Etre Libre Est Ce Pouvoir Dire Non Kant

1er Texte : Exemple d'explication de texte Emmanuel Kant (1724-1804): philosophe allemand, protestant La majorité intellectuelle est atteinte lorsque l'on peut penser par soi-même. Neurologiquement, le cerveau n'est pas assez développé pour que l'on puisse penser par soimême avant l'age d'environ 8 ans. L'enfant est donc "naturellement" mineur intellectuel, car sa raison est en voie de formation. Là la direction étrangère – celle des parents – est nécessaire, elle se substitue pour décider

1) Les deux sens du mot «droit ». Texte de Kant : la question «qu’est-ce que le droit ?» met le juriste dans l’embarras. Cause = ambiguïté constitutive de la notion de droit. Deux sens = a) droit positif (« posé », institué) = ensemble des lois telles qu’elles sont instituées dans une communauté à une époque précise = le droit de fait b) droit en tant que norme supérieure à la loi (=ce qui est) dictant ce qui doit-être. La question se modalise ainsi en deux types de questions : a) « Que sont les

Huchin Kevin TS3 Philosophie Ai-je le devoir de faire le bonheur des autres? Du point de vue de la loi, rien ne nous oblige à faire le bonheur des autres, mais moralement, il peut en être tout autre. Le concept de devoir et du bonheur sont totalement opposés. En effet, le devoir est une obligation universelle, alors que le bonheur, quant à lui, est relatif, dépendant des personnes. Que devons nous aux autres personnes et que nous doivent-ils? Pourquoi s'intéresser aux bonheur des autres

Suffit-il pour être juste d’obéir aux lois et aux coutumes de mon pays ? Introduction :  Repérer les termes importants Suffit-il... ? Différence de la condition nécessaire (il faut) et de la condition suffisante (il suffit). Est-ce vrai ? Si non, que faut-il en plus ? Le faut-il toujours ?  ...aux lois et aux coutumes... : de quoi s’agit-il ? lois au sens des Nomoï grecques, c’est-à-dire à la fois lois positives, lois intérieures, valeurs. Coutumes au sens d’éducation ou des mœurs, des manières

revêtir un caractère absolu et se nomme alors un « impératif catégorique » (Kant). Dès lors, on voit mal comment une obligation et l’absence de contrainte pourraient être complémentaires. En effet, n’est-ce pas, dans un sens, le but du devoir que de contenir les libertés ? Dans ce cas, le devoir servirait donc à restreindre le potentiel d’innovation, de création qui pourrait nuire à la vie en société. Mais, le devoir peut être au contraire une obligation relative et conditionnelle, elle prend alors

Ainsi, la « liberté » semble être une vertu naturelle et innée que l’être humain est en droit de posséder dès sa naissance. Toutefois, comme dans tous texte juridique, ce droit accord » à l’homme n’est valable que si certains devoirs imposés sont respectés. La « liberté » est donc entourée de normes et de lois qui la définissent au sein d’une société démocratique. Néanmoins, on définit communément un être « libre » comme ayant le pouvoir de faire ce qu’il veut, d’agir ou non, et de n’être captif d’aucun

aussi présente? Étymologiquement la morale: vient du latin mos qui signifie manière d'être, mœurs en ce sens l'objet de la morale est non seulement prescriptif (recommander, interdire, obliger) mais aussi normatif (la morale est là pour normer), c'est-à-dire qu'elle apprécie nos manières d'être ou d'agir en fonction de normes qui vont définir ce que doit être notre conduite (quand on reprend un enfant on lui dit c'est mal, on est préscriptif, puis qu'on ne fait pas si, on est normatif). Néanmoins

conscience ? Quels sont les pouvoirs de la conscience ? La conscience est-elle souveraine ? I. L’homme est conscience 1- Pourquoi l’homme se définit-il par la conscience ? a. La conscience est une donnée immédiate de la vie : une intuition. b. De la fusion à la séparation. c. La conscience de soi. 2- Pourquoi le Cogito est-il le signe même de mon humanité ? a. L’évidence du « je pense ». b. L’essence de l’homme , c’est la conscience. c. Le « je pense » espère un je suis libre. II. III. La

pratique (décision = actes) ≠ Platon : le buveur confond bien réel du bien apparent Donc pour A : c'est en pratiquant la vertu qu'on devient vertueux ; être heureux c'est l'exercice de la vertu. L'amitié Le bonheur ne se limite pas à la vertu, autres biens : biens du corps (santé), biens extérieurs (richesse, réputation, pouvoir) Il faut tenter de trouver le bonheur malgré les évènements tragiques de la vie. Solution : l'amitié. Bonheur : générosité partagée entre amis ; amitié en vertu

d’un être = ce qui est à l’intérieur d’un être et qui fait qu’a la naissance il deviendra ce qu’il doit devenir, c’est le principe de son développement. Aristote est un grec qui voit les choses en considérant que dans la nature d’un être, il y a un aspect matériel : la mère, la matière, la matrice ; et un aspect formel : le père. Nous verrons l’aspect de l’être naturel qui est la réunion de deux être. On parle au sens figuré de la nature du triangle bien que ce triangle ne soit pas un être naturel