Etre Libre Est Ce Vivre Sans Contraintes

Philosophie Être libre, est-ce faire ce que l’on veut ? À première vue, la liberté serait l’absence de contraintes, faire ce que l’on veut. En effet, la liberté est souvent associée au fait de « faire ce que l’on veut », faire ce que bon nous semble, ce qu’il nous plaît ou encore le fait d’assouvir ses désirs sans contraintes. Cependant, être libre, c'est aussi pouvoir se déterminer par soi-même sans subir de contraintes, avoir le choix, faire usage de son libre arbitre. Nous nous poserons donc la

droit nous rend libre. 1) La liberté politique : II) Le droit peut en même temps réduire la liberté d’une civilisation. A) Obéir est-ce renoncer à sa liberté ? 1) L’obéissance est un renoncement libre à la liberté. 2) L’obéissance comme condition de la liberté. B) L’Etat : répression de la liberté ou au contraire garant ? 1) Etat et pouvoir : 2) Le contrat social : C) Le devoir peut être une contrainte sociale ou une obligation morale : 1) Obligation, contrainte ou effet de

La conscience est-elle source de contrainte ou de liberté? == Pour la compréhension du sujet, vers le problème: lire tout d'abord le repère: obligation contrainte Pour la recherche des idées:La conscience est-elle source de liberté ou de contraintes?Voir d'abord les pages sur la conscience pour vous documenter (page 2) Distinguez la conscience "témoin" et la conscience "juge": et demandez-vous si la liberté ne consiste pas à s'imposer une contrainte (Montaigne: "La liberté c'est de tout pouvoir

1 ». Chaque fois que la liberté d’un sujet est en ques- tion, soutient MacCallum, il s’agit toujours de la liberté par rapport à un élément de contrainte – contrainte de (ou de ne pas) faire ou devenir quoi que ce soit. Par conséquent, parler de la présence de la liberté revient toujours à parler d’une absence : l’absence, pour le sujet, d’une contrainte qui l’empêcherait de réaliser quelque but ou fin. Autrement dit, il n’existerait au fond qu’un seul concept de liberté. Ces observations m’amènent

l'Homme par définition est cet individu qui se différencie de l'animal par sa liberté de choix, son libre arbitre. Ces deux définition ne sont-elles pas paradoxales dans la mesure ou donner un maître à un homme c'est renier sa liberté ? Ainsi on peut se demander dans quelle mesure l'homme-a-t-il besoin d'un maître ? Mais aussi de quel type de maître a t'il besoin ? L'homme peut-il vivre sans contraintes et sans limites que fixe le maître ? Nous verrons tout d'abord que les hommes sont libres

------------------------------------------------- La liberté * DE QUOI PARLE-T-ON ? La liberté est un sentiment (ou une sensation), une valeur et, si ce sentiment est juste ou cette valeur atteinte, un état.  - On se sent libre quand cesse une contrainte : un empêchement physique, une occupation non choisie ou un souci.  - « Liberté, égalité, fraternité » : la devise de la République proclame trois valeurs dont l'association, en fait, ne va pas forcément de soi. Car liberté et égalité doivent

se sent pas à l’aise, mais malheureux, ne déploie pas une libre activité physique et intellectuelle, mais mortifie son corps et ruine son esprit. En conséquence, l’ouvrier n’a le sentiment d’être auprès de lui-même qu’en dehors du travail, et, dans le travail, il se sent en dehors de soi. Il est comme chez lui quand il ne travaille pas et, quand il travaille, il ne se sent pas chez lui. Son travail n’est donc pas volontaire, mais contraint ; c’est du travail forcé. Il n’est pas la satisfaction d’un

l'homme est né libre et partout il est dans le fers. Rousseau Biographie Jean-Jacques Rousseau est né à Genève en Juin 1712. Sa mère meurt à sa naissance et son père, puis un pasteur l'élève jusqu'à ce qu'il quitte sa ville natale à 16 ans. Il est alors recueillis par Mme de Warens à Annecy qui deviendra sa maîtresse et continuera son éducation. Rousseau, avant de se faire connaître à Paris, fût laquais, musicien et secrétaire d'ambassade ) Venise. Il s'installe à Paris en 1742. Passionné

faire tout selon notre pure et simple volonté, nous sommes contraints de vouloir nous échapper . Chaque Etre de notre éspéce est envahit par cette volonté maîtresse qui nous pousse à s'oublier, s'affranchir de ces limites fixées par la société, fuyant la tyrannie auquelle l'existence peut nous mener . Personne n'aimerait se voir restreint à une seule manière d'être, personne ne voudrait vivre prisonnié entre quatre murs, personne ne voudrait être dirigé contre sa volonté, servant et soumis à une puissance

"Être libre, est-ce faire ce que l'on veut ?" Notre objectif est de dégager une problématique, c'est-à-dire d’être en mesure d’identifier des enjeux, ce qui se cache derrière le sujet et que celui-ci ne « dit » pas. Cela pourrait se faire à partit du présupposé suivant : - Premier moment ou présupposé (fondé sur une évidence, une observation immédiate) : il semble qu’effectivement, à première vue, la liberté soit l'absence de toute contrainte. C'est-à-dire la capacité d’agir en toute indépendance