Ce phénomène se retrouve aussi bien dans les programmes TV, les habitudes alimentaires et vestimentaires ou dans les lectures. Il s’exprime dans divers pays mais de diverses manières en fonction des différences culturelles. L’auteur dissocie les Etats-Unis, l’Europe et le Japon. USA : place importante accordée aux valeurs positives de l’enfance (cf. parcs Disney ; mythe de l’American Dream et du tout est possible) + ancrage des mouvements beatniks et jeunesse hippie = racines de la « kidult attitude »

14-18 : tout va bien, nos troupes ont un excellent moral, les ennemis se débandent au premier coup de fusil. Ou encore ce sont les 1 http://www.huyghe.fr forgeries des régimes totalitaires : nous allons dépasser rapidement la production des Etats-Unis, les gens que nous avons jugés étaient des hitléro-trotskystes payés par la CIA… Il serait plus exact de dire qu‘un propagandiste rêve d’abord de rendre la réalité conforme à ses vœux, ou à défaut il veut obliger ses sujets à croire que le monde

Mobilisation des connaissances, tri en fonction du sujet. 3ème ETAPE : Formulation de la problématique. Elle repose sur une question qui commence par : Dans quelles mesures…  Comment…  En quoi… Exemple : Origines et causes de la 1ère GM, Comment des états européens qui dominait le monde sont venus à s’entretuer pendant 4 ans ? 4ème ETAPE : Construction du plan, hiérarchisation des notes. Le plan chronologique permet de penser à tout ou il y a le plan thématique. Plan non apparent dans la copie. 5ème

(Belgique, Luxembourg et Hollande actuels). Ce nouvel état devait empêcher to ute expansion française en Europe. C’était donc un état garant de la paix. Alo rs que le con grès de Vienne était occupé à décider du sort des états, Napoléon débarqua à Paris en mars 1815 et rétablit son pouvo ir p endant 100 jours. Toutes les décisions précédentes prises par l’Europe furent donc remises en question (fait que la France d evait redevenir une monarchie,…).

étaient appliqués à la construction de l’Europe et semblaient devoir conduire à la fédération politique. Après quelques années enthousiasme, les vicissitudes de la politique, le retour d’un nationalisme qui accompagnait la renaissance économique des États de l’Europe conduisent à une certaine déception. Pourtant, l’entreprise continue. C’est qu’il y a à cela de fortes raisons. D’abord, l’unification de l’Europe n’est pas une oeuvre artificielle, conçue par des « technocrates », des « eurocrates ». Elle